ted a écrit :Mouais...
Merci Jean pour ton topo.
Merci Erratum pour ton commentaire.
Sourire a écrit :le seul moyen absolu de ne pas risquer l'attachement aux choses c'est de s'en couper entièrement et sincèrement
Ce qui n'est pas la voie des laïcs
Sourire a mis le doigt sur quelque chose de troublant...
Mais les sources d'attachement existent même dans la voie monastique. Simplement, ce ne sont pas les mêmes.
Je suis pour un bouddhisme où on ne se détourne pas des choses. C'est trop dur et trop frustrant.
Non, Ted.
Il ne peut y avoir frustration que si le renoncement n'est pas entièrement sincère
Or...
- tu n'es pas supposé te couper des choses comme le fait le moine de cette histoire. Tu as une femme, une vie, tout un tas de choses auxquelles personne ne te demande de renoncer définitivement. Dans son cas à lui, peut-être est-ce dur, peut-être pas... Mais finalement, il s'interdit l'attachement aux choses qui lui plaisent et donc tout attachement excessif.
- résultat : tu es en situation plus délicate que lui. Mais rien ne dit que tu ne peut pas de façon tout à fait sincère refuser de te laisser lier aux choses qui t'entourent.