Oui, c'est la remémoration de la mort.
La façon de la pratiquer varie selon les écoles, pour ce que j'en sais. Souvent, on conseille de la mettre en œuvre deux fois par jour, le matin et le soir : c'est en référence à ce sutra.
Testez vos connaissances bouddhistes !
Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Bonjour,
De la même facon que nous retrouvons cet aspect de la contemplation de l'impermanence du corps dans la fameux satipatthana sutta
De la même facon que nous retrouvons cet aspect de la contemplation de l'impermanence du corps dans la fameux satipatthana sutta
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Sabba danam dhammadanam jinati - Le don du Dhamma surpasse tout autre don
Dhammapada


- Dharmadhatu
- Messages : 3690
- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
shuuuuuuuuuuuuttttt Ca ne serait pas plutôt marana-anussati (maranânussati) ?


apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
Oui, ce sont deux pratiques un peu différentes.
Autre question : qu'est-ce que le canon pali appelle les anusaya, et combien y en a-t-il?
Autre question : qu'est-ce que le canon pali appelle les anusaya, et combien y en a-t-il?
Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Est-ce que ce n'est pas ce qu'on appelle des "empreintes karmiques" ? C'est à dire, des tendances latentes qui sont en nous ?Flocon a écrit :Autre question : qu'est-ce que le canon pali appelle les anusaya, et combien y en a-t-il?

...
Ah ! Tiens ! J'ai trouvé !


http://www.buddha-vacana.org/fr/sutta/s ... 5-176.htmlCes sept, bhikkhus, sont des tendances sous-jacentes. Quelles sont ces sept ?
- La tendance sous-jacente au désir sensuel, la tendance sous-jacente à l'aversion, la tendance sous-jacente aux vues, la tendance sous-jacente au doute, la tendance sous-jacente à l'orgueil, la tendance sous-jacente au désir d'existence, la tendance sous-jacente à l'ignorance.
On dirait que ça recoupe assez étroitement les 10 liens ?

viewtopic.php?f=61&t=6710&p=1514
viewtopic.php?f=61&t=6723
Oui, ce sont les tendances profondes du psychisme et le canon pali en décrit sept. On les traduit parfois par "les sept obsessions", comme ici.
Elles recoupent effectivement en partie les dix liens (les samyojana), ce qui me paraît assez logique.
Pour ce que j'en sais, les empreintes karmiques sont, en pali et sanscrit, les vasana, et il s'agit de quelque chose d'un peu différent.
Elles recoupent effectivement en partie les dix liens (les samyojana), ce qui me paraît assez logique.
Pour ce que j'en sais, les empreintes karmiques sont, en pali et sanscrit, les vasana, et il s'agit de quelque chose d'un peu différent.
Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
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Le "deuxième" Gyalwa karmapa de la tradition kagyupa (j'ai assisté y a un bail à un enseignement de lui, à Dhagpo kagyu ling)
Il a l'air sympa, assez intello
Il a l'air sympa, assez intello
Je précise le "deuxième" 17ème gyalwa karmapa, car il y en a un autre, plus officiel d'après certains, d'une autre tradition je crois,
bref on y comprends rien, c'est comme entre fillon et copé, chacun veut prendre la place, et ça finit en bagarre de gamins
sur la place du marché
bref on y comprends rien, c'est comme entre fillon et copé, chacun veut prendre la place, et ça finit en bagarre de gamins
sur la place du marché

- Dharmadhatu
- Messages : 3690
- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
ardjopa a écrit :Je précise le "deuxième" 17ème gyalwa karmapa, car il y en a un autre, plus officiel d'après certains, d'une autre tradition je crois,
bref on y comprends rien, c'est comme entre fillon et copé, chacun veut prendre la place, et ça finit en bagarre de gamins
sur la place du marché

Les deux Karmapas sont de la même tradition: Karma Kagyü.
Les deux Karmapas ne se sont jamais bagarrés. Ce sont surtout les entourages qui font obstacle, comme souvent d'ailleurs.
Bref, il est plus sage d'y comprendre quelque chose avant de juger.

apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
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Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
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