@Ted : plutôt que d'employer des arguments verbaux posés et calmes en critiquant le programme, des militant d'on ne sait quel parti ou tendance préfèrent insulter, huer et lancer des projectiles. Dans et aux abords d'un lieu de culte chrétien sensé être un lieu de paix. On peut aussi voir les choses comme ça. C'est parce qu'il n'y a rien a redire sur le fond au programme de Mme Le Pen que les militants de ses opposants en sont réduit à la violence pour faire taire le FN ? Il y a cette maxime d'Isaac Asimov que j'affectionne particulièrement : "La violence est le dernier refuge de l'incompétence". Certains opposants au FN qui agissent ainsi valent-ils mieux que les partisans du FN qui propagent les rumeurs dont tu parles ? Dans les 2 cas comme ce fut souligné il s'agit de la parole : d'un coté on veut faire taire, de l'autre on déforme ou on ment. L'une de ces 2 attitude est-elle plus respectable que l'autre ?
Le FN aurait été représenté à l'Assemblée à la proportionnelle depuis des années, ses idées et propositions auraient pu être entendues, critiquées, combattues ou adoptées dans l’enceinte démocratique et légale de l'Assemblée Nationale. Seulement voila, ce dénie de traitement fait que le FN peut maintenant se présenter en partie comme hors ou anti-système, comme une victime, il jouit d'une certaine virginité politique, il n'a pas été usé par l'exercice du pouvoir. La représentation non proportionnelle à l'assemblée était aussi un dénie de parole pour les FN et la fraction du peuple qui vote pour lui. Déjà il y avait violence.
Rien n'est sans conséquence et une graine plantée dans le passé peut éclore dans le futur vite ou très lentement. Ce dénie de démocratie et de liberté d'expression était une graine plantée dans le passé et qui produit maintenant les fruits qu'elle produit.
Eh hop admirez le recentrage sur le thème de ce forum ! Le Dharma du Bouddha en politique. D'ailleurs de son vivant le Bouddha s'est mêlé un peu malgré lui je crois de "politique" et aussi d'essayer d'enrayer des guerre (après tout comme le dit Von Klausvitz "La guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens"). J'ai le vague souvenir que dans le livre de Thay sur le Bouddha il y a un passage ou le Bouddha donne des conseils de bon gouvernement pour un roi. Faudrait que je le retrouve. Nous serions en plein dans le sujet, à la fois Dharma et politique. Je l'ai retrouvé, le Bouddha explique l'application des 5 préceptes à l'échelle d'un royaume pour générer paix et prospérité. Je précise que pour chaque chapitre ou Thay fait parler le Bouddha il donne la liste des sources qu'il a utilisé et indique qu'il a majoritairement employé des sources du Théravada sciemment.
A force de faire dans la métaphore végétale je vais me mettre au jardinage ! XD
@Ted : sinon quand j'y repense je crois que c'est toi qui avait proposé d'intégrer Le Pen dans le gouvernement Macron, il me semble ? L'idée me plait beaucoup, c'est totalement iconoclaste, original, révolutionnaire et ce serait un vrai gouvernement apolitique, basé sur des compétences. Après tout on a reproché son agressivité à Mme Le Pen lors du débat, c’est une compétence comme une autre, la mauvaise foi ou le mensonge avec aplomb qu'on lui reproche, aussi, ce sont des compétences aussi, cela peut toujours être utile nous ne vivons pas dans un monde de Bisounours. Mettez la au ministère de la défense ou de l'intérieur et laissez lui un peu de marge pour lutter contre l'islamisme radical, comme ça elle pourra appliquer elle même son discours. Sérieux. J'adore l'idée. En plus cela aurait le mérite de faire plaisir a son électorat, de lui donner un premier poste officiel de ministre, de réunifier les français. Mais bon... je ne me fais guère d'illusion c'est trop original comme idée pour être acceptée. Macron veut gouverner autrement non ? Chiche !
