Tu as tout à fait raison, c'est mon côté "petite souris" . Mais c'est surtout qu'en m'éloignant, je ressentais une inquiétude mêlée de culpabilité de continuer mon chemin, en pensant qu'ils allaient peut-être commettre un méfait, un malheur et que je ne n'y pouvais rien, rien. Cela n'avait pas l'air d'être une farce de carnaval pourtant, peut-être, j'espère... mais de toutes façons, ma moindre action n'aurait pas été prise au sérieux. Ce n'est pas mon boulot ! Et la suite de l'action en cours me concernant, me disait bien, par elle-même, naturellement d'aller au travail, parce que c'était l'heure.
Merci.

<<metta>>