Cinquième précepte bouddhiste : ne pas avaler d'intoxicants

[Katly]

Mouais, il est poète à ses heures.

Tiens ça me fait penser ! la boîtes aux lettres ! si mon livre de TNH est arrivé.

[Jean]

Onmyway a écrit

Jean, je n'ai pas écrit cette phrase, mais bon, j'écris d'autres choses pas grave

Gasp! Goulp!

Désolé, la vue qui baisse, la sénilité, peut être?....

De la sénilité à la sérénité....

[Katly]

Ben avec tous les édit et fautes, oubli de mots, de lettres que je fais, je te dépasse Jean. <<metta>>
Je cache mes cheveux blancs derrière l'écran.

[Jean]

Hé oui! Avant de se réincarner, il faut lire attentivement le contrat, cette histoire de maladie et de vieillesse ça devait être écrit tout petit

[ted]

Par définition, une drogue, c'est quelque chose dont on ne peut plus se passer. Dont on ne pourra plus se passer.
En même temps, certaines personnes ont des maladies chroniques et ne peuvent plus se passer de leurs médicaments pour survivre.
Ou est la différence ? l'un est légal, l'autre pas.
Parfois, une même substance est illégale en tant que drogue, mais légale en tant que médicament.

[Katly]

Il y a des médicaments permanents ( avec leurs effets indésirables ).
Des gens sous cortisone, morphine contre des douleurs intolérables.
Des personnes épileptiques... etc

L'effet bénéfique d'un médicament est augmenté par la méditation.

Les anti-dépresseurs ne devraient-être qu'une béquille qu'il faut abandonner, et ce n'est pas suffisant, car cela ne résout pas le problème en profondeur d'une souffrance.

En Inde, à l'époque de Siddhartha, du Bouddha, il y avait certainement des drogues, pas synthétiques, chimiques, mais des plantes aussi.
Mais il n'en a pas fait l'usage pour s'éveiller, connaître le Nirvana, la Libération.

[Dharmadhatu]

Pour faire écho à ce que dit Jean, Harvard vient de déclarer officiellement bénéfique la méditation. Par contre le journal de M6, l'a définie en écartant catégoriquement l'analyse. Ce qui est dommage car elle fait partie des types de méditations (bénéfiques aussi).

Concernant les drogues et la connaissance qu'elles peuvent apporter du fonctionnement de l'esprit, ça a été mon cas. J'avais commencé à fumer de l'herbe à une période où l'esprit m'intéressait au plus haut point (il m'intéresse toujours autant maintenant).

J'ai fini par remarquer que le thc pouvait entraîner un zoom dans l'esprit (on peu être plus concentré en jouant aux échecs après avoir fumé par exemple), mais qu'il peut aussi entraîner un sérieux manque de "panoramique" (on ne se rend plus compte du temps qui passe ou si la personne en face en a marre d'attendre !). Pour corroborer mon cas perso, j'ai vu des gens sous thc ou qui en ont consommé de manière récurrente, qui pouvaient zapper complètement le contexte, tout en appuyant exagérément le sujet qui les occupe ou qui est censé occuper les autres dans un contexte particulier.

C'est très handicapant si la personne n'apprend pas à cultiver le panoramique dans la caméra de son esprit. Et aussi si la personne n'apprend pas à se détacher de ce type d'états d'esprit, ce qui est malgré tout possible. La méditation semble être une bonne solution...

L'idéal est de cultiver de concert le zoom et le panoramique: shamatha et vipashyana.

[onmyway]

Fumer de l'herbe et autres trucs zarbi, et ça se dit bouddhiste , ahaha !
Laisse moi rire;
Pauvre herbe, si elle savait que des humains étaient assez oufs pour vouloir la fumer, elle retournerait sous la terre

[Dharmadhatu]

Fumer de l'herbe et autres trucs zarbi, et ça se dit bouddhiste , ahaha !
Laisse moi rire;
Pauvre herbe, si elle savait que des humains étaient assez oufs pour vouloir la fumer, elle retournerait sous la terre

love3 Et aussi, depuis environ 3 ans, il m'arrive de manger de la viande et de boire de l'alcool. Il m'arrive aussi de penser des choses pas cool à propos de certaines personnes. De ressentir parfois de l'orgueil. D'être souvent feignant. Et plein d'autres trucs pas bien. Oui, je suis bouddhiste, pas Bouddha.

[ted]

love3 Et aussi, depuis environ 3 ans, il m'arrive de manger de la viande et de boire de l'alcool.

Pourquoi 3 ans ?