Dimension symbolique de l'être humain
Publié : 22 juin 2017, 13:41
Je repense à cet enseignement où il est dit que la voie s’étend dans toutes les directions.
Cette formulation pourrait commencer à se complexifier si quelqu’un venait à demander quelles sont ces directions ?, parce que cette personne aura dans l’idée, et à raison, que cette indication de directions dépasse l’aspect spatial auquel elle semble se référer. Bien-sûr, nous pourrons dans un premier temps confirmer l’exactitude de l’intuition de la personne, mais l’occasion nous sera aussi donnée d’amener le discours sur cette intuition en soi et sur la portée symbolique de notre existence à laquelle celle-ci permet d’accéder.
Bien que cet enseignement au sujet de la voie s’étendant dans toutes les directions dépasse le simple aspect spatial auquel le terme de « directions » se réfère, nous ne sentons pas devoir prendre néanmoins l’initiative de le compléter ou de l'expliquer, ce qui serait probablement le cas si nous sentions une insuffisance dans sa seule évocation. Autrement dit, nous ne sentons pas le besoin de compléter ce mot de « directions » par d’autres qui auraient pour fonction de le préciser ou d’élargir un terme insuffisamment évocateur.
Il me semble que c’est de cette façon, en reconnaissant l’inutilité de préciser et de compléter ce terme, et donc en reconnaissant sa force d'évocation, que nous pouvons implicitement nous rendre compte de notre nature symbolique et par là, de notre capacité à percer l'intimité du sens qui souvent dépasse l’apparence des formulations.
Cette formulation pourrait commencer à se complexifier si quelqu’un venait à demander quelles sont ces directions ?, parce que cette personne aura dans l’idée, et à raison, que cette indication de directions dépasse l’aspect spatial auquel elle semble se référer. Bien-sûr, nous pourrons dans un premier temps confirmer l’exactitude de l’intuition de la personne, mais l’occasion nous sera aussi donnée d’amener le discours sur cette intuition en soi et sur la portée symbolique de notre existence à laquelle celle-ci permet d’accéder.
Bien que cet enseignement au sujet de la voie s’étendant dans toutes les directions dépasse le simple aspect spatial auquel le terme de « directions » se réfère, nous ne sentons pas devoir prendre néanmoins l’initiative de le compléter ou de l'expliquer, ce qui serait probablement le cas si nous sentions une insuffisance dans sa seule évocation. Autrement dit, nous ne sentons pas le besoin de compléter ce mot de « directions » par d’autres qui auraient pour fonction de le préciser ou d’élargir un terme insuffisamment évocateur.
Il me semble que c’est de cette façon, en reconnaissant l’inutilité de préciser et de compléter ce terme, et donc en reconnaissant sa force d'évocation, que nous pouvons implicitement nous rendre compte de notre nature symbolique et par là, de notre capacité à percer l'intimité du sens qui souvent dépasse l’apparence des formulations.