
Une journée particulière
Je précisais...Lupka a écrit :Le propre d'un boubou' (c'pas moi qui le dit c'est le Boss)Sourire a écrit :Il sait remettre en question ses idées reçues et ses habitudes
Rapport à >>> voir plus haut.
Juste comme ça... Z'avez remarqué que internet est un univers remarquablement asexué, d'un point de vue physique ? Remarquablement dénué, d'ailleurs, de toute apparence physique...
Le monde vrai impose aux gens d'avoir à vivre avec une apparence qui, parfois ne cadre pas avec ce qu'ils ressentent à l'intérieur d'eux-mêmes, ou qui tout simplement leur impose un regard dérangeant et du coup amène un malaise intérieur.
OK, OK, je flirte encore avec le H-S.
N'empêche que personne n'est vraiment libre de son apparence.
Moi qui suis tellement plate qu'on me prend régulièrement pour un homme...
Aurais-je le même mental si j'avais développé des nichons à la wonderwoman ?
Voir réponse de Lupka...ardjopa a écrit :Il n'a pas l'air de remettre trop en "question" le "système" dans lequel il se laisse "corrompre",
Le bouddhisme, c'est un truc pour se connaître soi.
Pas pour refaire le monde.
Dans les 9 dixièmes des cas, (et plus), ce qui nous dérange, il suffit de bien l'examiner pour se rendre compte qu'il n'y a pas se raison de s'en faire une montagne.
Reste le dernier dixième...

J'rejoins Sourire: Bouddha ne nous a jamais demandé de refaire le monde ou changer la société, lui même ne l'a pas fait et encore moins essayé.
Ce n'est pas le monde ni la société que nous devons changer en pratiquant le Dhamma mais notre vision de ce monde et la place que nous y occupons si je puis dire donc c'est une belle cause de dénoncer les incohérences du système, les privilèges galvaudés et tout le tintouin mais d'un point de vue purement bouddhiste ( parce que c'est de cela qu'il s'agit ) ca vaut peanuts !
Après c'est un éternel (et différent débat): fuir la société et cracher dessus ou tenter de la changer de l'intérieur au risque de se corompre ?
Mais on dévie total alors autant ouvrir un post parce que c'est pas le sujet initial (désolé Flocon
)
Fin du HS
Ce n'est pas le monde ni la société que nous devons changer en pratiquant le Dhamma mais notre vision de ce monde et la place que nous y occupons si je puis dire donc c'est une belle cause de dénoncer les incohérences du système, les privilèges galvaudés et tout le tintouin mais d'un point de vue purement bouddhiste ( parce que c'est de cela qu'il s'agit ) ca vaut peanuts !
Après c'est un éternel (et différent débat): fuir la société et cracher dessus ou tenter de la changer de l'intérieur au risque de se corompre ?
Mais on dévie total alors autant ouvrir un post parce que c'est pas le sujet initial (désolé Flocon

Fin du HS
Concernant la question des apparences...
Je dois dire que, des fois, quand on m'appelle "monsieur", même si la méprise me fait rire (ce qui détend en général l'interlocuteur gêné de son erreur), hé ben... Ensuite, ça me tricote les neurones.
D'autant que je déteste qu'on m'appelle "madame" (suis pas mariée, quoi !!!)
Bon... J'suis hétéro, mais en situation d'abstinence depuis pas mal de temps. Et bien comme ça.
Finalement... shuuuuuuuuuuuuttttt Je suis quoi ?
Ca serait plus facile de répondre si la nature m'y avait un peu aidée...
Mais là, sauf un petit rappel à l'ordre une fois par mois, avouez que je manque de repères.
Et il faudrait que les gens autour de moi en aient à ma place ?
J'suis bien exigeante !
Ca a la forme d'un chou à la crème, ça a la taille d'un chou à la crème, ça a la couleur d'un chou à la vanille...
Y'a pas d'étiquette.
Faudrait deviner sans ouvrir la vitrine pour aller renifler de près qu'à l'intérieur c'est chocolat ?
On pourrait aussi parler du Yin et du Yang dans l'âme humaine => Précisément, des hommes qui sont plus Yin et des femmes plutôt Yang
Mais j'écourte...
Encore un petit flirt avec le H-S...
Juste parce que même sans entrer dans le vif du sujet de l'homophobie, on peut rappeler que la question de l'identité sexuelle, ça n'est pas forcément quelque chose de si facile que ça à trancher.
Je dois dire que, des fois, quand on m'appelle "monsieur", même si la méprise me fait rire (ce qui détend en général l'interlocuteur gêné de son erreur), hé ben... Ensuite, ça me tricote les neurones.
D'autant que je déteste qu'on m'appelle "madame" (suis pas mariée, quoi !!!)
Bon... J'suis hétéro, mais en situation d'abstinence depuis pas mal de temps. Et bien comme ça.
Finalement... shuuuuuuuuuuuuttttt Je suis quoi ?
Ca serait plus facile de répondre si la nature m'y avait un peu aidée...
Mais là, sauf un petit rappel à l'ordre une fois par mois, avouez que je manque de repères.
Et il faudrait que les gens autour de moi en aient à ma place ?
J'suis bien exigeante !
Ca a la forme d'un chou à la crème, ça a la taille d'un chou à la crème, ça a la couleur d'un chou à la vanille...
Y'a pas d'étiquette.
Faudrait deviner sans ouvrir la vitrine pour aller renifler de près qu'à l'intérieur c'est chocolat ?
On pourrait aussi parler du Yin et du Yang dans l'âme humaine => Précisément, des hommes qui sont plus Yin et des femmes plutôt Yang