La politique française
Ouf ! Je suis rassuré. 
Je viens de lire que les ordonnances ne sont possibles que si le parlement délègue ses pouvoirs, pour un temps limité, au chef du gouvernement.
Autant dire qu'un président qui n'a pas de majorité parlementaire à l'issue des élections législatives, n'a aucune chance de pouvoir gouverner par ordonnance. ba11
Donc, tout va se jouer aux législatives, comme je l'avais déjà dit d'ailleurs.

Je viens de lire que les ordonnances ne sont possibles que si le parlement délègue ses pouvoirs, pour un temps limité, au chef du gouvernement.
Autant dire qu'un président qui n'a pas de majorité parlementaire à l'issue des élections législatives, n'a aucune chance de pouvoir gouverner par ordonnance. ba11
Donc, tout va se jouer aux législatives, comme je l'avais déjà dit d'ailleurs.
Gouverner par ordonnance, ça veut dire quoi ?
Par Eléa Pommiers
Vendredi 6 mai 17H26
S’il est élu président de la République, Emmanuel Macron envisage de mettre en œuvre certaines de ses principales mesures par ordonnance. Explications.
Emmanuel Macron promet d’aller vite. S’il est élu le 7 mai, il veut agir dès l’été pour mettre en œuvre l’un des points clés de son programme, la réforme du droit du travail. « Par ordonnances, pour procéder de manière rapide et efficace », a-t-il précisé le 9 avril dans un entretien au Journal du dimanche.
Marine Le Pen se dit opposée à cette méthode de gouvernement. Mais, en janvier, son équipe de campagne n’excluait pas qu’elle puisse prendre un « décret anti-musulmans », similaire à celui de Donald Trump, « par ordonnance ». De quoi s’agit-il et dans quelle mesure est-ce possible ?
Qu’est-ce qu’une ordonnance ?
Pour comprendre, il faut rappeler deux principes :
la séparation des pouvoirs : le pouvoir législatif (Assemblée nationale et Sénat) n’a pas les mêmes prérogatives que le pouvoir exécutif (gouvernement et président de la République). La Constitution, dans son article 34, définit un « domaine de la loi » qui recouvre la très grande majorité des sujets de politique publique : les régimes de retraite, l’assurance-chômage, l’éducation, les impôts, l’immigration et les conditions d’octroi de la nationalité, la fiscalité des entreprises, les emplois publics, les sanctions pénales, le droit du travail, la défense nationale… Toute mesure prise sur ces sujets nécessite donc une loi, votée par les assemblées législatives ;
la « hiérarchie des normes » : en droit français, il existe plusieurs types de textes qui n’ont pas la même valeur juridique. Un décret, pris par le pouvoir exécutif, ne peut en aucun cas être contraire à la loi, votée par le pouvoir législatif, qui lui est forcément supérieure. Au sommet de cette pyramide, la Constitution, à laquelle tous les textes de droit doivent être conformes.
LÉGIFÉRER SANS PASSER PAR LE PARLEMENT
L’ordonnance, prévue à l’article 38 de la Constitution, peut être assimilée à un contournement de cette règle. Ce n’est pas une invention de la Ve République puisque des « décrets-lois » existaient déjà durant les IIIe et IVe République (1870-1940 et 1946-1958). Concrètement, avec une ordonnance, l’Assemblée nationale délègue son pouvoir de légiférer au gouvernement. Ce dernier est donc autorisé à prendre, « pendant un délai limité », des mesures qui sont normalement du ressort du Parlement… sans passer par le Parlement.
La pratique n’est pas rare. L’exécutif y a notamment recours pour des mesures très techniques ou concernant l’outre-mer. Ainsi, durant le mandat de Nicolas Sarkozy, plus de 136 ordonnances ont été publiées. Sous le quinquennat de François Hollande, le gouvernement les a par exemple utilisées pour mettre en œuvre des réformes sur la simplification du droit et des procédures dans le domaine de la justice, ou de simplification pour les entreprises.
