Mais peut-être que si finalement, cela permet de faire tourner la roue non ? et par là de faire parler les enseignements pour ce que nous en comprenons ?Compagnon : A la réflexion... je pense que ce fil n'est pas une bonne idée.
bouddhisme et christianisme
Je serais d'accord avec toi si cette intention était présente chez tous les participants. J'ai des doutes sur ce point.
Si l'Amour c'est se jeter dans le feu et non parler des flammes, comme l'explique Komyo;
Et si on accepte l'idée que Dieu est pleinement représenté par ses principes plutôt que par un dogme, alors Dieu ne sera t-il pas abondamment présent dans le bouddhisme ainsi que dans les pensées, paroles et actions du plus païen des hommes qui suivrait ces principes ?
Et si on accepte l'idée que Dieu est pleinement représenté par ses principes plutôt que par un dogme, alors Dieu ne sera t-il pas abondamment présent dans le bouddhisme ainsi que dans les pensées, paroles et actions du plus païen des hommes qui suivrait ces principes ?
Reste les arguments de ceux qui disent : "Le bouddhisme, ce n'est pas parler d'amour, mais mettre fin à la souffrance".
Il est peut être là, l'acte d'amour : "Un message qui met fin à la souffrance".
Se détourner de ce message, pour parler de Dieu, ne revient t'il pas à sortir du feu pour parler des flammes ?
Il est peut être là, l'acte d'amour : "Un message qui met fin à la souffrance".
Se détourner de ce message, pour parler de Dieu, ne revient t'il pas à sortir du feu pour parler des flammes ?
Quand je pratiquait le catholicisme, je m'étais dis qu'au fond, puisque "Dieu" était amour, peu importait ou non que l'on croit en lui, du moment que l'on se conduisait selon la manière qu'il indiquait, à la fin Dieu ne refuserait pas de prendre auprès de lui ceux qui avaient agis en chrétien. Ou pour faire plus court : les œuvres étaient plus importante que la foi.ted a écrit :Si l'Amour c'est se jeter dans le feu et non parler des flammes, comme l'explique Komyo;
Et si on accepte l'idée que Dieu est pleinement représenté par ses principes plutôt que par un dogme, alors Dieu ne sera t-il pas abondamment présent dans le bouddhisme ainsi que dans les pensées paroles et actions du plus païen des hommes qui suivrait ces principes ?
Un athée se comportant de manière juste, bonne, généreuse, bienveillante, non violente etc... cherchant le bien de son prochain, etc... n'avait il pas plus de valeur qu'une personne s'affirmant croyante et qui par ses actes faisait le mal ?
J'estimait que "Dieu" avait justement un discernement, un amour, une générosité, qui dépassait les étroites limites humaines. Si justement il était amour, un amour absolu, il n'accepterait pas que des non-croyant connaissent l'Enfer sous le prétexte que dans leur vie il n'avait pas cru, mais c'étaient seulement comporté selon l'éthique, la morale chrétienne.
D'ailleurs, si l'on observe la religion zoroastrienne qui elle même est une réforme du mazdéïsme, cette religion qui a été une des sources de l'élaboration de la religion hébraïque, dans la religion zoroastrienne donc qui est un quasi-monithhéïsme et un dualisme, il n'y pas qu'un paradis et un purgatoire, aucun enfer. Tout le monde finit en fin de compte au Paradis, soit en y allant directement doit en passant un certain temps dans un "purgatoire" pour se purifier en quelque sorte d'actes commis durant la vie. et Ahura Mazda, se présente comme un seigneur de sagesse qui partage son savoir et non comme un être a vénéré, au mieux on le remercies pour le don de sa sagesse. La religion zoroastrienne comporte peu de rites, on ne passe pas son temps à vénérer Ahura Mazda, et les prêtres zoroastriens sont surtout des moralisateur, des individus chargé de rappeler la bonne conduite à avoir dans la société. Il est encouragé de respecter la nature car elle est là pour le bien des hommes, respect vis à vis des plantes et animaux, les femmes et hommes sont égaux en principe et même le pendant négatif d'Ahura Mazda, à savoir Angra Mainyu, est considéré comme utile à la marche du monde. Ahura Mazda et Angra Mainyu n'incarne pas techniquement le bien et le mal mais le meilleur choix possible ou le pire choix possible face à un situation dans la vie. Enfin lorsque les perses envahissaient des territoires les religions locales étaient en principe respectées, il y a un édit de Darius 1er il me semble qui interdisait formellement de persécuter des vaincus pour des raisons religieuse.
@Ted : Reste les arguments de ceux qui disent : "Le bouddhisme, ce n'est pas parler d'amour, mais mettre fin à la souffrance".
Il est peut être là, l'acte d'amour : "Un message qui met fin à la souffrance".
Se détourner de ce message, pour parler de Dieu, ne revient t'il pas à sortir du feu pour parler des flammes ?
Très joli Ted : ), les chrétiens parlent de la Bonne Nouvelle en parlant de la victoire de Jésus sur la mort et ses conséquences sur le salut des hommes, je trouve que dans les 4 Nobles Vérités du Bouddha, la 3ème : il est possible de mettre fin à la souffrance, est une sacrément bonne nouvelle !
(PS : Siddharta a aussi vaincu la mort : Māra (sanskrit, pâli), littéralement « mort », est, dans le bouddhisme, l'esprit tentateur qui essaya d'empêcher Siddhartha Gautama d'atteindre l'éveil. Mais c'est évidemment sans aucun rapport avec la mort qu'a du affronter Jésus. Aucun rapport. Rien).

