C'est disons ce que j'apellerais la "démocratie spirituelle", l'égalité universelle, contrairement à une vision "déformée et hiérarchique" d'autres religions, comme le christianisme, l'islam, certaines formes de base de l'hindouisme, etc, où l'on "confie" plutot sa vie à "Dieu", qui serait au-dessus des créatures, un absolu dirigeant tout, le "big-boss" !
Mais un des seuls "revers" de la médaille parfois, c'est que contrairement aux monothéismes, où "en dehors de dieu, point de salut", et où "mieux vaut se vouer à dieu qu'à ses saints", le bouddhisme, religion sans "dieu(x)" a donc "produit" un cortège "d'éveillés" (réels, supposés, ou officiels ou faux...), de "maitres" dits "réalisés", et là, on retombe parfois à nouveau dans l'idolatrie, et la dépendance, non pas de "Dieu" ou d'une divinité "célestes"cette fois-ci, mais d'un être humain "bien réel" sur terre... !, que l'on a parfois tendance à "vénérer", idéaliser ou suivre (surtout dans le vajrayana à mon sens, mais ailleurs parfois); Je n'ai jamais vu cette "importance" donnée au maitre spirituel, dans les autres courants religieux, comme le christianisme, ou d'autres, où les moines, prêtres et autres ne sont que des "intermédiaires" devant "l'éternel", et qui se qualifient rarement de "réalisés", contrairement au bouddhisme parfois (et il existe un réel danger, avec les "gurus", les saints "autoproclamés", (d'origine asiatiques, ou d'occident d'ailleurs) friands du désarroi d'occidentaux en mal d'exotisme orientaliste)
Et on oublie finalement la base du message du bouddha gautama : Soyez à vous même, votre propre maître, votre propre lumière...

Salut, bisous !
Bref, la source est pure, grimpons la montagne et savourons le ciel infini