Bonjour Dharmadhatu,
Je dois dire que tu as des éléments qui sont plus réaliste que mes propos, je t'en remercie profondément, je me rend compte que mes arguments non pas qu'il ne tienne pas la route, mais ne sont pas issu d'un language collectif, mais encore un language propre a Michel et qu'à Michel, c'est triste que j'ai cette tendance, car mes propos peuvent rendre obscure la compréhension telle qu'elle est réellement expliquer dans une collectivité.
La logique simple de tout mes arguments tournait simplement autour du fait que l'univers du cognitivisme ne peuvent pas rendre compte de la conscience, donc dans ma tête, je l'ai excluse.
la conscience c'est quoi, comment peut-on vérifier l'existence concrète de la conscience ??
Par la méditation.
En fait, la méditation est le seul moyen que l'humain poccède en notre époque présente, pour la connaitre. Mais ce que je disais dans le contexte, est que la science du cognitivisme, ne peut pas dans la disposition présente, rendre compte de ce qu'est la conscience, en plus que la compréhension de la conscience ne soit pas le but ultime de cette science. C'est exactement ce qui m'a embrouillé avec ce mot "cognitivisme", car pourquoi faire un rapprochement entre la conscience et une science qui ne s'y interesse pas vraiment ?? Elle semble beaucoup plus centrer sur les activités neuronale, ce qui renvoie non pas a la conscience, mais aux phénomènes qui agissent en elle, comme en la matière.
Mais rendu là, je crois que l'on dévie royalement du Bouddhisme.
Il demeure que la vacuité est une expérience réalisable, le problème, il me semble, est dans la croyance en la réalité indépendante de la vacuité, en la fesant "objet", ce qui semble être tomber dans une des deux vues extrême qui est celle du nihilisme.
En fait, si on fait de la vacuité un objet en soi, on tombe dans l'absolutisme: on rend la vacuité comme absolue, et puisqu'elle n'a plus de relation avec les phénomènes relatifs, ceux-ci deviennent aussi absolus.
On pourrait même penser que les phénomènes n'ont pas d'existence du tout et que seule la vacuité en a une, ce qui revient au nihilisme, mais pas rapport aux phénomènes relatifs.
Si la vacuité est un objet conventionnel (= pas en soi), il n'y a plus ce risque.
Merci de tes précisions, je me demande même pourquoi j'ai écrit cela.
la définition de la conscience dans le Bouddhisme: clarté et cognition.
Ouff... c'est petite phrase est très profonde...
Oui, la conscience est ce qui permets de rendre les phénomènes observable "comme le soleil éclaire le systême solaire" et de ce fait l'on connaît ces objets "objet éclairer par la lumière du soleil qui rend visible les différent objet du systeme solaire qui apparaissent et disparaisse". Dans mon ancienne logique la cognition commencait là, quand l'on va reconnaitre ces objet éclairer par la conscience "univers conceptuelle". Mais Selon ce que tu dis et ce que je lis dans mon encyclopédie de la psychologie, la cognition englobe aussi la conscience et ce qui traite l'information, les souvenir, la mémoire, etc. ...
Merci Dharmadhatu d'avoir pris ce temps avec moi, dans ce brouillard des mes confusions linguistique. Si tu as d'autres justification n'hésite pas. <<metta>>