J'oublis toujours la manip pour coller un lien direct de youtube ... -_-
Il est peut être là, l'acte d'amour : "Un message qui met fin à la souffrance".
Se détourner de ce message, pour parler de Dieu, ne revient t'il pas à sortir du feu pour parler des flammes ?
Très joli Ted : ), les chrétiens parlent de la Bonne Nouvelle en parlant de la victoire de Jésus sur la mort et ses conséquences sur le salut des hommes, je trouve que dans les 4 Nobles Vérités du Bouddha, la 3ème : il est possible de mettre fin à la souffrance, est une sacrément bonne nouvelle !

(PS : Siddharta a aussi vaincu la mort : Māra (sanskrit, pâli), littéralement « mort », est, dans le bouddhisme, l'esprit tentateur qui essaya d'empêcher Siddhartha Gautama d'atteindre l'éveil. Mais c'est évidemment sans aucun rapport avec la mort qu'a du affronter Jésus. Aucun rapport. Rien).

J'oublis toujours la manip pour coller un lien direct de youtube ... -_-
Dernière modification par Compagnon le 26 octobre 2016, 18:19, modifié 2 fois.
Ce qu'il y'a, c'est que le plus païen des hommes ne pourra pas bénéficier du secours de Dieu qu'un chrétien au contraire peut interpeller par la prière et dont il peut recevoir des signes. Donc, croire en Dieu, ce n'est pas seulement se comporter selon des principes à mon avis, c'est aussi pouvoir bénéficier de cette aide.Ted : Si l'Amour c'est se jeter dans le feu et non parler des flammes, comme l'explique Komyo;
Et si on accepte l'idée que Dieu est pleinement représenté par ses principes plutôt que par un dogme, alors Dieu ne sera t-il pas abondamment présent dans le bouddhisme ainsi que dans les pensées, paroles et actions du plus païen des hommes qui suivrait ces principes ?
Dieu est sensé être Amour (absolu) et pardon (surtout dans le Nouveau Testament), maintenant mise en situation :
Je me place dans la situation ou je crois ce qui est dit dans le christianisme.
Mettons que durant ma vie, je me conduit selon le code moral chrétien sans croire en Dieu. Je me suis conduit comme ça simplement par conviction personnelle, parce que c'est mes valeurs c'est tout.
Je meurs.
Manque de bol Dieu existe je suis bien obligé de le reconnaître.
Alors que se passe t-il :
a) Dieu dit : pas de problème tu as fait le bien autour de toi dans ta vie, même si tu n'as pas cru en moi tu a aimé ton prochain comme mon Fils a dit de le faire, vient auprès de moi.
b) Désolé tu n'as pas cru en moi , l'Enfer c'est la porte a coté.
Dans laquelle de ces situation Dieu est amour absolu et pardon ? Dans laquelle de ces situation Dieu se comporte comme un Dieu c'est à dire en dépassant les comportement humains classiques, dans lequel il se comporte comme un humain moyen ?
PS : les égyptiens antiques aussi avaient un jugement divin après la mort, Osiris faisait pesé leur âme, Anubis amenait l'âme, Thot tenait le registre, on pesait l'âme sur une balance, on voyait si l'âme était ou non alourdie par les actes mauvais accomplis par l'humain durant sa vie selon un code moral très clairement établi, et Osiris jugeait, un monstre attendait tapi pour dévorer l'âme du malheureux en cas d'échec, et Isis et Nephtys étaient respectivement de part et d'autre du trône d’Osiris pour toujours plaider l'indulgence car Osiris avait la réputation d'être plutôt sévère. Et dans le monde des vivant les égyptiens les plus fortunés se faisaient fabriquer des amulettes magiques a déposer dans leur momie pour truquer la balance... comme l'Eglise a vendu à un époque des indulgences pour diminuer le temps au purgatoire (ce contre quoi entre autre Luther s'est révolté).
Je me place dans la situation ou je crois ce qui est dit dans le christianisme.
Mettons que durant ma vie, je me conduit selon le code moral chrétien sans croire en Dieu. Je me suis conduit comme ça simplement par conviction personnelle, parce que c'est mes valeurs c'est tout.
Je meurs.
Manque de bol Dieu existe je suis bien obligé de le reconnaître.
Alors que se passe t-il :
a) Dieu dit : pas de problème tu as fait le bien autour de toi dans ta vie, même si tu n'as pas cru en moi tu a aimé ton prochain comme mon Fils a dit de le faire, vient auprès de moi.
b) Désolé tu n'as pas cru en moi , l'Enfer c'est la porte a coté.
Dans laquelle de ces situation Dieu est amour absolu et pardon ? Dans laquelle de ces situation Dieu se comporte comme un Dieu c'est à dire en dépassant les comportement humains classiques, dans lequel il se comporte comme un humain moyen ?
PS : les égyptiens antiques aussi avaient un jugement divin après la mort, Osiris faisait pesé leur âme, Anubis amenait l'âme, Thot tenait le registre, on pesait l'âme sur une balance, on voyait si l'âme était ou non alourdie par les actes mauvais accomplis par l'humain durant sa vie selon un code moral très clairement établi, et Osiris jugeait, un monstre attendait tapi pour dévorer l'âme du malheureux en cas d'échec, et Isis et Nephtys étaient respectivement de part et d'autre du trône d’Osiris pour toujours plaider l'indulgence car Osiris avait la réputation d'être plutôt sévère. Et dans le monde des vivant les égyptiens les plus fortunés se faisaient fabriquer des amulettes magiques a déposer dans leur momie pour truquer la balance... comme l'Eglise a vendu à un époque des indulgences pour diminuer le temps au purgatoire (ce contre quoi entre autre Luther s'est révolté).