
Merci ted.
Parmi les extraits qui figurent ci-dessus, je n'en ai trouvé pas trouvé où le Bouddha fait allusion de manière précise et constructive à la re-naissance.
Par exemple, celui qui a été écrit en gras :
« Quand je décédai, je naquis à un endroit où j’eus tel nom, telle lignée, telle couleur, telle nourriture, où je connus tel bonheur et tel malheur, et où j’eus telle durée de vie. Quand je décédai, je naquis ici.»
Pour ma part, cela ne m'apprend rien sur ce qui se passe après la mort sinon que « quelque chose » renaît après une mort d'être humain, où on a « tel nom, telle lignée, telle couleur, telle nourriture, où je connus tel bonheur et tel malheur, et où j’eus telle durée de vie. »
Je maintiens donc ma position : à savoir que, du temps du Bouddha, la religion dominante en Inde inclurait la réincarnation, et que le Bouddha y aurait fait allusion de son temps sans plus de précision. Le Bouddha serait donc mort avec son secret.
Excepté que, dans toute vie ultérieure, on renaîtrait en fonction de l'état du kamma présent au moment du décès, ce qui encourage tout humain à se comporter correctement durant sa vie présente, ceci n'étant pas très original...
Ce que je pense à ce stade, c'est ceci :
Ce qui renaît dans toute vie ultérieure serait fonction de l'état du kamma précédent : les psychismes de toutes vies ultérieures et de toutes vies antérieures n'auraient rien en commun. Seuls les états des kammas successifs influeraient principalement d'une vie à l'autre.