Fugue
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ted
C'est sur que trainer dans les rues à minuit est plus risqué pour une fille que pour un gars...
Certainement...cela doit poser des soucis aux parents aussi...mais j'ai pas eu ce genre d'inquiétude jamais.
Pour ton fils l'essentiel est qu'il aille bien ...il y aura toujours un avant et un après, mais aussi l'instant où l'on relativise en retrouvant son fils...il compte beaucoup cet instant !
Pour ton fils l'essentiel est qu'il aille bien ...il y aura toujours un avant et un après, mais aussi l'instant où l'on relativise en retrouvant son fils...il compte beaucoup cet instant !
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
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Katly
Bon tout va bien, alors.
Bon, pas de de folie et de souffrance pour l'amour quand-même.
Prudence...
Il a l'âge mi-fugue mi-raison.
Va se fortifier, s'assagir, à un moment cette petite pousse de Bouddha.
Bon, pas de de folie et de souffrance pour l'amour quand-même.
Prudence...Il a l'âge mi-fugue mi-raison.
Va se fortifier, s'assagir, à un moment cette petite pousse de Bouddha.
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ted
Pas vraiment...Katly a écrit :Bon tout va bien, alors.
Pas vraiment...
Tout dépend du point de vue où on se place.
Si on se dit : "Quelle chance d'avoir un enfant, alors que d'autres en rêvent !", "Quelle chance qu'il ne soit pas malade !", "Quelle chance qu'il soit scolarisé !", "Quelle chance qu'il ne soit pas en prison !", "Quelle chance qu'il ne se drogue pas !", "Quelle chance qu'il ne brûle pas les voitures des voisins !",
alors oui,
on relativise. On prend la vie comme elle vient.
Mais si on regarde le bulletin scolaire du premier trimestre, si on écoute l'avis des profs, si on observe les mauvaises habitudes qui s'installent, le manque de respect rampant, l'égoïsme croissant, les mensonges récurrents, la fuite du spirituel et les choix consuméristes,
alors non...
Quel est le rôle d'un parent ? Laisser l'ado s'enfoncer dans une souffrance existentielle prévisible, sous prétexte qu'il est libre ?
Je crois que le parent est impuissant à faire face à cette montée d'animalité égoïste.
Le parent peut être, mais le bouddhiste, non !
Comme disait OnMyWay, c'est l'âge où des désirs brûlants essaient de prendre le contrôle.
Ma stratégie est simple : je laisse passer.
Et j'attaque l'arrière-garde.
Donc, désormais, ça va être réveil tous les matins à 6h00.
Avec ça, il devrait tomber de fatigue le soir...
Ca devrait régler tout seul pas mal de crises.Des gens m'ont dit que les ados, ça vivait le soir : je ne suis pas sur que les gamins n'adoptent pas simplement les mauvaises habitudes des parents.
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Katly
Oui, je comprends, je voulais juste dire que tout va bien parce qu'il est là, de retour.
Je dois dire que je ne suis pas spécialiste de l'éducation, ou psy, une maman et je n'ai qu'un enfant, un garçon. Je n'ai guère de conseils à donner, seulement un peu de vécu et ressentis.
Il y a eu des études sur le sommeil et les ados, je crois... à voir... Et il ne répète pas forcément les mêmes habitudes bonnes ou mauvaises de leurs parents, ils se coupent un peu de l'influence familiale au contraire souvent. Plus on essaie de les contrôler ou de leur imposer ou de les sur-protéger, de choisir à leur place, plus ils semblent s'opposer et cela les fragilise dans leur confiance en eux aussi. Il s'agit d'une fugue amoureuse qui comporte ses dangers immédiat ou futurs. Ce n'est pas une fugue pour des raisons plus graves comme pour commettre des délits ou justifiées pour s'échapper d'un milieu violent.
On est juste un guide, un phare. A 20 ans, ils disent pas toujours qu'on a raison, mais ils viennent chercher un conseil, une réponse de diverses façons, besoin de parler et c'est là qu'il faut être présent(e) à l'écoute, éclairer un peu le chemin avec ce qu'on sait soi-même de la vie.
C'est tout un art, d'être ce guide avec toute la compréhension, l'autorité juste et équilibrée, la discipline, tout cela, sans être dans la perfection.
Je crois qu'il n'y a aucun enfant parfait, et qu'on essaie tous d'être les meilleurs parents possibles pour nos enfants. <<metta>>
Je dois dire que je ne suis pas spécialiste de l'éducation, ou psy, une maman et je n'ai qu'un enfant, un garçon. Je n'ai guère de conseils à donner, seulement un peu de vécu et ressentis.