Mais j'écourte...
Encore un petit flirt avec le H-S...
Juste parce que même sans entrer dans le vif du sujet de l'homophobie, on peut rappeler que la question de l'identité sexuelle, ça n'est pas forcément quelque chose de si facile que ça à trancher.
Bah oui, c'est encore une question d'identité!!
Sexuelle ou pas.
Bon, je vais être décevant, mais je suis moi aussi super conditionné à fond méga tradition conservateur.
En fait, à la limite, le mariage homo, tout ça, je m'en fous un peu.
Ce qui me gène c'est tout le tapage autour qui m'a l'air une grande démarche de séduction éminemment politique, qui ne résoudra aucun problème de discrimination, voire même les aggravera.
Car quand une classe glousse, face à ce qui concerne l'homosexualité, peut-être que la question qui se pose, c'est la représentation de celle-ci??
et peut-être en allant plus loin, la question c'est même la sexualité tout court...où nous sommes dans un monde où l'on est saturé de stimulations visuelles, et en même temps dans des tabous du contact qui n'ont jamais été aussi forts.
Personnellement, mon père est homosexuel. J'ai mis dix ans à arriver à l'admettre et le nommer, après la mort de ma mère.
après, en fait, ce qui compte le plus pour moi, est qu'il soit heureux. Cela me gènerait considérablement plus s'il collectionnait les partenaires, avait des comportements de sexualité consommatrice. Mais cela n'est pas le cas.
Je dis ça car l'homosexualité revendiquée de façon criarde, me fait suer.
J'ai connu quelqu'un comme ça, qui est responsable de dojo.
Quand j'ai suivi le maître avec qui je pratiquais, il a jeté son dévolu sur moi. Comme je n'ai pas répondu à ses avances, il m'a harcelé dans le dojo pendant plus de deux ans, utilisant sa connaissance du cadre, des règles, pour me planter au moindre accroc. C'était infernal, c'était tout sauf du bouddhisme. et c'est quelqu'un qui se plaint de la discrimination.
Or, la discrimination, il me l'a faite vivre, je peux comprendre ce qu'une femme vit avec le harcèlement sexuel. Et quand on se comporte ainsi, la revendication est un problème de soi à soi : il s'agit de quelqu'un qui veut qu'on l'accepte comme il est, car il ne s'accepte en fait pas lui-même.
Voilà pourquoi tout ça me gène.
Les discriminations sont le problème, pas l'homoxexualité, qui n'est qu'un support parmi d'autre aux discriminations. A braquer le projecteur dessus, à mon avis on renforce le problème.
Et c'est comme l'adoption : ça me gène considérablement, car il me semble qu'on nie une chose fondamentale : la filiation ne peut se faire sans un père ni une mère. J'ai l'impression que tout le monde veut nier ce fait, et il me semble que concernant ce point, on ne mesure pas les conséquences que cela pourra avoir sur le développement psychique de l'enfant adopté dans ces conditions. Après, peut-être suis-je vieux jeu, mais bon, j'ai tendance à me conformer à la nature, même si l'homosexualité est une de ses expressions. Et puis j'ai lu un peu Didier Dumas, ça influence!
En tous cas concernant l'adoption par un couple homosexuel, oui, j'ai le sentiment qu'on considère l'enfant à adopter comme une objet de désir, mais un objet de désir qui ne passe plus par une gestation dans un corps de femme. Ou alors de façon "objectale". Utilitaire. N'est-ce pas un signe majeur de notre société matérialiste, une volonté d'affirmer de la toute-puissance?? N'est-ce pas encore placer la femme en tant qu'objet d'une façon subtile et détournée??
Ce sont des question que ça me pose.
Voilà, maintenant vous pouvez me taxer de droitiste.
faudra quand même que je prenne une carte d"électeur un jour!
Mais je pense que cela méritait d'être posé.
Sexuelle ou pas.
Bon, je vais être décevant, mais je suis moi aussi super conditionné à fond méga tradition conservateur.
En fait, à la limite, le mariage homo, tout ça, je m'en fous un peu.
Ce qui me gène c'est tout le tapage autour qui m'a l'air une grande démarche de séduction éminemment politique, qui ne résoudra aucun problème de discrimination, voire même les aggravera.
Car quand une classe glousse, face à ce qui concerne l'homosexualité, peut-être que la question qui se pose, c'est la représentation de celle-ci??
