C'est difficile pour moi d'argumenter sur vos présentation...
Dieu est pour moi l'absolu, cette absolu est réel, donc vivant. Tout vie par cette absolu, je n'ai pas envie de définir ou de philosopher sur cette absolu cela n'entraine rien de valable, c'est comme philosopher sur le non-né, c'est juste absurde !! Même dire cette absolu est déjà en lui-même étrange, car cette idée d'un "cette" créer une limite, là où il n'y en a pas, disons que Dieu n'est pas le dieu des philosophes... Le Bouddhisme n'est pas plus une Voie des philosophes, dans les deux cas, c'est un appel a l'intimité réel d'une pratique, c'est cela qui compte, qui pénètre le coeur.
Cette absolu est actif, et dans cette activité, il y a des qualités comme la compassion infini, la bonté bienveillante, etc. ... Cela pour moi représente déjà la Trinité du Christianisme, c'est par les qualités qui rendre possible l'activité de connaitre l'absolu, sans l'activité l'absolu demeure voilé, c'est en culivant d'abord les qualités que le voile est petit a petit dévoilé par l'activité même de l'absolu.
Dieu est la relation entre les qualités, ce qui est actif et l'absolu, chacun des trois ont bien chacune des caractéristiques distincte l'une de l'autre, mais il y a un seul Dieu et non pas trois Dieu...
Je ne m'attarde plus vraiment a ce type de présentation "dogmatique", mais si je présente cette dogmatisation, c'est pas pour moi-même, car j'en est pas vraiment besoin, c'est juste pour dire que l'on est très loins des déva ou dieux impermanent...
Pour en parler, l'on doit devenir obligatoirement "poétique" cela ne signifie pas "existence imaginaire", c'est juste une facon symbolique d'exprimer quelques choses qui ne se défini pas vraiment en mot, comme si les mots serait en quelque sorte plus un fardeau qu'autres choses.
Le Père, l'Esprit-Saint et le Verbe, un Dieu, qui est la Loi de toute choses. Si l'on est pas animer par la vertue, la compréhension réel de l'expérience profonde qui est "actif [Verbe]" de l'absolu [Père], demeure voilé, l'on demeure soumis a l'esclavage de l'ignorance et des souffrance qui y sont lié, comme l'attachement a soi-mêmes. C'est en mourrant à soi-même, que l'activité des vertue nous ouvre a une dimention plus grande que nous-mêmes.
Le Bouddhisme en générale présentera cela a l'inverse, par la négation, pour moi c'est la même chose au niveau de l'expérience... Mais l'attachement a la forme "positive ou idéaliste comme l'attachement a une négation" peuvent être nuisible a l'approfondissement réel d'une expérience concrète "intimité".
Pour moi, dire que Dieu chatie ceux qui ne se tourne pas vers lui, n'est pas dire un mensonge... C'est comme dire ceux qui ignore la réalité telle qu'elle est, finissent par en souffir un jour ou l'autre. Quel est cette réalité telle quelle est, que si nous l'ignorons nous en soufrons un jour ou l'autre, cela reviens a dire que tant que notre regard ne se tourne pas vers cette "réalité telle quelle est" nous souffrons, cette réalité telle quelle est, chatie ceux qui ne sont pas tourné vers elle, car ce qui voile cette réalité telle quelle est n'est pas autre chose que la réalité telle quelle est...
Dieu place des sceaux sur les yeux des sots...
Dans le coran: nul ne peut égaré celui que Dieu dirige et nul ne peut dirigé celui que Dieu égare.... Le voile ou l'absence de voile obscurcissant ne vient pas de d'autre choses que de la réalité telle quelle est.
C'est juste mon avis dans sa forme poétique.....
<<metta>>