Emmanuel Macron pourrait effectivement appliquer son projet sur le droit du travail par ce biais. L’avantage, c’est que la réforme est mise en œuvre très rapidement car elle n’a pas à passer devant l’Assemblée nationale puis le Sénat. Le candidat d’En marche ! prévoit d’ailleurs d’accélérer l’examen des lois par le Parlement en n’autorisant qu’une seule lecture par assemblée (contre deux actuellement).
L’inconvénient majeur, c’est que le Parlement, et donc la représentation nationale, ne peut pas discuter ni modifier le texte.
Quels sont les garde-fous ?
Il ne faut toutefois pas considérer les ordonnances comme un pouvoir absolu du gouvernement et encore moins du président de la République. Ce dernier a seulement le droit de les signer, ou pas, pour décider de leur entrée en vigueur. Son seul pouvoir est donc, en dernier ressort, de bloquer leur mise en application.
Seul le gouvernement peut prendre des ordonnances, et seulement avec l’autorisation préalable de l’Assemblée nationale. Les députés votent pour cela une « loi d’habilitation » pour déléguer leur pouvoir dans un domaine précis et pour une durée limitée.
LES DÉPUTÉS DOIVENT DE TOUTE FAÇON VALIDER L’ORDONNANCE POUR QU’ELLE RESTE VALIDE
Mais même une fois appliquée, l’ordonnance doit forcément être « ratifiée », donc votée, par les députés pour pouvoir devenir une loi. Pour cela, l’Assemblée fixe préalablement un délai que le gouvernement doit obligatoirement respecter pour soumettre les mesures prises par ordonnance au vote. A défaut, l’ordonnance devient caduque.
Il peut aussi arriver que les députés ne la ratifient pas. L’ordonnance continue alors d’exister, mais elle reste un décret. Elle a donc une valeur inférieure à la loi (qu’elle soit déjà en vigueur ou votée par la suite). Autrement dit, l’Assemblée peut, même une fois l’ordonnance signée et ses mesures appliquées, en annuler les effets.
Pour les deux prétendants à l’Elysée, deux situations peuvent se présenter. Soit le futur président obtient, en juin, une majorité à l’Assemblée nationale qui autorise le gouvernement à prendre les mesures voulues par le chef de l’Etat par ordonnance, et qui les ratifie ensuite sans opposition.
Soit ce n’est pas le cas, et la majorité des députés est hostile aux réformes voulues par l’Elysée. Dans ce cas, ni Emmanuel Macron ni Marine Le Pen ne pourront utiliser d’ordonnance pour faire passer une quelconque mesure.
Par Eléa Pommiers
http://mobile.lemonde.fr/les-decodeurs/ ... 55770.html
Sur le Huffington post un chroniqueur expliquait qu'en fait les choses commenceraient à se jouer en fonction du score de Marine Le Pen, si elle faisait plus de 40% voir 42% elle obtiendrait la légitimité nécessaire pour apparaître comme la nouvelle chef de l'opposition au futur gouvernement Macron, face à un PS très très affaibli et à des Républicains disqualifiés dés le 1er tour.
Les français ont "dégagé" les forces politiques traditionnelles dés le premier tour hors Macron commence à voir se réunir autour de lui tout un tas de vieux routards des partis classiques que justement les Français ont voulu dégager, cela ne l'aide pas je pense au contraire, cela ne fait que le ramèner dans les paysage classique du "système" dont il prétend être sorti.
Chose qui peut parfaitement être souligné par Mme Le Pen et elle peut se poser en opposition nouvelle qui n'a jamais eu jusque là ni le pouvoir a haut niveau ni la représentativité à l'Assemblée que sont parti méritait. Si j'étais elle de toute façon j'aurais compris que je ne gagnerais pas la présidentielle mais je me préparerait pour les législatives et je ferais valoir tout ce que j'ai dis ci-dessus.
Fillon ? Discrédité, a dit qu'il ne conduirait pas les Républicains aux législatives.