et peut-être en allant plus loin, la question c'est même la sexualité tout court...où nous sommes dans un monde où l'on est saturé de stimulations visuelles, et en même temps dans des tabous du contact qui n'ont jamais été aussi forts.
Personnellement, mon père est homosexuel. J'ai mis dix ans à arriver à l'admettre et le nommer, après la mort de ma mère.
après, en fait, ce qui compte le plus pour moi, est qu'il soit heureux. Cela me gènerait considérablement plus s'il collectionnait les partenaires, avait des comportements de sexualité consommatrice. Mais cela n'est pas le cas.
Je dis ça car l'homosexualité revendiquée de façon criarde, me fait suer.
J'ai connu quelqu'un comme ça, qui est responsable de dojo.
Quand j'ai suivi le maître avec qui je pratiquais, il a jeté son dévolu sur moi. Comme je n'ai pas répondu à ses avances, il m'a harcelé dans le dojo pendant plus de deux ans, utilisant sa connaissance du cadre, des règles, pour me planter au moindre accroc. C'était infernal, c'était tout sauf du bouddhisme. et c'est quelqu'un qui se plaint de la discrimination.
Or, la discrimination, il me l'a faite vivre, je peux comprendre ce qu'une femme vit avec le harcèlement sexuel. Et quand on se comporte ainsi, la revendication est un problème de soi à soi : il s'agit de quelqu'un qui veut qu'on l'accepte comme il est, car il ne s'accepte en fait pas lui-même.
Voilà pourquoi tout ça me gène.
Les discriminations sont le problème, pas l'homoxexualité, qui n'est qu'un support parmi d'autre aux discriminations. A braquer le projecteur dessus, à mon avis on renforce le problème.
Et c'est comme l'adoption : ça me gène considérablement, car il me semble qu'on nie une chose fondamentale : la filiation ne peut se faire sans un père ni une mère. J'ai l'impression que tout le monde veut nier ce fait, et il me semble que concernant ce point, on ne mesure pas les conséquences que cela pourra avoir sur le développement psychique de l'enfant adopté dans ces conditions. Après, peut-être suis-je vieux jeu, mais bon, j'ai tendance à me conformer à la nature, même si l'homosexualité est une de ses expressions. Et puis j'ai lu un peu Didier Dumas, ça influence!
En tous cas concernant l'adoption par un couple homosexuel, oui, j'ai le sentiment qu'on considère l'enfant à adopter comme une objet de désir, mais un objet de désir qui ne passe plus par une gestation dans un corps de femme. Ou alors de façon "objectale". Utilitaire. N'est-ce pas un signe majeur de notre société matérialiste, une volonté d'affirmer de la toute-puissance?? N'est-ce pas encore placer la femme en tant qu'objet d'une façon subtile et détournée??
Ce sont des question que ça me pose.
Voilà, maintenant vous pouvez me taxer de droitiste.
faudra quand même que je prenne une carte d"électeur un jour!
Mais je pense que cela méritait d'être posé.
Bon, clairement, le fil dérive, mais ce n'est pas grave.
Ce qui est sans doute intéressant à constater, c'est qu'à partir d'un post sur la lutte contre la discrimination envers les homosexuels, chacun en est venu à parler de ses rapports intimes avec l'homosexualité, des passions et des angoisses que le phénomène suscite en lui/elle. Ce n'était pas mon but en postant, mais c'est révélateur, sans doute, des difficultés rencontrés par les homos, en France : ils éveillent chez les autres, à leur corps défendant, des émotions douloureuses et conflictuelles qui se répercutent parfois lourdement dans les relations sociales et entraînent des conduites discriminantes.
La gestion de ces émotions appartient évidemment à chacun ; toutes sont respectables, si certains comportements qu'elles peuvent entraîner ne le sont pas.
Néanmoins, je crois que la réponse de Ted donnait un point de vue bouddhiste essentiel sur la question : la pratique peut, et doit, aider à déconstruire ces émotions afin de pouvoir les dépasser, cesser de s'y identifier et agir de façon appropriée, sans en être l'otage ou pire, la marionnette. C'est difficile, mais il me semble que c'est possible. Bon courage à tous.
En tout cas, il n'y a pas eu d'homophobie ordinaire à mon séminaire d'hier : c'est une nouvelle réconfortante, non?
En revanche, on a dit plein de mal des Pères de l'Eglise, comme quoi...

