Jean a écrit :Peut être y-a-t-il un parallèle à faire avec l'instruction donnée dans des enseignements des méditations du Mahamoudra ou du Dzogchen, qui est "Ne rien ajouter ou enlever à l'esprit". Si c'est pas parallèle, c'est quand même cousin.
- Ni perte ni gain -
Dernière modification par Kaïkan le 14 avril 2015, 09:52, modifié 1 fois.
-- Kaïkan --
- Kyo gyo sho itto -
L’enseignement, la pratique et le satori sont unité.
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Kaïkan dit:
Oui c'est vrai ça
avec metta
gigi
gigi dit:Je me permettrais même d'ajouter que parfois tout est harmonieusement entrelacé (à notre grande stupeur... love3 )
Oui c'est vrai ça
avec metta
gigi
Ici et Maintenant pleine attention à la pleine conscience
shuuuuuuuuuuuuttttt En réalité, dès lors qu'il s'agit de nourritures non de l'esprit mais au sens gustatif, j'ai les papilles qui s'affolent et l'imagination cuilinaire qui tourbillonne.Kaïkan a écrit :Quand Sourire fait des crêpes, sourire se concentre très exactement sur la méthode transmise de la confection des crêpes.
Sourire n'oublie pas de bien mélanger la pâte quand il le faut et de la laisser reposer au moment opportun et le temps nécessaire.
Toute autre considération est abandonnée (rejetée).
Quand c'est le moment, Sourire fait cuire les crêpes. Une pile se forme.
Quand tout cela est terminé c'est le moment de consommer et de partager...
A table tout le monde est heureux car les crêpes sont réussies... love2
Sans y penser, Sourire à fait des crêpes "mushotoku"...
Ca commence quand je me balade devant les étalages de légumes au marché ou bien quand j'achète un paquet de farine de châtaigne, bien avant que l'aliment en question se retrouve au contact de mon palais...
Dès lors, peut-on dire vraiment que je me concentre, en faisant des crêpes, sur l'art et la méthode de les faire ?
En postant ça je faisant un parallèle à propos de l'agitation de la notion de Mushotoku (pâte à crêpe) dans le ciboulot (le bol). Une fois qu'on a bien cogité, il est temps de laisser reposer (et d'appliquer, peut-être?)Sourire a écrit :Quand je fais des crêpes il y a un moment où je mélange la pâte et un moment où je la laisse reposer.
Ca ne veut pas dire que je condamne le contenu du bol à être éternellement remué pas plus qu'à être éternellement laissé sous un torchon.
Donc maintenant tu sais comment faire...(On peut toujours essayer, non ?)Sourire a écrit :Dès lors, peut-on dire vraiment que je me concentre, en faisant des crêpes, sur l'art et la méthode de les faire ?
Pourquoi ne pas mettre en pratique ?En postant ça je faisant un parallèle à propos de l'agitation de la notion de Mushotoku (pâte à crêpe) dans le ciboulot (le bol). Une fois qu'on a bien cogité, il est temps de laisser reposer (et d'appliquer, peut-être?)
C'est Sourire la cheffe de la cuisine; elle a les recettes, les ustensiles, elle a retroussé les manches... Hop la !
-- Kaïkan --
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L’enseignement, la pratique et le satori sont unité.
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