Je te donne raison dans mon message précédant.
Le Bouddha : qui était-il vraiment ?
T'es en train de dire que, pour un matérialiste, l'éveil serait une utopie ?davi a écrit : ↑27 janvier 2018, 18:08HéHé En fait c'était pour évacuer l'idée que l'homme ne possède pas déjà en lui-même La Bouddhéité. En effet je trouve improbable cette idée de pouvoir créer cette Bouddhéité. Ainsi un homme qui ne vient de nulle part doit retourner d'où il vient. Ce n'est pas du racisme, c'est du matérialisme brut.ted a écrit : ↑27 janvier 2018, 17:44C'est toi qui a dit : Et ensuite, il meurt et va nourrir les vers... comme une sorte de constat dédaigneux pour le destin pitoyable des "hommes comme les autres", tout juste bons à vivre et à crever, mais certainement pas suffisamment à la hauteur pour faire une découverte aussi transcendante que le Noble Sentier Octuple. mdrrrdavi a écrit : ↑27 janvier 2018, 15:34Je ne pense pas qu'il faille avoir du dédain pour notre incarnation actuelle, comme pour toute forme vivante d'ailleurs, même si on ne doit pas s'y attacher et pratiquer le renoncement pour pouvoir se libérer du cycle des incarnations. Puisque c'est la base de notre collection de mérites et de sagesse, c'est au contraire une incarnation précieuse pour peu qu'on l'utilise en ce sens. Mais tout cela tu le sais bien Ted.
C'est du racisme anti-HommeCommeLesAutres et ça devrait être signalé...
Je pose juste la question, parce que cet aspect m'intéresse.
Que serait l'éveil d'un matérialiste ? Ce serait déjà une réalisation éphémère, puisqu'à sa mort son éveil prendrait fin. Ce serait aussi un éveil restreint, puisque l'éveil concerne l'esprit et que l'esprit pour un matérialiste est issu de la matière; il serait impossible pour cet esprit de réaliser notamment l'essence de la matière, sauf à considérer que l'esprit n'est pas différent en essence de la matière (absence de dualité avec pour essence ultime la matière). Nous aurions ainsi un esprit matériel ayant atteint l'éveil durant la vie du corps. Mais bon, personne n'a jamais vu la matière autrement que par son esprit...
S'indigner, s'irriter, perdre patience, se mettre en colère, oui, dans certains cas ce serait mérité. Mais ce qui serait encore plus mérité, ce serait d'entrer en compassion.
Les matérialistes sont en quête d'une sorte d'immortalité en bricolant les gènes et en cultivant des organes in vitro.
Tu as raison d'utiliser le terme de bricolage. Est-il bon de désirer l'immortalité pour une condition imparfaite et limitée ? En tous cas, ça ne nous concernera pas mon cher Ted... crysmiley
S'indigner, s'irriter, perdre patience, se mettre en colère, oui, dans certains cas ce serait mérité. Mais ce qui serait encore plus mérité, ce serait d'entrer en compassion.
Science sans conscience n'est que ruine de l'âme. La science est au service de l'homme, de son bien-être, de son futur aussi. Mais ce qui est à satisfaire n'est pas matériel, mais spirituel. La matière n'a pas besoin d'être consolée ou d'espérer.
S'indigner, s'irriter, perdre patience, se mettre en colère, oui, dans certains cas ce serait mérité. Mais ce qui serait encore plus mérité, ce serait d'entrer en compassion.
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
Permettez moi une brève interruption,vos mots me posent des questions color_3
L'antonyme de monisme c'est "dualité..."
La science pose un regard duel sur les phénomènes, les choses, les considérant extérieures.
Le bouddhisme pose l'interdépendance et la vacuité.
Donc ce que dit Ted ne semble pas absurde, au contraire... ?!
Et que penser de cette démarche ?
Le Dalaï Lama a participé à des dialogues sciences-bouddhisme également, etc....
La science aussi donc.
En tant que phénomène, elle doit être connue. oiseau2julie
L'antonyme de monisme c'est "dualité..."
La science pose un regard duel sur les phénomènes, les choses, les considérant extérieures.
Le bouddhisme pose l'interdépendance et la vacuité.
Donc ce que dit Ted ne semble pas absurde, au contraire... ?!
Et que penser de cette démarche ?
Pourquoi la science est t-elle suivie attentivement par des pratiquants ?Le bouddhisme n’oppose pas le réel au virtuel, la nature à la culture ou l’humain à la technologie. Tout coexiste et se codéveloppe
Le Dalaï Lama a participé à des dialogues sciences-bouddhisme également, etc....
C'est peut-être parce que tout phénomène est Dhamma ?Le bouddhisme ne fait pas de distinction entre le matériel et le spirituel...
La science aussi donc.
En tant que phénomène, elle doit être connue. oiseau2julie
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
Certaines écoles du bouddhisme notamment les particularistes Vaibashikas aujourd'hui disparus faisaient la distinction entre particules matérielles insécables et instants de consciences fondamentales, une personne étant constituée de ces deux composantes ultimes. C'est une vue réaliste et dualiste.
S'indigner, s'irriter, perdre patience, se mettre en colère, oui, dans certains cas ce serait mérité. Mais ce qui serait encore plus mérité, ce serait d'entrer en compassion.