Je me dis depuis peu, parfois, quand je ressens ma lassitude vis à vis des activités "mondaines" qu'il doit être vraiment "doux" de devenir moine. Plus de préoccupations pour tout un tas de choses comme le travail, le salaire, les factures, l'actualité du monde, les soucis familiaux... se consacrer à la pratique, entouré d'une sangha pour vous aider, lires des textes, méditer, se concentrer sur des activités simples : balayer, faire la cuisine, ranger, recopier des soutras, faire des lectures publics...
Etre entouré de gens paisible, qui vont dans le même sens que vous. Si en plus on est dans un monastère en pleine nature, des promenade méditatives, seul ou en groupe. Etre entouré de gens bienveillant et être bienveillant avec eux.
Bien sûre il y a des contraintes sérieuses et la transition avec la vie mondaine doit être difficile quand on devient moine. Mais une fois la cap passé on doit faire de progrès rapide puisque l'on est plus distrait...
D’ailleurs, question, pratique, je me demande comment une personne qui passe de la vie mondaine à la vie monastique apparaît pour les autorités civiles françaises par exemple, notamment vis à vis du fisc ou de la sécu ... si il y a un statut particulier légal, peut être comme les religieux chrétiens catholiques mais eux dépendent d'une autorité centrale, Rome.
La vie de moine
Tu as la CAVIMAC, la sécurité sociale des religieux.Compagnon a écrit : D’ailleurs, question, pratique, je me demande comment une personne qui passe de la vie mondaine à la vie monastique apparaît pour les autorités civiles françaises par exemple, notamment vis à vis du fisc ou de la sécu ... si il y a un statut particulier légal, peut être comme les religieux chrétiens catholiques mais eux dépendent d'une autorité centrale, Rome.
Et ton fils ? Tu en fais quoi ?


Eh oui... on a une famille a laquelle on est attaché, vis à vis de laquelle on a des devoir, vis à vis de laquelle on doit être juste... respecter la sensibilité, les besoins. Mais un jour, quand je serais plus vieux, si je vis assez longtemps... qui sait. Y a ma compagne aussi.... Comme Siddharta avait son épouse et son fils. Ca me fait penser à ce curieux dessin animé que j'ai vu un peu il y a quelques temps, ou il y a les vie de grands maîtres spirituels, donc le Bouddha et sous l'arbre de la Bodi, Mara déguisé en Brahma tente de le faire renoncer, il use de la culpabilité, notamment en rappelant à Siddharta qu'il a abandonné son père (et les ambitions dynastiques de celui-ci). Je comprends pourquoi Siddharta a appelé son fils "Raula". Cela ne m'empêche pas de tenir beaucoup à mon fils et à ma compagne. D'ailleurs je ne manque pas les occasions pour le leur dire.
Mais bon le monde me fatigue en ce moment... j'accumule les problèmes de santé, la semaine à été usante en raison du boulot et d'un changement de poste, j'ai mal à la machoir depuis des moins et là j'ai la crève depuis hier, j'ai très peu dormi la nuit passé alors je suis las. Ça va passer, besoin de prendre refuge pas simplement en moi même mais dans un lieu paisible, hors ce n'est pas possible. Ça passera.
Mais bon le monde me fatigue en ce moment... j'accumule les problèmes de santé, la semaine à été usante en raison du boulot et d'un changement de poste, j'ai mal à la machoir depuis des moins et là j'ai la crève depuis hier, j'ai très peu dormi la nuit passé alors je suis las. Ça va passer, besoin de prendre refuge pas simplement en moi même mais dans un lieu paisible, hors ce n'est pas possible. Ça passera.
Besoin de vacances aussi peut être :
Bois un verre de vinaigre de cidre matin et soir. 2 cuillères à soupe diluées dans un verre d'eau.
Rince toi bien la bouche après.
Investis dans un flacon d'huile essentielle de gingembre (7 € environ)
Met une goutte sur un sucre chaque matin et laisse le fondre sous la langue.

Bois un verre de vinaigre de cidre matin et soir. 2 cuillères à soupe diluées dans un verre d'eau.
Rince toi bien la bouche après.
Investis dans un flacon d'huile essentielle de gingembre (7 € environ)
Met une goutte sur un sucre chaque matin et laisse le fondre sous la langue.
heu...Compagnon a écrit :Euh... pourquoi pas, c'est sensé m'apporter quoi ?

C'es bien toi qui a écrit : "j'accumule les problèmes de santé" ?

Vrai mais... bon tu me proposes un remède de grand-mère pas de problème, je souhaite juste en savoir un peu plus. C'est tout. Je "psycho-somatise" beaucoup.
J'ai trouvé les propriétés sur la toile, je peux remplacé le sucre blanc par du roux, voire du miel ?
J'ai trouvé les propriétés sur la toile, je peux remplacé le sucre blanc par du roux, voire du miel ?
Pour revenir au sujet, je me disais ce matin qu'on pouvait considéré l'amour que l'on a pour sa famille, pour ses proches, non pas forcément comme une entrave mais comme un marchepied, un appui pour développer un amour plus vaste pour des inconnus.
En effet comment peut-on espérer développer un sentiment vaste d'amour si l'on le ressens même pas ce sentiment à petite échelle en soi et autour de soi ?
En effet comment peut-on espérer développer un sentiment vaste d'amour si l'on le ressens même pas ce sentiment à petite échelle en soi et autour de soi ?
Peut-être prendre refuge c'est comme un mouvement, et c'est quelque chose qui peut prendre du temps...un jour, on devient ce temps et puis les choses se font, parfois très doucement, mais les choses arrivent.Ça va passer, besoin de prendre refuge pas simplement en moi même mais dans un lieu paisible, hors ce n'est pas possible.

Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
C'est ce qui semble le plus difficile , mais c'est aussi retrouver une cohérence dans les facettes de la vie flower_leftPour revenir au sujet, je me disais ce matin qu'on pouvait considéré l'amour que l'on a pour sa famille, pour ses proches, non pas forcément comme une entrave mais comme un marchepied, un appui pour développer un amour plus vaste pour des inconnus.
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."