J'écoute là... ici...
http://www.franceculture.fr/emission-le ... 2014-02-23
Buenos dias, have a nice day, bonne journée petits grands forumers-non forumers- et tutti quanti
Les racines du ciel
Et bien c'est comme si tu pouvais t'imprégner des rayons de soleil tout en marchant à travers la ville…
Ou comme si tu ouvrais la fenêtre de ta voiture et que l'air frais venait t'arracher un sourire.
Oui, on peut faire autre chose et oublier le balai qu'on a entre les mains à cause d'un mot qui est venu chuter là et on n'entend même plus le bruit du balai ou ses pensées. Juste les mots de la radio et puis on reprend la danse du balai (ou des papiers, ou des pointillés)
J'aime bien ce qu'elle dit.
C'est simple et accessible.
Ouvert.
Ou comme si tu ouvrais la fenêtre de ta voiture et que l'air frais venait t'arracher un sourire.
Oui, on peut faire autre chose et oublier le balai qu'on a entre les mains à cause d'un mot qui est venu chuter là et on n'entend même plus le bruit du balai ou ses pensées. Juste les mots de la radio et puis on reprend la danse du balai (ou des papiers, ou des pointillés)
J'aime bien ce qu'elle dit.
C'est simple et accessible.
Ouvert.
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
Elle est bien la journaliste. Elle a compris pas mal de choses, on dirait... <<metta>>
J'aime bien quand elle fait remarquer que la formule : "Puisses-tu être heureux, puisses-tu être bien, puisses-tu être en sécurité" (à partir de 40')
est très difficile à vivre pleinement ("aimer ses ennemis"). Et que la connaissance et la lucidité des situations, des causes de la souffrance de l'autre, permet de voir l'irréalité ultime des situations.
J'aime bien quand elle fait remarquer que la formule : "Puisses-tu être heureux, puisses-tu être bien, puisses-tu être en sécurité" (à partir de 40')
est très difficile à vivre pleinement ("aimer ses ennemis"). Et que la connaissance et la lucidité des situations, des causes de la souffrance de l'autre, permet de voir l'irréalité ultime des situations.
Interessant pour nous occidentaux qui avons parfois tant de mal avec nos aînés: nos familles par exemple.
J'aime bien aussi les mots d'O.A. sur l'importance de l'écoute et la présence dans les hôpitaux, c'est tellement vrai…c'est vrai partout et avec n'importe qui, c'est transférable totalement, dans nos familles et avec tous les gens que l'on rencontre: lâcher l'oppression, s'abandonner à la qualité de présence…c'est simple comme une feuille qui tombe d'un arbre.
Il y a beaucoup de ponts dans leurs mots.
J'aime bien aussi les mots d'O.A. sur l'importance de l'écoute et la présence dans les hôpitaux, c'est tellement vrai…c'est vrai partout et avec n'importe qui, c'est transférable totalement, dans nos familles et avec tous les gens que l'on rencontre: lâcher l'oppression, s'abandonner à la qualité de présence…c'est simple comme une feuille qui tombe d'un arbre.
J'aime bien quand elle fait remarquer que la formule : "Puisses-tu être heureux, puisses-tu être bien, puisses-tu être en sécurité" (à partir de 40')
est très difficile à vivre pleinement ("aimer ses ennemis"). Et que la connaissance et la lucidité des situations, des causes de la souffrance de l'autre, permet de voir l'irréalité ultime des situations.
Il y a beaucoup de ponts dans leurs mots.
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."