Oui c'est sûrement pas extraordinaire, mais peut-être impressionnant lorsqu'on le vit, ou qu'on en est témoin.

Arjopa a écrit :à Dharmadhatu, je ne suis pas "expert" en bouddhisme, mais il me semble que c'est danns son premier discours,
du sermon de Bénares, quand il énonce sa première vérité
« Voici, ô moines, la Noble Vérité sur la souffrance. La naissance est souffrance. La vieillesse est souffrance. La maladie est souffrance. La mort est souffrance. Le chagrin, la douleur, la tristesse et le désespoir sont souffrance. Être uni à ce que l’on déteste est souffrance. Être séparé de ce que l’on aime est souffrance. Ne pas obtenir ce que l’on désire est souffrance. En un mot, les cinq agrégats d'attachement sont souffrance.»
Si il existe, le Bouddha n'a pas énoncé que la vérité de la souffrance, mais aussi celle de sa cessation.Savoir que le bonheur n'exxiste pas, quel bonheur !
Arjopa a écrit :Il a enseigné la cessation de la souffrance, mais vu le comportement global des humains (des macaques en rut prolifiques et pollueurs de planète !) je doute qu'elle cesse pour la plupart d'entre eux, et aussi pour toutes les autres formes de vie sur terre...
Mouais, ça semble très présomptueux d'imaginer savoir ce que les gens ont dans la tête ou le coeur...Pour ce qui est de "l'amour vrai", le metta du bouddhisme, il ne crée pas de souffrance à mon sens, mais très peu en sont capable d'apres ce que j'en ai vu
Arjopa a écrit :En tous cas j'ai assez vu et vécu la méchanceté humaine ( femelles aussi !) voire la cruauté gratuite, que ce soit envers moi ou d'autres êtres, pour ne plus rien chercher ni attendre d'eux-elles ; et surtout à ne plus croire à ces "illusions hypocrites" et mensongères que sont "l'amour mondain" et autres escroqueries; déjà que je n'y croyais pas trop à la base, c'est un truc à te gacher la vie entière, ces "relations malsaines", sans Amour et surtout Liberté
ardjopa a écrit :On est son propre ami, ou ennemi parfois, mais les autres contribuent aussi à avoir des ennuis souvent
Si pourtant tu ne trouves pas un compagnon éclairé, un sage associé menant une bonne vie, alors voyage seul, comme un roi abandonne un domaine qu`il a déjà conquis, comme l`éléphant qui parcoure la forêt.
Il vaut mieux marcher seul; il n`y a pas de compagnonage possible avec un insensé. Marche seul comme l`éléphant qui parcoure la forêt avec peu de désirs, ne faisant pas le mal.