Il y a eu des études sur le sommeil et les ados, je crois... à voir... Et il ne répète pas forcément les mêmes habitudes bonnes ou mauvaises de leurs parents, ils se coupent un peu de l'influence familiale au contraire souvent. Plus on essaie de les contrôler ou de leur imposer ou de les sur-protéger, de choisir à leur place, plus ils semblent s'opposer et cela les fragilise dans leur confiance en eux aussi. Il s'agit d'une fugue amoureuse qui comporte ses dangers immédiat ou futurs. Ce n'est pas une fugue pour des raisons plus graves comme pour commettre des délits ou justifiées pour s'échapper d'un milieu violent.
On est juste un guide, un phare. A 20 ans, ils disent pas toujours qu'on a raison, mais ils viennent chercher un conseil, une réponse de diverses façons, besoin de parler et c'est là qu'il faut être présent(e) à l'écoute, éclairer un peu le chemin avec ce qu'on sait soi-même de la vie.
C'est tout un art, d'être ce guide avec toute la compréhension, l'autorité juste et équilibrée, la discipline, tout cela, sans être dans la perfection.
Je crois qu'il n'y a aucun enfant parfait, et qu'on essaie tous d'être les meilleurs parents possibles pour nos enfants. <<metta>>
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lausm
Eh oui, un ado veut délimiter son espace privatif, on doit je pense respecter cela....et souvent on l'envahit sous prétexte de tant de bienveillance derrière laquelle se cache un sacré désir de contrôle!
Or, que veulent-ils? éprouver le monde, tester leur autonomie.
Si on leur laisse cet espace, ils apprennent vraiment à le gèrer, mais faut accepter la non perfection, faut accepter qu'ils ne seront pas comme on veut. Et qu'il n'y a pas de sécurité absolue, qu'il y a toujours une part de risque...qu'on peut doser.
Le bulletin, est-ce si grave? Quand on voit à la télé que la crise ne donne pas de boulot à des bacs plus 5, va-ton leur rendre service en les submergeant sous une angoisse qui est d'abord la notre, celle de gens qui ont peur du monde à venir (qui n'est rien qu'une pensée)?
Je vois cela avec le mien....on contrôle très peu ses devoirs, il se gère tout seul, en fait ça marche.
Ca me fait penser à cette étude racontée par I.Filliozat : des étudiants reçoivent un groupe de rat. A une moitié on leur fait croire qu'ils ont des possibilités meilleures que la moyenne, aux autres on ne leur dit rien.
Et bien le premier groupe eut des résultats aux tests meilleurs que ceux du second...tout ça parce qu'ayant cru qu'ils étaient meilleurs, ils les ont investi de cette capacité, et cela a influencé leur regard et leur façon de les gérer...et au final leur résultat.
Je trouve qu'on a fait des ados un problème, et que c'est le problème des ados : le regard du monde adulte sur eux.
et je vois au conseil de classe, les attentes démesurées d'un monde adulte sur eux : les profs voudraient qu'ils leur confirment que ce qu'ils font est bon pour eux...mais souvent ils n'écoutent pas vraiment la personne qu'ils ont face à eux. Et les submergent sous leurs peurs et préjugés.
Comment exiger du respect si on n'en a pas vraiment?
Comment faire respecter des règles quand on s'en affranchit souvent sous prétexte d'être adulte?
Comment exiger du travail quand soi-même on en a marre et qu'on se force à faire des choses auxquelles on ne croit plus vraiment?
je pense qu'on doit remettre sur le tapis le regard qu'on a sur le monde, car ce regard est ce sur quoi se fondent nos enfants : en fait notre façon de voir leur importe bien plus que ce qu'on veut croire, car par pudeur et fierté naissante, ils n'osent le montrer....pourtant je le vois surtout quand je discute avec les copains de mon fils : nous sommes leurs maîtres, mais ils ne croiront ce qu'on dit que si nous pratiquons vraiment nos paroles!....et là dessus, ils ont raison, et ils regardent cela.
C'est eux le monde de demain : on devrait s'incliner devant cela, et ce n'est pas se rabaisser que de faire cela : c'est se mettre à la hauteur de ceux qu'on a pour mission d'élever....si on veut entendre le terme d'élever dans toute sa noblesse et grandeur.
Or, que veulent-ils? éprouver le monde, tester leur autonomie.
Si on leur laisse cet espace, ils apprennent vraiment à le gèrer, mais faut accepter la non perfection, faut accepter qu'ils ne seront pas comme on veut. Et qu'il n'y a pas de sécurité absolue, qu'il y a toujours une part de risque...qu'on peut doser.
Le bulletin, est-ce si grave? Quand on voit à la télé que la crise ne donne pas de boulot à des bacs plus 5, va-ton leur rendre service en les submergeant sous une angoisse qui est d'abord la notre, celle de gens qui ont peur du monde à venir (qui n'est rien qu'une pensée)?
Je vois cela avec le mien....on contrôle très peu ses devoirs, il se gère tout seul, en fait ça marche.