Sarkozy ? Soyons sérieux vous le voyez revenir ? Encore ? Après son échec face à Hollande et son échec aux primaires des Républicains ?
Barouin à la rigueur. Mais encore un peu "jeune" peut être. Sans doute un des seuls espoirs des Républicains je pense.
Mélanchon : n'a pas ouvertement appelé a voté Macron contre Le Pen, cela lui a fait du tort.
Hamon : bon le PS ne pouvait pas s'en sortir, il fallait que quelqu'un se dévoue pour porter la responsabilité.
Hollande : finit pour lui.
Dupont-Aignan : rallié à Le Pen.
Ecologistes : quel poids ?
Poutou : insignifiant, idem pour Cheminade et autres
Reste qui pour apparaître comme chef de file d'une "droite forte" face à un Macron issu du PS ? Marine Le Pen.
Si elle la joue plus paisible, astucieusement, elle peut avoir s'est chances je crois, surtout si elle fait un score inédit à la présidentielle, 40% par exemple. Jean Marie Le Pen au second tour en 2002 a fait moins de 18%. Si sa fille plus que double la mise cela lui donnerait une légitimité indéniable.
Les français ont "dégagé" les forces politiques traditionnelles dés le premier tour hors Macron commence à voir se réunir autour de lui tout un tas de vieux routards des partis classiques que justement les Français ont voulu dégager, cela ne l'aide pas je pense au contraire, cela ne fait que le ramèner dans les paysage classique du "système" dont il prétend être sorti.
Chose qui peut parfaitement être souligné par Mme Le Pen et elle peut se poser en opposition nouvelle qui n'a jamais eu jusque là ni le pouvoir a haut niveau ni la représentativité à l'Assemblée que sont parti méritait. Si j'étais elle de toute façon j'aurais compris que je ne gagnerais pas la présidentielle mais je me préparerait pour les législatives et je ferais valoir tout ce que j'ai dis ci-dessus.
Fillon ? Discrédité, a dit qu'il ne conduirait pas les Républicains aux législatives.
Sarkozy ? Soyons sérieux vous le voyez revenir ? Encore ? Après son échec face à Hollande et son échec aux primaires des Républicains ?
Barouin à la rigueur. Mais encore un peu "jeune" peut être. Sans doute un des seuls espoirs des Républicains je pense.
Mélanchon : n'a pas ouvertement appelé a voté Macron contre Le Pen, cela lui a fait du tort.
Hamon : bon le PS ne pouvait pas s'en sortir, il fallait que quelqu'un se dévoue pour porter la responsabilité.
Hollande : finit pour lui.
Dupont-Aignan : rallié à Le Pen.
Ecologistes : quel poids ?
Poutou : insignifiant, idem pour Cheminade et autres
Reste qui pour apparaître comme chef de file d'une "droite forte" face à un Macron issu du PS ? Marine Le Pen.
Si elle la joue plus paisible, astucieusement, elle peut avoir s'est chances je crois, surtout si elle fait un score inédit à la présidentielle, 40% par exemple. Jean Marie Le Pen au second tour en 2002 a fait moins de 18%. Si sa fille plus que double la mise cela lui donnerait une légitimité indéniable.
Beaucoup d'arguments en faveur du jardinage.
_ les légumes ni les fleurs ne font de politique.Ils se fichent pas mal de qui sera président.
_ jardiner est une bonne pratique méditative.
_ excellent contre la dépression.
_ regarder pousser les légumes illustre bien l'impermanence.
_ on prend conscience de l'interdépendance en regardant le cycle naturel de la végétation.
_ on est content quand il pleut( ça arrose) et content quand il fait soleil( ça pouse!)
J'ai vu que tu as un balcon, tu pourrais te faire un grand bac avec des fines herbes.
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Tu oublis l'apprentissage de la patience, qui est une vertu majeur dans la pratique selon le moine Ajahn Sumedho, dans la Tradition de la Forêt (Théravada).