

Oui, oui... c'est ce que j'ai essayé de faire avec mon entourage, mais je me demande quel "quelqu'un de bien" je suis pour eux, ils ont plutôt la nostalgie de celle d'avant, ou une autre idée, vois-tu... bref Mais ce que tu dis est très positif et une bonne ouverture.Dharmadhatu a écrit :Katly, peut-être que ça peut les aider à comprendre en discutant avec eux du fait que les préceptes sont juste un chouilla de plus que continuer à être quelqu'un de bien, comme ils le font eux aussi de manière spontanée et sans avoir besoin de prendre refuge, ce qui est admirable.
Je comprends bien, Dharmadathu, mais ce n'est pas du tout ça, ma famille, c'est spécial et compliqué, vraiment... laissons ça...Dharmadhatu a écrit :Au début de mon apprentissage bouddhiste, j'ai changé et pas forcément dans le bon sens: toujours enfermé dans ma chambre ou assis sous mon cerisier avec un bouquin à la main dans la plupart des cas, et je ne m'intéressais pas aux autres tout en vivant chez mes parents.
Et puis j'ai fini par retrouver un peu de bon sens, grâce en particulier à mon professeur.
J'ai retrouvé dans le Lodjong en 7 points un conseil essentiel: Transforme tes attitudes en restant le même. Ou celui de Patrul Rinpotché: Soyez des yogis cachés.
Et la vie devient plus facile au milieu des autres.
Katly a écrit :Mais contrairement à l'apparence que cela peut donner, je suis plutôt communicative, souriante, gentille, j'aime les gens la chaleur et la convivialité, je peux être très joyeuse même parfois. Mais c'est rare, parce que je ne suis ainsi que lorsque je suis en confiance et en toute simplicité dans l'ordinaire, avec les autres. Et qu'importe le lieu ou le prétexte.
Il Y A (Vanessa Paradis).Parfois on regarde les choses
Telles qu'elles sont
En se demandant pourquoi
Parfois, on les regarde
Telles qu'elles pourraient être
En se disant pourquoi pas
En fait t'as trouvé une "bonne planque" dans le bouddhisme pour ne rien faireAu début de mon apprentissage bouddhiste, j'ai changé et pas forcément dans le bon sens: toujours enfermé dans ma chambre ou assis sous mon cerisier avec un bouquin à la main dans la plupart des cas, et je ne m'intéressais pas aux autres tout en vivant chez mes parents.
Et puis j'ai fini par retrouver un peu de bon sens, grâce en particulier à mon professeur.
Qu'appelles tu ou que comprends-tu dans l'expression "yogis cachés" ?Soyez des yogis cachés.
Dharmadhatu a écrit :Katly a écrit :Mais contrairement à l'apparence que cela peut donner, je suis plutôt communicative, souriante, gentille, j'aime les gens la chaleur et la convivialité, je peux être très joyeuse même parfois. Mais c'est rare, parce que je ne suis ainsi que lorsque je suis en confiance et en toute simplicité dans l'ordinaire, avec les autres. Et qu'importe le lieu ou le prétexte.![]()
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Tout va bien alors.
Et puis après tout, on ne peut pas toujours être responsables de la façon dont les gens nous voient ou souhaiteraient nous voir. Si ça leur fait du bien de nous voir mieux qu'en vrai, ça roule. Si ça leur fait du bien de nous voir moins bien qu'en vrai, ça roule aussi...
Il Y A (Vanessa Paradis).Parfois on regarde les choses
Telles qu'elles sont
En se demandant pourquoi
Parfois, on les regarde
Telles qu'elles pourraient être
En se disant pourquoi pas
Le premier verset rappelle la vue des Sutras, et le second un chouilla de la vision pure du Tantrisme.![]()
C'est vrai, ça y parait qu'y en a qui font la sieste sans en avoir l'air. Mais les cerisiers c'est pas des baobab pour se planquer c'est juste.ardjopa a écrit :En fait t'as trouvé une "bonne planque" dans le bouddhisme pour ne rien faireAu début de mon apprentissage bouddhiste, j'ai changé et pas forcément dans le bon sens: toujours enfermé dans ma chambre ou assis sous mon cerisier avec un bouquin à la main dans la plupart des cas, et je ne m'intéressais pas aux autres tout en vivant chez mes parents.
Et puis j'ai fini par retrouver un peu de bon sens, grâce en particulier à mon professeur.(je déconne)
Cela dit, je ne sais pas si tu travailles ou a travaillé beaucoup, mais je me suis souvent demandé, à tort, ou à raison parfois, si certains moines ou renonçants, sans citer personne !,n'abandonnent pas la vie laic aussi pour "se libérer"des contraintes et charges d'une vie laique "classique", avec boulot, souvent dur (ou devoir de recherche d'emploi), famille souvent à gérer,et autres efforts ou soucis mondains; Par déception sentimentale, ou paresse, etc
Bien sûr il y a souvent aussi une sincère recherche spirituelle, et engagement, mais à mon avis les "facilités" d'une vie de moine ou de yogi, (aumone, peu d'efforts pour se nourrir, se loger etc) peuvent attirer certains
Qu'appelles tu ou que comprends-tu dans l'expression "yogis cachés" ?Soyez des yogis cachés.