L'art de l'équilibre et la fragilité d'une plume
Bientôt Tirru va nous dire que Gautama n'était qu'un homme... ::mr yellow::
S'indigner, s'irriter, perdre patience, se mettre en colère, oui, dans certains cas ce serait mérité. Mais ce qui serait encore plus mérité, ce serait d'entrer en compassion.
La naïveté est une qualité proche de l'innocenceLongchen a écrit : ↑21 janvier 2018, 17:02Sans doute pas, mais tes réflexions sur ton post un peu plus haut avaient un côté "vision pénétrante" je trouve![]()
Moi je me suis laissé emporter par la mise en scène et la musique !![]()
Dans le showbiz on ne peut sans doute pas penser qu'il n'y a aucun trucage. Ah je suis naïf ! crysmiley

davi les mots sont des cages et le dire est un pléonasme ::mr yellow::
Pareil. En même temps le côté "plume" est symbolique du fait que tout est en équilibre.Pour moi, le message reste le même que la plume soit alourdie ou non...
Tout est équilibre et requiert notre vigilance...
Je n'avais pas vu plus que cela...
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
S'indigner, s'irriter, perdre patience, se mettre en colère, oui, dans certains cas ce serait mérité. Mais ce qui serait encore plus mérité, ce serait d'entrer en compassion.

Généralement lorsqu’on dit Gautama ou Siddhartha cela fait référence à l’homme avant l’eveil et Bouddha, l’homme après l’éveil. Dans les deux cas c’est effectivement un homme mais pas n’importe quel homme, un homme libéré et réalisé. Dois-je comprendre cher Davi que c’est un deva ou qu’il mérite d’être divinisé ?
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Dhammapada


Ca m'a donné envie de chercher Tathagata sur wiki et je suis tombé sur ces quatre définitions qui sont assez différentes, mais qui finalement se complètent bien :
Chengshilun (成実論) : celui qui est parvenu à l’éveil en suivant le chemin de l’ainséité ;
Yunfalunlun (転法輪論) : rú représente le nirvāna et lái la compréhension ; rúlái est « celui qui réalise le nirvana » ;
Shengmanbaoku (勝鬘寶窟) : en apparaissant en chair et en os (nirmanakaya), le bouddha manifeste (fait venir) l'ainséité (dharmakaya) dans le monde .
Commentaire du Maha Vairochana Sutra (大日經疏) : celui qui prend le chemin des autres bouddhas.
Chengshilun (成実論) : celui qui est parvenu à l’éveil en suivant le chemin de l’ainséité ;
Yunfalunlun (転法輪論) : rú représente le nirvāna et lái la compréhension ; rúlái est « celui qui réalise le nirvana » ;
Shengmanbaoku (勝鬘寶窟) : en apparaissant en chair et en os (nirmanakaya), le bouddha manifeste (fait venir) l'ainséité (dharmakaya) dans le monde .
Commentaire du Maha Vairochana Sutra (大日經疏) : celui qui prend le chemin des autres bouddhas.
Je ne dis pas que c'est le cas de Tirru. Je n'en sais rien :
Mais n'y a t'il pas chez ceux qui affirment que le Bouddha n'était qu'un homme, rien qu'un homme, une sorte d'attachement à la condition humaine ? A son potentiel magnifique ?

Ou alors une peur inconsciente d'offenser un Dieu qui veille peut être ?

En affirmant l'humanité du Bouddha, on jouerait sur les deux tableaux ? On resterait à notre place ? On éviterait d'offenser Dieu ?
Les athées n'ont pas ce souci.