Cas de conscience
Publié : 20 mars 2017, 07:55
Bonjour,
J'aimerais votre avis sur une situation.
Dans une situation une personne A demande à une personne B de ne pas faire quelque chose vis à vis d'une personne C car cette action bien spécifique (une remontrance) C ne la mérite pas, A a bien dit à B que c'était lui A le responsable et non pas C donc que C ne méritait pas réprobation.
La personne B promet qu'elle ne le fera pas. Car elle dit comprendre que C n'y ai pour rien.
Mais la personne B le fait vis à vis de la personne C.
La personne C ignore l'engagement de B vis à vis de A et blâme A pour l'acte de B.
Est ce que A doit indiquer à C que B n'a pas tenu son engagement afin de soi-même ne plus être blâmer au risque que C n'est plus confiance en B et donc que cela représente un tort pour B ?
Ou est ce que A se tait, accepte le blâme, continu de laisser croire à C que B est digne de confiance et ce afin de ne pas nuire à la réputation de B ?
D'un coté A ne souhaite pas faire de tort à B mais de l'autre B a choisi de ne pas tenir son engagement et doit donc en principe en accepter les conséquences, que le non-respect de sa parole soit dévoiler à un moment ou à l'autre, mais est ce à A d'être l'outil de ce dévoilement ?
Là on peut être coincé entre des compassions contradictoires :
de A pour lui même puisqu'il est blâmé à tort par C.
de A pour C puisque C a toujours confiance en B à tort apparemment.
de A pour B qui d'un coté ne veut pas lui causer du tort en dévoilant le non-respect de la parole mais en même temps ne souhaite pas non plus qu'il puisse continuer à tromper autrui, le laisser faire ne serait que l'encourager à croire que cela serait sans conséquences ce qui est faux bien évidemment.
A crains aussi les répercussion de C sur B et de B contre lui A (puisqu'il aura répercuté le non-respect de la parole).
C'est clair... ou confus ?
Qu'en pensez vous ?
Merci
J'aimerais votre avis sur une situation.
Dans une situation une personne A demande à une personne B de ne pas faire quelque chose vis à vis d'une personne C car cette action bien spécifique (une remontrance) C ne la mérite pas, A a bien dit à B que c'était lui A le responsable et non pas C donc que C ne méritait pas réprobation.
La personne B promet qu'elle ne le fera pas. Car elle dit comprendre que C n'y ai pour rien.
Mais la personne B le fait vis à vis de la personne C.
La personne C ignore l'engagement de B vis à vis de A et blâme A pour l'acte de B.
Est ce que A doit indiquer à C que B n'a pas tenu son engagement afin de soi-même ne plus être blâmer au risque que C n'est plus confiance en B et donc que cela représente un tort pour B ?
Ou est ce que A se tait, accepte le blâme, continu de laisser croire à C que B est digne de confiance et ce afin de ne pas nuire à la réputation de B ?
D'un coté A ne souhaite pas faire de tort à B mais de l'autre B a choisi de ne pas tenir son engagement et doit donc en principe en accepter les conséquences, que le non-respect de sa parole soit dévoiler à un moment ou à l'autre, mais est ce à A d'être l'outil de ce dévoilement ?
Là on peut être coincé entre des compassions contradictoires :
de A pour lui même puisqu'il est blâmé à tort par C.
de A pour C puisque C a toujours confiance en B à tort apparemment.
de A pour B qui d'un coté ne veut pas lui causer du tort en dévoilant le non-respect de la parole mais en même temps ne souhaite pas non plus qu'il puisse continuer à tromper autrui, le laisser faire ne serait que l'encourager à croire que cela serait sans conséquences ce qui est faux bien évidemment.
A crains aussi les répercussion de C sur B et de B contre lui A (puisqu'il aura répercuté le non-respect de la parole).
C'est clair... ou confus ?
Qu'en pensez vous ?
Merci