
Suis plutôt rouillée, moi...
Comme on dit " chez moi, quand on a un peu la trouille avec ce genre de chose " courageuse, mais pas téméraire, vas-y passe devant, toi, je te suis, enfin... je te tiens, je te retiens, même... "

Les exploits sportifs extrêmes, kamikaze spectaculaires, c'est pas mon truc.
La non-peur de la mort c'est très bien, lorsqu'on sauve une vie, mais c'est pas la peine d'en faire un jeu dangereux. Même si je peux comprendre que des jeunes brûlent peut-être une énergie d'agressivité, de violence dans le sport extrême.
Quand mon fils a eu ses premiers "rollers en ligne" et qu'il allait dehors avec ça et sur un espace-vert avec un petit tremplin pour ça, je n'étais pas rassurée. Mais quelques séances accompagnées, bobos et son tempérament, ont fait qu'il est resté dans ses limites. J'avais moi-même fais du rollers "quatre roues", j'adorais ça, mais en douceur.
Cela me rapelle aussi des trucs, quand j'étais ado... Un parcours "clandestin" sur une rivière, la nuit en kanoé-kayak...

Nous sommes revenus dans l'autre sens, en galopant comme des fous, parce qu'on avait un peu trop parler de film d'horreur.

Enfin, bon bref, c'est pas mon truc, ces sports, rien à prouver.