Ca me fait penser à cette étude racontée par I.Filliozat : des étudiants reçoivent un groupe de rat. A une moitié on leur fait croire qu'ils ont des possibilités meilleures que la moyenne, aux autres on ne leur dit rien.
Et bien le premier groupe eut des résultats aux tests meilleurs que ceux du second...tout ça parce qu'ayant cru qu'ils étaient meilleurs, ils les ont investi de cette capacité, et cela a influencé leur regard et leur façon de les gérer...et au final leur résultat.
Je trouve qu'on a fait des ados un problème, et que c'est le problème des ados : le regard du monde adulte sur eux.
et je vois au conseil de classe, les attentes démesurées d'un monde adulte sur eux : les profs voudraient qu'ils leur confirment que ce qu'ils font est bon pour eux...mais souvent ils n'écoutent pas vraiment la personne qu'ils ont face à eux. Et les submergent sous leurs peurs et préjugés.
Comment exiger du respect si on n'en a pas vraiment?
Comment faire respecter des règles quand on s'en affranchit souvent sous prétexte d'être adulte?
Comment exiger du travail quand soi-même on en a marre et qu'on se force à faire des choses auxquelles on ne croit plus vraiment?
je pense qu'on doit remettre sur le tapis le regard qu'on a sur le monde, car ce regard est ce sur quoi se fondent nos enfants : en fait notre façon de voir leur importe bien plus que ce qu'on veut croire, car par pudeur et fierté naissante, ils n'osent le montrer....pourtant je le vois surtout quand je discute avec les copains de mon fils : nous sommes leurs maîtres, mais ils ne croiront ce qu'on dit que si nous pratiquons vraiment nos paroles!....et là dessus, ils ont raison, et ils regardent cela.
C'est eux le monde de demain : on devrait s'incliner devant cela, et ce n'est pas se rabaisser que de faire cela : c'est se mettre à la hauteur de ceux qu'on a pour mission d'élever....si on veut entendre le terme d'élever dans toute sa noblesse et grandeur.
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ted
Oui, bien sur... Mais bon, il n'a que 15 ans.Katly a écrit : Il s'agit d'une fugue amoureuse qui comporte ses dangers immédiat ou futurs. Ce n'est pas une fugue pour des raisons plus graves comme pour commettre des délits ou justifiées pour s'échapper d'un milieu violent.
Ah non. Il ne faut pas culpabiliser les parents...lausm a écrit : Comment exiger du respect si on n'en a pas vraiment?
Comment faire respecter des règles quand on s'en affranchit souvent sous prétexte d'être adulte?
Comment exiger du travail quand soi-même on en a marre et qu'on se force à faire des choses auxquelles on ne croit plus vraiment?
Je sais que c'est la grande mode. J'ai appelé un numéro (SOS quelque chose) ils voulaient nous faire venir à des séances avec des psychologues. Avec le gamin ? Non, tous seuls, bien sur... Une sorte d'école des parents qui ne dit pas son nom. "Vous avez besoin d'aide Messieurs-Dames" En bref, ce sont les parents qui n'y comprendraient rien. 
Mais la vérité, c'est qu'on s'écrase devant les dérives qu'on a plantées nous-mêmes avec une éducation complaisante, laxiste. Des jeux vidéos interdits au moins de 18 ans auxquels les gamins jouent dès 10 ans. Des gosses de 9 ans qui ont déjà leur téléphone portable et qui tchattent tard le soir. La télé omni-présente et envahissante, diffusant des messages consuméristes du matin au soir. La femme-objet, déclinée à toutes les sauces dans tous les clips à la mode. Je ne dis pas que tous ces loisirs sont à écarter, mais ils arrivent trop tôt dans la vie des gamins.
Je ne cautionne pas cette approche. S'il faut être parfait pour montrer la voie, c'est cuit ! Il y a la fameuse inférence dont parle Dharmadhatu. Est-ce qu'on ne pourrait pas faire appel à la logique et au raisonnement pour montrer ce qui est juste ? Même si on n'est pas parfait ?lausm a écrit :pourtant je le vois surtout quand je discute avec les copains de mon fils : nous sommes leurs maîtres, mais ils ne croiront ce qu'on dit que si nous pratiquons vraiment nos paroles!.. et là dessus, ils ont raison, et ils regardent cela.
J'imagine par exemple un parent disant à son gosse :
- "Nous on fume et on n'arrive pas à s'arrêter. Ne commet pas la même erreur que nous, parce qu'on regrette."
N'est-ce pas une utopie que de projeter sur des êtres égocentrés, en pleine mutation, l'image majestueuse d'un passage de témoin cosmique ?lausm a écrit :C'est eux le monde de demain : on devrait s'incliner devant cela, et ce n'est pas se rabaisser que de faire cela : c'est se mettre à la hauteur de ceux qu'on a pour mission d'élever....si on veut entendre le terme d'élever dans toute sa noblesse et grandeur.
