Bon, fin du HS pour moi.
Peut-on faire le bonheur d'autrui malgré lui ?
Bon courage à ton fils et à toute la famille, et juste une dernière chose (même si je suppose que vous y avez pensé) : en cas de souci de ce genre, il est parfois bien utile de demander le conseil et l'aide d'une association de parents d'élèves.
Bon, fin du HS pour moi.
Bon, fin du HS pour moi.
Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
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tobeornottobe
________________ardjopa a écrit :et vive la liberté loin de la société "*****" de ***** sans *****
Le samsara n'est que souffrance mais la société, l'école, le travail.. ça va? Bouddha parlait des êtres qui sont sur terre?
Lol
Vive le Bouddhisme conscient du problème et qui espère en guérir, par l'éveil.
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passagère
Merci Flocon oui nous ne manquerons pas d'aller leur demander aide et conseil , bien sur . Tout au moins nous les mettrons au courant déjà .
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kay
On ne sait jamais ce qu'est la vie et ce qu'elle peut faire...
Il y a parfois de rares personnes qui parviennent à ouvrir la brèche en soi. Pas pour empoisonner mais pour guérir. Aider à extraire la souffrance d'autrui, malgré lui. Vous sortent de vos ténèbres, de la geôle intérieure mortifère, si minutieusement construite, renforcée, quelques fois depuis fort longtemps, parce qu'on savait pas faire autrement. Mais en donnant des clés, "l'entravé" s'en sert et apprend à se libérer seul. C'est aussi une façon de tirer une personne de l'autre côté du bord. En fait, que ce soit brutalement, ou à petit feu, ne pas se suicider, vivre c'est vraiment aimer l'autre. Plus que soi-même. Et une fois que "le cas désespéré" à vu la sortie, la brèche de lumière, il ne peut plus revenir en arrière. C'est peut-être ce qu'on appelle "compter pour quelqu'un", en étant rien l'un pour l'autre, parfois. C'est humain.
Il y a parfois de rares personnes qui parviennent à ouvrir la brèche en soi. Pas pour empoisonner mais pour guérir. Aider à extraire la souffrance d'autrui, malgré lui. Vous sortent de vos ténèbres, de la geôle intérieure mortifère, si minutieusement construite, renforcée, quelques fois depuis fort longtemps, parce qu'on savait pas faire autrement. Mais en donnant des clés, "l'entravé" s'en sert et apprend à se libérer seul. C'est aussi une façon de tirer une personne de l'autre côté du bord. En fait, que ce soit brutalement, ou à petit feu, ne pas se suicider, vivre c'est vraiment aimer l'autre. Plus que soi-même. Et une fois que "le cas désespéré" à vu la sortie, la brèche de lumière, il ne peut plus revenir en arrière. C'est peut-être ce qu'on appelle "compter pour quelqu'un", en étant rien l'un pour l'autre, parfois. C'est humain.