Ce qui est sans doute intéressant à constater, c'est qu'à partir d'un post sur la lutte contre la discrimination envers les homosexuels, chacun en est venu à parler de ses rapports intimes avec l'homosexualité, des passions et des angoisses que le phénomène suscite en lui/elle. Ce n'était pas mon but en postant, mais c'est révélateur, sans doute, des difficultés rencontrés par les homos, en France : ils éveillent chez les autres, à leur corps défendant, des émotions douloureuses et conflictuelles qui se répercutent parfois lourdement dans les relations sociales et entraînent des conduites discriminantes.
La gestion de ces émotions appartient évidemment à chacun ; toutes sont respectables, si certains comportements qu'elles peuvent entraîner ne le sont pas.
Néanmoins, je crois que la réponse de Ted donnait un point de vue bouddhiste essentiel sur la question : la pratique peut, et doit, aider à déconstruire ces émotions afin de pouvoir les dépasser, cesser de s'y identifier et agir de façon appropriée, sans en être l'otage ou pire, la marionnette. C'est difficile, mais il me semble que c'est possible. Bon courage à tous.

En tout cas, il n'y a pas eu d'homophobie ordinaire à mon séminaire d'hier : c'est une nouvelle réconfortante, non?



Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Juste pour rectifier certaines choses ( le reste m'importe peu): des études menées sur des enfants adoptés par des couples homosexuels et suivi jusqu'à la grande adolescence (18/20 anns) ont prouvé que d'une part que ca n'en fesait pas des gays ( l'échantillon me semble il est le même qu'un "panel" d'enfants d'hétérosexuels) et qu'ils ne présentaient aucune différences comportementales ou psychiques différentes d'enfants adoptés ou nés de parents hétérosexuels.lausm a écrit : Et c'est comme l'adoption : ça me gène considérablement, car il me semble qu'on nie une chose fondamentale : la filiation ne peut se faire sans un père ni une mère. J'ai l'impression que tout le monde veut nier ce fait, et il me semble que concernant ce point, on ne mesure pas les conséquences que cela pourra avoir sur le développement psychique de l'enfant adopté dans ces conditions. Après, peut-être suis-je vieux jeu, mais bon, j'ai tendance à me conformer à la nature, même si l'homosexualité est une de ses expressions. Et puis j'ai lu un peu Didier Dumas, ça influence!
En tous cas concernant l'adoption par un couple homosexuel, oui, j'ai le sentiment qu'on considère l'enfant à adopter comme une objet de désir, mais un objet de désir qui ne passe plus par une gestation dans un corps de femme. Ou alors de façon "objectale". Utilitaire. N'est-ce pas un signe majeur de notre société matérialiste, une volonté d'affirmer de la toute-puissance?? N'est-ce pas encore placer la femme en tant qu'objet d'une façon subtile et détournée??
Ce sont des question que ça me pose.
Voilà, maintenant vous pouvez me taxer de droitiste.
faudra quand même que je prenne une carte d"électeur un jour!
Mais je pense que cela méritait d'être posé.
Conditionner la femme à seule procréatrice c'est la renforcer dans son rôle d'objet par sa fonction or ouvrir l'adoption et la filation à tous c'est au contraire détruire cette caractéristique. De toute manière qu'on soit pour ou contre refuser l'adoption à une personne ou un couple sous réserve de son orientation sexuelle est une discrimination au même titre que refuser un emploi ( et croyez moi je viens des RH alors la discrimination dans son ensemble je la connais très très bien !)
Bon j'sais pas si je dérive désolé Flocon ... mais je tenais à rétablir une vérité (drôle de France quand même ...)
Edit: pour revenir à l'idée de Ted et ce que dit Flocon oui il faut déconstruire ! dommage que je n'ai plus en tête exactement l'anecdote d'Ajahn Chah avec le buffle qui explique que quand on a compris la vacuité on réalise que le genre (homme/femme) n'existe pas.
Dernière modification par Lupka le 22 mai 2012, 11:06, modifié 1 fois.
Si hors = or (orthographe)Lupka a écrit :Conditionner la femme à seule procréatrice c'est la renforcer dans son rôle d'objet par sa fonction hors ouvrir l'adoption et la filation à tous c'est au contraire détruire cette caractéristique.

sinon = comprends pas
Lupka a écrit :De toute manière qu'on soit pour ou contre refuser l'adoption à une personne ou un couple sous réserve de son orientation sexuelle est une discrimination au même titre que refuser un emploi
