Elle ne venait plus trop souvent et je lui avais demandé pourquoi on ne la voyait plus trop...
Elle m'avait répondu quelque chose d'approchant :
"Je suis heureuse maintenant. C'est fou comme on peut vivre bien avec quelques livres de maîtres !"
Je crois que le coeur, l'essence du Bouddhisme se transmet très facilement. Si on est prêt à entendre le message.
On retourne alors à nos activités.
Et sans prise de refuge, sans sangha, sans maître, sans transmission, un seul livre peut chasser notre souffrance et éclairer notre vie.
Mais est-ce que cet apaisement est vraiment profond et durable ?
Peut-on faire l'économie de l'appartenance à un sangha ?
That's the question...