La seule chose qui intéresse mon gamin ces temps-ci, c'est son argent de poche, les filles, les jeux vidéos et ses potes. Il devient un vrai petit animal égoïste. Si c'est ça se construire, alors brrrrr !!!
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Katly
ted a écrit :Oui, bien sur... Mais bon, il n'a que 15 ans.Katly a écrit : Il s'agit d'une fugue amoureuse qui comporte ses dangers immédiat ou futurs. Ce n'est pas une fugue pour des raisons plus graves comme pour commettre des délits ou justifiées pour s'échapper d'un milieu violent.
J'entends bien.
C'est pour cela que j'ai dis : fugue amoureuse qui comporte ses dangers immédiats ou futurs. Tels que autres fugues, rapports sexuels, risque de grossesse, dépression, alcool, drogue contre lesquels il doit y avoir une protection juste et normale. Education, information, prévention...
Mais ce que j'entends dans le propos de Lausm c'est aussi peurs, angoisses, frustrations... etc inconscientes des parents qui peuvent-être projetées sur l'ado à travers une éducation aussi bien laxiste que répressive, l'extrême. Ce sont toutes ces choses inconscientes qui déforment la manière d'agir pour éduquer, qui peuvent créer des problèmes, des dégâts. Je pense qu'il faut admettre ce défaut dans l'éducation parentale en générale et les remises en questions. La mise en garde. Car la souffrance causée peut être profonde, même si ce n'était pas l'intention. Il ne s'agit pas de culpabiliser les parents mais de regarder plus profondément et en face les choses. Essayer de voir ce qui ne va pas, dans la façon dont on peut aborder la vie de l'adolescent, qui n'est qu'adolescent.A moins qu'il est un mal-être, un problème, dans ce cas l'ado a besoin d'une aide.
Une éducation peut trouver un équilibre avec strict et souple, les extrêmes étant laxiste ou répressif.
Cela n'empêche pas Ted que ton fils pourrait très bien venir te voir un jour, à vingt et un an, en te disant qu'il veut être moine et partir au Népal.
Mais c'est un sujet sensible et personnel et chaque point de vue est en fonction de son vécu de parent ( et d'ado).
<<metta>>
J'aime bien ces regards sur l'éducation....
Ils sont exigeants, mais combien éclairants...!
MBSR, relaxation etc ces choses prendront leur place dans nos systèmes éducatif
Nous sommes cet environnement dans lequel nous évoluons, alors les efforts individuels dans ce sens deviendront des efforts collectifs et s'imposeront dans nos systèmes éducatifs
J'ai noté ces passages plus particulièrement:
Ils sont exigeants, mais combien éclairants...!
L'éducation du coeur…
Souhaiter un bonheur durable à l'autre.
Commencer par poser le masque sur soi même…
"celui qui s'aime pleinement ne peut pas faire de mal à autrui"
Présence active, spacieuse…confiance, spatialité, douceur…
Pas agiter le bocal, laisser déposer…
Les ado: recherche identité
opportunité à apprendre à se connaître en observant son esprit
l'insécurité fondamentale est très forte dans nos sociétés
c'est important de transmettre confiance fondamentale
éducation à la sagesse et compassion
valeur importantes:confiance, sécurité intérieure, compassion
commencer par attention à soi, élan pour l'autre est naturel
le nourrir
en occident notre système éducatif ne donne pas toujours espace où se poser
On enseigne à nos enfants à maîtriser le monde et pas notre esprit
...
MBSR, relaxation etc ces choses prendront leur place dans nos systèmes éducatif
Nous sommes cet environnement dans lequel nous évoluons, alors les efforts individuels dans ce sens deviendront des efforts collectifs et s'imposeront dans nos systèmes éducatifs
J'ai noté ces passages plus particulièrement:
L'amour qu'on transmet dans nos sociétés est conditionnel
Alors on transmet peurs
Ne jamais se négliger soi même
L'espace préservé en nous mêmes est aussi ce que l'on peut offrir aux autres
Quelques soient les difficultés rencontrées, porter ce regard bienveillant sur nous mêmes
Attentes des ado: comprendre comment fonctionne notre esprit
Les ado pensent parfois qu'ils sont les seuls à ne pas comprendre leur esprit
moment clé dans la prise de confiance en soi: quand ils découvrent que c'est seulement la nature de l'esprit
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
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ted
J'ai l'air comme ça, mais je suis plutôt ouvert...
Je râle, je râle, mais en dernier ressort, je laisse l'autre libre... Peut-être un peu trop d'ailleurs.
Je râle, je râle, mais en dernier ressort, je laisse l'autre libre... Peut-être un peu trop d'ailleurs.