Je dirais même plus, le mariage, qui m'a toujours paru peu naturel et rigide dans un monde en mouvement et éphémère par nature, a souvent tendance à "tuer" le désir, en tous cas envers son conjointC'est pas parce qu'on est marié qu'on b... tous les jours comme des libertins...
D'où les amantes cachées parfois ou souvent, les maitresses et autres relations annexes pour libérer le fauve en rut; Vu que dans la nature, le mariage n'existe pas, c'est "sex party" suivant les occasions !
De mon coté, sache (petit être lubrique
), que j'ai terminé le livre-manuel il y a quelques jours, je préfère avoir une vision d'ensemble d'un sujet avant d'y revenir; Mais pour moi aujourd'hui, il est plus facile de tomber en jhana que de tomber "amoureux", d'ailleurs quand on tombe ça fait toujours mal, sauf si la chute a lieu en dukkha nirodha 
Il y a le bodhisattva du même nom, réputé pour la largesse de ses offrandes au Bouddha; ici il s'agit du Bouddha Samantabhadra, une représentation du Dharmakaya du Bouddha Shakyamuni, ou encore de l'esprit inné que possède tout être conscient.
Oui, 2 personnages distincts, et si on accepte le fait que le Bouddha Samantabhadra (tib. Kuntuzangpo) soit le Corps de vérité du Bouddha Shakyamuni, on peut dire qu'il est bien son disciple, indirectement. Le Bodhisattva Samantabhadra fait partie des 8 bodhisattvas considérés comme les proches disciples du Bouddha Shakyamuni, dans la tradition du Mahayana.