ted a écrit:
Mais du coup, est-ce qu'une une retraite de 3 ans (presqu'entièrement en tibétain) ne devient pas un enseignement élitiste réservé à une minorité d'érudits ?
Flocon écrit:
Je ne sais pas. Le tibétain est peut-être aisé à maîtriser, du moins suffisamment pour suivre une retraite, sans nécessité particulière d'érudition.
Le japonais, pour prendre l'autre langue que tu as mentionnée, n'est pas difficile, je le sais d'expérience : n'importe qui peut en acquérir assez rapidement les bases nécessaires pour suivre des enseignements bouddhistes, s'il est motivé.
Je connais quelques expressions basiques en japonais (pas eu le temps de m'y plonger vraiment, malgrès deux séjours là bas) , mais en connaissant pas mal de leur culture déjà avant (termes bouddhistes jap, arts martiaux etc), on peut surement se débrouiller; Et avec un sabre "katana" sous la gorge, on doit apprendre rudement plus vite
Globement, je trouve le japonais assez facile d'apres les aperçus que j'ai eu, plus facile même que le français;
J'y trouve des similitudes avec l'espagnol dans la sonorité, que j'ai maitrisé assez vite jusqu'a la fac;
Et la position des mots (sujet, verbe, auxiliaire etc) se rapproche de l'anglais
Eigo ga dekimasuka ?
Anglais parlez-vous ?
Nihon ga dai sukidesu
Japon, beaucoup aimer "c'est" (j'aime beaucoup le japon)
Et si tu n'as pas assez de mots, tu peux toujours avoir recours à l'anglais
"Fukushima crisis is a big big japanese shit !"
I'm fed up with this modern society where Ryokan, the wandering zen monk, couldn't find his place anymore,
because japanese urbanity is neither zen nor shinto spirit
May the great monk Daruma blows on this fucking towns, and the Yamabushi aikidokas prevail in the mountains,
May the dolphins of Taiji bay and the Whales be respected, finally
Or you will take a big quenelle !
Arigato gozaimassssssss
Sayonaraaaa "