
de retour...
@Compagnon : rien reçu ? Mince alors... Je te présentais mes excuses et te remerciais pour tes commentaires toujours éclairants. En gros... 

Bah non dsl rien dans ma boite mail, sans importance. L'eau passe sous les ponts 
Si tant est qu'il y ai réellement eu "offense". Envers qui ou quoi d'ailleurs ?
Comme je te l'ai dis, nous sommes libres de nous sentir offensé ou pas, de considéré qu'untel ou untel peut nous offenser ou que tel ou tel mot à le pouvoir de nous offensé... ou pas. Nous disposons de ce pouvoir, de cette liberté, de cette possibilité, nous l'oublions trop souvent car l'illusion de l'ego la cache, la voile, la dérobe à notre esprit à ce moment là. Et si ce n'est pas le cas, si nous choisissons le "ou pas", de ne pas "saisir", "nous 'emparer" avec notre ego des paroles ou écrits de l'autre, alors ils restent entre les mains de celui qui les a émis et c'est à lui qu'il a fait du tort et à personne d'autre, c'est donc en premier vis à vis de lui-même qu'il doit essayer de faire "réparation" si l'on veut. Et quand il agit ainsi, quand fait réparation pour lui, il fait aussi réparation pour le monde, car lui et le monde ne sont qu'un, ils ne sont pas séparés.
Comme le dit Tich Nhat Hanh, quand vous pratiquez la méditation marchée, vous arrosez les bonnes graines en vous, quand vous vous nourrissez, vous guérissez, et quand vous vous guérissez vous guérissez aussi la société ou vous vivez (aussi modeste cela soit-il), parce que les maux de notre société sont en nous. Guérissons nous nous-mêmes et nous pourrons alors guérir les autres.

Si tant est qu'il y ai réellement eu "offense". Envers qui ou quoi d'ailleurs ?
Comme je te l'ai dis, nous sommes libres de nous sentir offensé ou pas, de considéré qu'untel ou untel peut nous offenser ou que tel ou tel mot à le pouvoir de nous offensé... ou pas. Nous disposons de ce pouvoir, de cette liberté, de cette possibilité, nous l'oublions trop souvent car l'illusion de l'ego la cache, la voile, la dérobe à notre esprit à ce moment là. Et si ce n'est pas le cas, si nous choisissons le "ou pas", de ne pas "saisir", "nous 'emparer" avec notre ego des paroles ou écrits de l'autre, alors ils restent entre les mains de celui qui les a émis et c'est à lui qu'il a fait du tort et à personne d'autre, c'est donc en premier vis à vis de lui-même qu'il doit essayer de faire "réparation" si l'on veut. Et quand il agit ainsi, quand fait réparation pour lui, il fait aussi réparation pour le monde, car lui et le monde ne sont qu'un, ils ne sont pas séparés.
Comme le dit Tich Nhat Hanh, quand vous pratiquez la méditation marchée, vous arrosez les bonnes graines en vous, quand vous vous nourrissez, vous guérissez, et quand vous vous guérissez vous guérissez aussi la société ou vous vivez (aussi modeste cela soit-il), parce que les maux de notre société sont en nous. Guérissons nous nous-mêmes et nous pourrons alors guérir les autres.
Re-bienvenu Lotus bleu, merci alors de prendre en considération la charte pour le cadre des échanges.
@ Compagnon, bah je suis d'accord ... les mots on les accueille et notre regard fait beaucoup.
Je n'oublie pas pourtant qu'ils ont un effet sur les autres, pas que sur nous, ils sont aussi des actes que l'on pose.
D'où la nécessité de se demander si les mots respectent la parole correcte, ""S'abstenir de mensonges, d'avoir des paroles qui sèment la discorde, de langage injurieux, et de bavardage inutile."
On peut avoir un message à communiquer, mais si ce que l'on a à dire s'accompagne d'invectives par exemple, on est à côté, et le message hélas ne passera pas...
@ Compagnon, bah je suis d'accord ... les mots on les accueille et notre regard fait beaucoup.
Je n'oublie pas pourtant qu'ils ont un effet sur les autres, pas que sur nous, ils sont aussi des actes que l'on pose.
D'où la nécessité de se demander si les mots respectent la parole correcte, ""S'abstenir de mensonges, d'avoir des paroles qui sèment la discorde, de langage injurieux, et de bavardage inutile."
On peut avoir un message à communiquer, mais si ce que l'on a à dire s'accompagne d'invectives par exemple, on est à côté, et le message hélas ne passera pas...
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
@Axiste : je ne l'entends pas autrement. Et parfois il est utile de "sanctionner" quelqu'un pour le faire réfléchir sur les conséquences que pourraient avoir son comportement et le protéger de lui-même comme des autres. C'est délicat mais cela est parfois nécessaire. En tant qu'ex-enseignant et actuellement assistant pédagogique dans un collège je connais bien la question 

