
Alors voilà, je mets ce sujet dans "Bouddhisme" parce qu'il traite de la souffrance dans le plaisir et du plaisir dans la souffrance.
En fait...c'est assez simple et cela m'a sauté aux yeux.
Tout à l'heure, j'étais pris d'une envie incompressible d'uriner.
Pendant que je me soulageais, le mot indique bien ce qu'il indique,
Le plaisir incomparable que je ressentais allait du plus fort au plus faible jusqu'à l'extinction de ce plaisir marqué par la fin des opérations.
Ainsi, c'était bien de la souffrance la plus extrême que partait le plaisir le plus extrême également, tout ceci allant en diminuendo.
Ce qui m'est venu comme idée/sensation, c'est que le plaisir allant de paire avec la souffrance étaient yang, et que la fin de ce processus était yin, vide de plaisir et de souffrance, rappelant par là l'idée du bonheur selon le bouddhisme. Je pouvais d'ailleurs ressentir comme le yang se perdait dans le yin tout au long de ces opérations, comme si deux fleuves allaient se jeter dans l'océan indifférencié.
On retrouve le même principe dans la sexualité, avec dans l'idée que tout ce qui précède l'orgasme, c'est à dire l'exacerbation de l'excitation, est une recherche extrême de soulagement obtenu depuis le point le plus haut de la souffrance qu'implique le sommet de l'excitation en question.
<<metta>>