Plus d'obstacles au ciel
Liberté sans un nuage
Lumière infinie
Quel temps fait-il dans votre esprit aujourd'hui ?
Gros nuages de traine de la semaine.
Je vais démissionner de mon travail actuel, pesant, usant moralement et physiquement.
viewtopic.php?f=78&t=6895
Gris, perle de pluie.
Maintenant retour à soi.
Je vais démissionner de mon travail actuel, pesant, usant moralement et physiquement.
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Gris, perle de pluie.
Maintenant retour à soi.
Retrouver ses esprits après la nuit et tous ses rêves dont je ne me souviens plus..je me souviens d'avoir rêvé tout de même...ai-je un esprit vraiment ?
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
Ce matin, une émotion, envie de pleurer en réalisant que toutes mes cellules criaient la vie…oui, c'était un peu ça, beaucoup même…au moment où j'ai senti les larmes monter, c'est tout mon corps qui se mettait dedans, et je sentais des vibrations remonter du fin fond de mes molécules…qui me disaient la vie, une vie intense, immense…
Ca m'a traversée, et j'entendais la voix de mon corps qui était là, puissante, si puissante …et donc, je l'écoutais …et ça disait que j'avais mis les mots justes sur les choses, et ça m'a rendue à nouveau silencieuse au dehors, parce que j'écoutais dedans cette émotion qui montait et qui était très accordée, très à propos avec les mots exprimés et entendus : c'est comme si mon corps était une immense oreille dont je n'avais jamais entendu autant la mesure avec autant d'acuité... comme une naissance dont je prenais conscience
Alors c'était une belle émotion, renversante, une ouverture également …merci la vie.
Ca m'a traversée, et j'entendais la voix de mon corps qui était là, puissante, si puissante …et donc, je l'écoutais …et ça disait que j'avais mis les mots justes sur les choses, et ça m'a rendue à nouveau silencieuse au dehors, parce que j'écoutais dedans cette émotion qui montait et qui était très accordée, très à propos avec les mots exprimés et entendus : c'est comme si mon corps était une immense oreille dont je n'avais jamais entendu autant la mesure avec autant d'acuité... comme une naissance dont je prenais conscience
Alors c'était une belle émotion, renversante, une ouverture également …merci la vie.

Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
Tu sais que tu n'as droit à rien si tu démissionnes ?Katly a écrit :Gros nuages de traine de la semaine.
Je vais démissionner de mon travail actuel, pesant, usant moralement et physiquement.

Si tu as des revenus suffisants pour le faire, c'est cool...
Sinon... ça peut vite devenir pire que le boulot...
axiste a écrit :ça m'a rendue à nouveau silencieuse au dehors, parce que j'écoutais dedans...

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Sabba danam dhammadanam jinati - Le don du Dhamma surpasse tout autre don
Dhammapada


C'est sur que cette "société" (de merdeTu sais que tu n'as droit à rien si tu démissionnes ?
Si tu as des revenus suffisants pour le faire, c'est cool...
Sinon... ça peut vite devenir pire que le boulot...

C'est d'ailleurs pourquoi j'ai quitté ce système, en pleine fac y a un bail, et arreté le salariat apres quelques petits boulots saisonniers; Depuis je vis à ma façon, modestement ou pas, mais au moins j'ai une chose que ces systèmes ne peuvent acheter : la liberté, et une bien plus grande tranquilité; Qui bien sur, se paye souvent par la solitude et autre (d'où la phrase tu n' as droit à rien quand tu "démissionnes" de la société, ni argent venant d'eux souvent (à toi d'en gagner à ta façon ou faire sans), ni amis ou peu, ni "amour" souvent, etc !;
Mais pour ma part je crois bien plus aux "modes de vie alternatifs" ou parallèles, comme le troc, ou l'échanges de services gratuit, solidaire, entraides, en dehors des systèmes où ne regne que le fric, le pouvoir social, l'exploitation des salariés, le moutonnisme et le "marche ou creve";
Récemment en escale (routière) 4 jours sur le bassin d'arcachon, campé 4 nuits dans les forets de pins, avec les chouettes et hiboux à la tombée de la nuit et le chant des oiseaux au levé du soleil; Virée à arcachon, ville assez "bourge", j'ai quand même trouvé une occas d'embarquement sur un voilier sympa, gars sympa, gratuit... et pourtant dans ce cas je propose toujours une participation aux frais de journée ! mais des fois ça passe sans



Allez je repars dans mon trip, bises delphinus
T'as rien quitté du tout la preuve en est, tu utilises internet (Opérateur privé) au travers d'un PC (produit de consomation) alimenté par de l'énergie fabriqué (Electricité De France) et tu te trimbale avec de la monaie, pilier d'un système sociétal en bref ... tu utilises ce que le système te mets à disposition sans contrepartie.onmyway a écrit :C'est d'ailleurs pourquoi j'ai quitté ce système,
Comment on appelle ca déjà ...? shuuuuuuuuuuuuttttt
Quand je parle de "quitter le système" (entre autre, mais pas que ça) c'est d'abord le système du travail salarié et "institutionnel", vu que pour ma part, je gagne ma vie, même modestement ou de façon alléatoire, en indépendant, sans devoir rien à personne;
Donc je ne suis ni un "profiteur" (contrairement à certains patrons ou politiques qui abusent de leurs statuts) ni un mendiant comme ceux ou celles qu'on trouve parfois malheureusement;
Et pour l'usage de choses du système, bien sûr qu'on peut aller loin (ou pas) dans le "détachement", même des vetements de rando ou chassures de sports sont en général "produits par des gens en société", à moins de s'habiller en pagne ou feuilles tressées, ou en peau ou fourrure de yack tibétain décédé !
Mais pour ce qui est du mode de vie, la marge est grande, et aller vers le détachement ou l'indépendance m'a toujours paru plus salutaire;
Le salarié et patrons se croient "en sécurité", plus souvent que l'artisan, l'indépendant etc, mais une faillite ou licencement peut toujours arriver, et la vie et la mort elle-même est un risque à prendre ou pas
Comme disant le vieux sage Tchouang tseu, taoiste anarchiste trop méconnu, "les petits voleurs sont en prison, les grands voleurs sont tous princes"
A méditer...
Donc je ne suis ni un "profiteur" (contrairement à certains patrons ou politiques qui abusent de leurs statuts) ni un mendiant comme ceux ou celles qu'on trouve parfois malheureusement;
Et pour l'usage de choses du système, bien sûr qu'on peut aller loin (ou pas) dans le "détachement", même des vetements de rando ou chassures de sports sont en général "produits par des gens en société", à moins de s'habiller en pagne ou feuilles tressées, ou en peau ou fourrure de yack tibétain décédé !
Mais pour ce qui est du mode de vie, la marge est grande, et aller vers le détachement ou l'indépendance m'a toujours paru plus salutaire;
Le salarié et patrons se croient "en sécurité", plus souvent que l'artisan, l'indépendant etc, mais une faillite ou licencement peut toujours arriver, et la vie et la mort elle-même est un risque à prendre ou pas

Comme disant le vieux sage Tchouang tseu, taoiste anarchiste trop méconnu, "les petits voleurs sont en prison, les grands voleurs sont tous princes"

A méditer...
