Je te fais part de la réaction de ma compagne (qui n'a pas sa langue dans sa poche au besoin) quand elle a vu ce qui se passait pour moi dans le cas de l'école primaire :
"En gros, t'aurais du te pointer avec une kalachnikov, là ça aurait été bon".
Après avoir longtemps analysé et digéré ce qui m'est arrivé dans ce cas précis et qui m'a fait beaucoup de mal, j'estime toujours que je n'étais pas un problème pour ces gens, mais une solution potentielle. Que le problème venaient d'eux. C'est eux qui étaient totalement dans l'anormalité.
Et surtout la directrice sous couvert d'une démarche prétendument bienveillante à mon égard pour me "préserver" a été motivée avant tout pas l'ignorance (elle ne me connaissait pas, n'a pas pris le temps de le faire, vu qu'elle était absente 50% du temps au profit de sa deuxième casquette de formatrice, ne connaissait pas ma situation professionnelle et personnelle) et la peur : elle a agît par peur et égoïsme pour préservé son petit univers.
Cette dame travaillait depuis 15 ans comme enseignante dans ce même établissement et venait d'être nommée directrice.
Donc tous ces collègues de travail actuels étaient les mêmes depuis 15 ans. Et pour avoir fréquenté un certain nombre d'établissement scolaires comme enseignant suppléant à une époque, j'ai aussi vu pas mal de directeurs. Cette dame selon moi n'avait pas compris 2 choses : quand on est directeur d'un établissement scolaire on s'en occupe à plein temps, il a pas mal de tâches ingrates mais elles sont nécessaire. Et il faut être présent constamment sur place. On ne passe pas la moitié de son temps ailleurs dans d'autres établissement scolaires pour former des instituteur en laissant la paperasse et le boulot ingrat à un CDD à temps partiel (rôle que je devait jouer et que j'ai jouer avec beaucoup de bonne volonté, trop sans doute).
Deuxièmement en devenant directrice elle a changé son rapport avec ses collègues, elle a cessé d'être au même niveau qu'eux. D'ailleurs elle m'a dit elle même que pour elle tout le monde était au même niveau. Hors cela revient a refuser d'accepter son rôle de directrice. Quand on dirige on accepte un rapport vertical avec ses collègues, c'est pourquoi elle s'est laissé dicté ses actes par ses collègues. D'ou mon départ.
J'estime donc que cette dame est dans l'erreur sur bien des points dans son rôle professionnel et que cela ne peut que lui coûté cher un jour ou l'autre.
D'ailleurs je n'étais pas le premier a devoir partir. Le précédent AVS administratif avait été aussi poussé vers la sortie car la directrice m'a affirmé qu'il aurait tenté d'aller chercher des information privés dans le système informatique de l'établissement scolaire. Bizarre comme accusation.
2 personnes se succèdent, par 2 fois on leur reproche quelque chose de suspect.
Et pour raccrocher avec le sujet de ce forum, je suis convaincu que cette dame a mal agît a mon égard et elle savait qu'elle me causait du tord, elle n'a pas mesuré de quelle ampleur mais elle en était consciente puisqu'elle me l'a dit. Cela ne peut que lui nuire un jour ou l'autre. Le fruit de son karma lui reviendra sous une forme ou une autre.
J’inclue donc régulièrement cette dame dans certaines de mes méditation de metta afin d'apaiser mon ressentiment a son égard et de développer ma compassion la concernant car je pense qu'elle en a besoin tout comme moi. Quand on "chasse" quelqu'un d'ouvertement bienveillant et prévenant c'est que l'on ne va vraiment pas bien dans sa propre tête et sa propre vie.
Qu'on est tellement englué dans ses émotions négatives et ses perceptions erronées qu'on ne reconnait même pas la valeur que cela a et qu'on éloigne ce bienfait car on le voit comme un inconvénient et non quelque chose à conservé. Donc pour cet aveuglement, cette dame et ses collègues méritent compassion.