La communication par les échanges écrits, les discussions peuvent-être une aide à la compréhension du bouddhisme. Mais cela a sa limite dans l'approfondissement du Dharma, qui se fait seul(e) dans la pratique directe, sans intermédiaires ou interférences, et dans sa propre vie.
Les discussions les échanges et toutes la foison de connaissances peuvent aider, éclairer vraiment, bien-sûr, mais aussi perdre, obscurcir dans la confusion, qui disperse vers l'extérieur. Qui prend trop d'énergie, car Il faut faire en permanence un "tri" fastidieux. Ou cibler par un bon discernement, ce qui est du cumul futiles, de l'erreur au service de cette même "communication" et ce qui est vraiment utile, essentiel à notre propre besoin, notre pratique du moment et celle de l'autre interlocuteur. On peut être carrément en surcharge d'informations extérieures, alors que c'est à l'intérieur que cela se trouve, en le vivant.
<<metta>>
, faut pas s'en priver. Quel que soit le support, au moment où on est prêt pour percevoir une vérité, on la voit et ce qui fait mouche pour l'un (parce que c'est ce dont il avait besoin) est sans effet sur l'autre. 
