
Une journée particulière
Essentiellement, il me semble que l'argument majeur pour le mariage gay serait le problème dans lequel se retrouve un conjoint lors, par exemple, du décès de l'autre, et en particulier pour les enfants. Si le père homo d'un enfant décède, il est impossible au conjoint d'avoir la garde de l'enfant qui sera placé soit dans sa famille biologique (grands-parents, oncles, tantes, frère ou soeur), soit carrément à l'assistance publique.
Pour ma part, je trouve le dispositif demandé un peu lourd, et trouve valides les arguments de lausm (re la parenté biologique). Il serait plus simple d'amender les lois de sorte que le parent biologique de l'enfant puisse demander et obtenir que son conjoint soit nommé tuteur légal en cas de décès. Car le problème de l'éducation des enfants me parait être le seul point qui justifie toute la démarche du mariage. Je ne suis déjà pas trop favorable au mariage tout court. Alors...
Pour ma part, je trouve le dispositif demandé un peu lourd, et trouve valides les arguments de lausm (re la parenté biologique). Il serait plus simple d'amender les lois de sorte que le parent biologique de l'enfant puisse demander et obtenir que son conjoint soit nommé tuteur légal en cas de décès. Car le problème de l'éducation des enfants me parait être le seul point qui justifie toute la démarche du mariage. Je ne suis déjà pas trop favorable au mariage tout court. Alors...
La responsabilité des élèves est d'empêcher le maître de se "prendre pour un maître".
La question du mariage et celle des enfants doivent-elles être envisagées de façon séparée ?
Je ne suis, moi non plus, pas vraiment favorable au mariage "en soi".
De nos jour, le mariage, c'est un conte de fées, l'amour-toujours bien mis en scène et photographié et tout ça...
Mais pour s'aimer, pas besoin de se marier.
A l'origine (pas taper) c'était le point de départ de fondation d'une famille. Partant de là, dans différentes civilisations, on a intégré l'idée que le mariage n'était définitif qu'une fois un enfant né.
Je veux bien admettre ce mariage-là. C'est pas plus con qu'autre chose comme promesse (et encore, faudrait voir s'il est encore valide une fois les enfants adultes)
Ensuite, partant de là, la question des enfants adoptés et de l'homosexualité... En bonne logique, j'intègre le même fonctionnement aux deux types de couples.
L'ennui, c'est que, socialement, ça ouvrirait tout grand la porte des possibles de l'adoption à une catégorie sociale qui est dans la stricte impossibilité de l'enfant naturel. Par conséquent, la demande de ce côté serait peut-être proportionnellement plus grande. Risque de voir les statistiques complètement bouleversées.... Et après ça ? Vu les polémiques que les statistiques (justement) n'enterrent pas, risque de voir rejaillir la question de l'éducation dans ces innombrables couples homos
problème pas simple...
Je ne suis, moi non plus, pas vraiment favorable au mariage "en soi".
De nos jour, le mariage, c'est un conte de fées, l'amour-toujours bien mis en scène et photographié et tout ça...
Mais pour s'aimer, pas besoin de se marier.
A l'origine (pas taper) c'était le point de départ de fondation d'une famille. Partant de là, dans différentes civilisations, on a intégré l'idée que le mariage n'était définitif qu'une fois un enfant né.
Je veux bien admettre ce mariage-là. C'est pas plus con qu'autre chose comme promesse (et encore, faudrait voir s'il est encore valide une fois les enfants adultes)
Ensuite, partant de là, la question des enfants adoptés et de l'homosexualité... En bonne logique, j'intègre le même fonctionnement aux deux types de couples.
L'ennui, c'est que, socialement, ça ouvrirait tout grand la porte des possibles de l'adoption à une catégorie sociale qui est dans la stricte impossibilité de l'enfant naturel. Par conséquent, la demande de ce côté serait peut-être proportionnellement plus grande. Risque de voir les statistiques complètement bouleversées.... Et après ça ? Vu les polémiques que les statistiques (justement) n'enterrent pas, risque de voir rejaillir la question de l'éducation dans ces innombrables couples homos
problème pas simple...
C'est quel sutra celui là ?ardjopa a écrit :sutra xxxxxxx a écrit :"Le contentement dans le plaisir des sens ne s'élève pas d'une pluie de pièces d'or. De petite douceur, mais douloureux sont les plaisirs des sens. Connaissant cela, l'homme sage ne trouve aucun délice même dans les plaisirs célestes. Le disciple du pleinement éveillé se réjouit dans la destruction de la soif."
"Du désir des sens vient le chagrin, du désir des sens vient la crainte. Si l'on est affranchi du désir des sens, on ne connaît ni le chagrin ni la crainte"
Délicieuses sont les forêts où la foule ne se réjouit pas; les hommes libres de passions y trouvent la joie parce qu'ils ne recherchent pas les plaisirs des sens.
S'attacher aux plaisirs des sens, ce qui est bas, vulgaire, terrestre, ignoble et engendre de mauvaises conséquences;Ne vous abandonnez pas à la négligence,
Ne vous abandonnez pas aux plaisirs des sens.
Méditez avec vigilance
Celui qui a seulement le plaisir en vue, qui vit dans l’incontinence des sens, qui jouit sans mesure, ce lâche dépourvu de toute énergie, Mâra vient à bout de lui, aussi facilement que le vent d’un arbre fragile.
Quand Bouddha parle du plaisir des sens, il ne parle pas que de sexe, il parle des 6 sens.
- - Ca inclut aussi le plaisir de sentir le vent frais te caresser le visage, debout dans la plaine.
- Le plaisir d'entendre les oiseaux chanter.
- Le plaisir de manger des fruits sauvages.
- Le plaisir d'observer le soleil se coucher.
- Le plaisir de marcher librement, loin de la ville.
- Le plaisir d'imaginer ou de concevoir.
Ce sont nos sens, tous nos sens, qui sont profondément insatisfaisants.
Faut vraiment être obsédé par le sexe pour croire ça.ardjopa a écrit : Se détacher de ce désir qui est un des "fondements" évident de la (re)naissance sur terre, change donc de manière assez évidente la perspective de vie et de chemin personnel, de celui qui le vit, et d'autant plus s'il cherche la liberté-liberation

Après une semaine de travail et de nuits sans sommeil, on n'a pas forcément très envie le samedi soir. Pareil pour les personnes malades, les personnes agées, les couples blasés, ceux qui regardent la télé, ceux qui ont de graves soucis et préoccupations, ceux qui ont d'autres distractions, ceux qui n'aiment pas ça. Et les homosexuels n'échappent pas à la règle, je suppose.
Bref ! On n'a pas tous 20 ans, avec une pensée à caractère sexuel toutes les 5 minutes.
Une parenthèse avant que Flocon n'arrive...
Ya quand même un truc que je ne pige pas : la définition du désir sexuel comme étant un instinct de reproduction, ne colle pas. Sinon, les homosexuels n'éprouveraient pas de désirs l'un envers l'autre ? Alors, quelle définition donner au désir sexuel ?

Ya quand même un truc que je ne pige pas : la définition du désir sexuel comme étant un instinct de reproduction, ne colle pas. Sinon, les homosexuels n'éprouveraient pas de désirs l'un envers l'autre ? Alors, quelle définition donner au désir sexuel ?