Il m'apparaît que le fait de guérir est un processus qui n’a pas de fin, comme s'il était toujours possible de désentraver d’avantage la lumière du coeur. Ce cheminement me semble nous assurer un travail passionnant dont le résultat serait l'expérimentation progressive d'un accroissement de conscience. En tous les cas, plus nous avançons sur cette voie, plus effectivement nous sommes en mesure de répercuter des vibrations adéquates sur notre entourage. On peut faire le constat de cette progression en observant que plus rares sont les contextes dans notre vécu où des tensions psychologiques viennent à s'exprimer.Compagnon : Guérissons nous nous-mêmes et nous pourrons alors guérir les autres.
yves a écrit :kirlicouicou
puisses tu trouver ce que tu cherches love3
puisses la paix être ton quotidien![]()
et dans l'agitation, puisses tu agir avec justesse, joie et compassion envers toi et les autres love_3
bien à toi love2
oui à ce qui est
tout change
tout est maintenant
être tout
amour
tout change
tout est maintenant
être tout
amour
Vaste programme... j'aimerais bien... C'est compliqué... On pense que l'on a compris et on retombe dans les mêmes travers, on subit ses mêmes Demons... Quelle faiblesse, quand même...
Bien à vous toutes et tous qui œuvrez par vos pensées (et les comportements qui vont avec).
Une pensée pour moi même (on dirait du Marc Aurele) : Ce n'est pas tout d'attester le principe des quatre nobles vérités si on est pas capable d'appliquer celui (qui doit suivre naturellement) de l'octuple Sentier. Comme dirait Compagnon, tout est déjà dit, expliqué, proposé.

Bien à vous toutes et tous qui œuvrez par vos pensées (et les comportements qui vont avec).
Une pensée pour moi même (on dirait du Marc Aurele) : Ce n'est pas tout d'attester le principe des quatre nobles vérités si on est pas capable d'appliquer celui (qui doit suivre naturellement) de l'octuple Sentier. Comme dirait Compagnon, tout est déjà dit, expliqué, proposé.

C'est à cause de nos tendances karmiques. L'important c'est d'être sincère dans notre démarche. Sur le chemin nous chutons à de nombreuses reprises; nous nous relevons sans nous décourager, et nous poursuivons notre route. Au bout d'un moment les chutes se font moins fréquentes, nous progressons et les tendances mauvaises sont remplacées par les bonnes, lesquelles deviennent naturelles et nous emmènent rapidement vers la libération et la pleine illumination. Cela vaut la peine de faire quelques efforts au départ.
S'indigner, s'irriter, perdre patience, se mettre en colère, oui, dans certains cas ce serait mérité. Mais ce qui serait encore plus mérité, ce serait d'entrer en compassion.
Bonjour Lotus Bleu, si tu es parmi les membres de Nangpa c'est probablement que tu corresponds aussi, au bien et au bon qui peut en ressortir pour toi, parfois il suffit d'un effort de bonne volonté pour que des choses très importantes pour notre cheminement sur la Voie du Dhamma se clarifient, le chemin n'est pas compliqué c'est nous qui compliquons tout,
la simplicité du coeur nous place toujours au centre de nous-même
avec metta
gigii
la simplicité du coeur nous place toujours au centre de nous-même

avec metta
gigii

Ici et Maintenant pleine attention à la pleine conscience
Si nos tendance "nuisibles" ou "néfastes" n'existaient pas, est ce que nos tendance bonnes, favorables auraient la moindre chance d'exister ? Les unes comme les autres sont aussi vacuités, interdépendance.
"Pourquoi tombons nous maître Bruce ?"
"Pour mieux nous relever".
(Batman)
Une chute n'est un échec que si l'on ne se relève pas. Et quand on est tombé, que reste t-il d'autre à faire que se relever ? On ne peut que faire cela non ?
Le très respectable Jetsün Milarépa, maître de renom du bouddhisme tibétain, selon la légende, commis d'abord des actes terribles sous le coups de la vengeance grâce à de la magie noire, puis il entrepris un chemin de rédemption.
C'est lui qui écrivit :
"Au début rien ne vient, au milieu rien ne reste, à la fin rien ne s'en va".
C'est ainsi qu'elle la pratique : d'abord sans progrès apparant, puis instable, non assurée avec des hauts et des bas, enfin elle devient stable, sûre et définitive.
C'est ainsi, sans effort ou serait le mérite ?
Sans pain noir point de gloire comme dirait ma compagne.
No pain no gain.
PS : ce n'est pas propre au bouddhisme, regardez la personne de Saint Paul, qui commença comme juif persécuteur de chrétien, puis fut frappé de cécité physique sur le chemin de Damas en réponse à la cécité de son cœur, et après fut guérie et devint un puissant défenseur de Jésus, un converti.
"Pourquoi tombons nous maître Bruce ?"
"Pour mieux nous relever".
(Batman)
Une chute n'est un échec que si l'on ne se relève pas. Et quand on est tombé, que reste t-il d'autre à faire que se relever ? On ne peut que faire cela non ?
Le très respectable Jetsün Milarépa, maître de renom du bouddhisme tibétain, selon la légende, commis d'abord des actes terribles sous le coups de la vengeance grâce à de la magie noire, puis il entrepris un chemin de rédemption.
C'est lui qui écrivit :
"Au début rien ne vient, au milieu rien ne reste, à la fin rien ne s'en va".
C'est ainsi qu'elle la pratique : d'abord sans progrès apparant, puis instable, non assurée avec des hauts et des bas, enfin elle devient stable, sûre et définitive.
C'est ainsi, sans effort ou serait le mérite ?
Sans pain noir point de gloire comme dirait ma compagne.
No pain no gain.
PS : ce n'est pas propre au bouddhisme, regardez la personne de Saint Paul, qui commença comme juif persécuteur de chrétien, puis fut frappé de cécité physique sur le chemin de Damas en réponse à la cécité de son cœur, et après fut guérie et devint un puissant défenseur de Jésus, un converti.