Donc, ton analyse me semble très juste.

Et si c'était devant cet énorme mur noir de la métaphysique où l'on s'asseyait pendant Zazen. Il ne faut pas fermer les yeux devant ce mur, mais retourner son regard, dans une attitude sans intérêt pour la recherche des réponses. Juste s'assoir et vivre le moment présent. Moment après moment, dans le silence. Et si ce silence était la réponse pointée par Boudhha, la réponse répondant à toutes les questions ?Car en face, toujours cet épais mur noir de la métaphysique, toujours ces questions insolubles. Alors maintenant, je lâche prise. La vie est courte. Seul le présent compte vraiment, et je souhaite redécouvrir la simplicité de ces instants qui passent.
On comprend pourquoi il était respecté.chercheur a écrit : ↑19 juin 2017, 08:27Mais l’abbé avait puisé dans la vaillance et la tendresse et toutes les attentes, toutes les convenances s’étaient brisées d’un coup. Un homme avait su nous introduire à l’inconcevable.
http://zen.viabloga.com/news/niwa-renpo
Des gens développent une allergie à tout ce qui leur rappelle les signes extérieurs d'une religion. C'est dommage.chercheur a écrit : ↑19 juin 2017, 08:27"Se prosterner est une pratique très sérieuse. Vous devriez être prêt à vous prosterner même à votre dernier moment. Même s'il est impossible de nous débarrasser de nos désirs égocentriques, nous devons le faire. Notre vraie nature veut que nous le fassions."
Esprit zen esprit neuf, Shunryu Suzuki
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Oui c'est vraiment dommage. Comme je l'ai dit dans un autre fil, dans certains groupes de pratique de zazen, cette prosternation est abandonnée.Face à certaines personnes, allergiques aux religions, il sera aussi difficile de réhabiliter la prosternation que de réhabiliter la svastika en occident.
C’est peut-être bien dans les deux cas, comme être agi par ces pratiques, afin qu’elles diffusent spontanément la sagesse qui leur est inhérente.chercheur : Suzuki disait qu'il n'y a pas de différence entre la prosternation et zazen.