Karma
Publié : 11 janvier 2017, 17:04
Selon le principe de la loi du karma, tout ce que nous pensons, disons et faisons à un jour ou l'autre des conséquences, "bonnes", "neutres" ou "mauvaises", dans notre vie ou "manifestation" actuelle ou dans une vie ou "manifestation" future.
En principe il y a une certaine logique dans cette "rétribution" ou "restitution", dans le sens ou la conséquence aura un rapport avec la pensée, la parole ou l'acte.
Sachant cela, déjà le fait que, actuellement, nous soyons "manifesté" sous forme humaine (qui en principe est de toutes, la forme idéale pour pratiquer le Dharma et atteindre l'Eveil) est le signe que, dans nos manifestations passées nous avons au moins accumulé assez de karma "positif" pour nous re-manifester au moins sous cette forme favorable.
De plus, eu égard aux milliards d'hommes sur Terre actuellement, à la diversité des échanges, à la complexité des faisceaux de circonstances et conditions, le fait même d'avoir été mis en contact avec le Dharma au point de nous amené à le pratiquer peut aussi être interpréter peut être comme une rétribution positive en rapport avec notre karma passé, car tout le monde en ce moment sur Terre n'a pas la chance d'avoir accès au Dharma ni même d'en connaître tout simplement l'existence.
Maintenant, si j'envisage mon cas personnel, depuis que je pratique, j'ai constaté que je rencontre systématiquement des obstacles qui se dressent, d'ordre physique, à mesure que je pratique. A chaque fois des problèmes de santé ou des dysfonctionnements de mon corps me gênent, pas tout le temps mes presque, et à chaque fois que j'essais de pratiquer une autre forme de méditation plus adaptée au handicap... un nouveau problème de santé surgit qui rand caduque cette pratique ! Et la rend compliquée.
Ayant le dos fragile, les vertèbres se tassant facilement, la méditation longtemps assis, quelle que soit la posture, est vite pénible, la méditation marchée ? de nouveau des problème de dos qui surgissent et depuis quelque temps des douleurs, je pense en rapport avec une sinusite maxillaire ou sphénoïdale qui fait que poser le pied bien à plat sur le sol irradie jusque dans mes gencive et mes sinus, j'ai commencé à aller à des séances de pratique collective, et plusieurs fois j'étais affaibli par une maladie temporaire et j'ai du me forcer à y aller et sur place, je dois mettre un coussin dans mon dos quand je suis assis sur une chaise très dure et ce n'est pas très confortable. J'ai essayé la méditation allongée sur le dos, jambe repliées pour tenir compte de mes lombaires, au début cela a perturbé mon cycle de sommeil, et depuis peu alors qu'être allongé sur le dos jambe repliées autrefois était ma position sûre de confort, c'est devenu une position qui finit par me faire souffrir.
Donc c'est incroyable à quel point je rencontre des obstacle physiques de manière régulière qui freinent ma pratique et m'empêche d'en profiter pleinement.
J'en suis venu à me dire qu'autrefois, dans une autre vie, j'avais du persécuté des moines, les gêner de manière malveillante dans leur pratique, les torturer qui sait, ou un moine en particulier par exemple, pour ainsi vivre actuellement ce que je vis.
Non que je me sente coupable c'est juste que je trouve cette accumulation d'opposition suspecte.
En principe il y a une certaine logique dans cette "rétribution" ou "restitution", dans le sens ou la conséquence aura un rapport avec la pensée, la parole ou l'acte.
Sachant cela, déjà le fait que, actuellement, nous soyons "manifesté" sous forme humaine (qui en principe est de toutes, la forme idéale pour pratiquer le Dharma et atteindre l'Eveil) est le signe que, dans nos manifestations passées nous avons au moins accumulé assez de karma "positif" pour nous re-manifester au moins sous cette forme favorable.
De plus, eu égard aux milliards d'hommes sur Terre actuellement, à la diversité des échanges, à la complexité des faisceaux de circonstances et conditions, le fait même d'avoir été mis en contact avec le Dharma au point de nous amené à le pratiquer peut aussi être interpréter peut être comme une rétribution positive en rapport avec notre karma passé, car tout le monde en ce moment sur Terre n'a pas la chance d'avoir accès au Dharma ni même d'en connaître tout simplement l'existence.
Maintenant, si j'envisage mon cas personnel, depuis que je pratique, j'ai constaté que je rencontre systématiquement des obstacles qui se dressent, d'ordre physique, à mesure que je pratique. A chaque fois des problèmes de santé ou des dysfonctionnements de mon corps me gênent, pas tout le temps mes presque, et à chaque fois que j'essais de pratiquer une autre forme de méditation plus adaptée au handicap... un nouveau problème de santé surgit qui rand caduque cette pratique ! Et la rend compliquée.
Ayant le dos fragile, les vertèbres se tassant facilement, la méditation longtemps assis, quelle que soit la posture, est vite pénible, la méditation marchée ? de nouveau des problème de dos qui surgissent et depuis quelque temps des douleurs, je pense en rapport avec une sinusite maxillaire ou sphénoïdale qui fait que poser le pied bien à plat sur le sol irradie jusque dans mes gencive et mes sinus, j'ai commencé à aller à des séances de pratique collective, et plusieurs fois j'étais affaibli par une maladie temporaire et j'ai du me forcer à y aller et sur place, je dois mettre un coussin dans mon dos quand je suis assis sur une chaise très dure et ce n'est pas très confortable. J'ai essayé la méditation allongée sur le dos, jambe repliées pour tenir compte de mes lombaires, au début cela a perturbé mon cycle de sommeil, et depuis peu alors qu'être allongé sur le dos jambe repliées autrefois était ma position sûre de confort, c'est devenu une position qui finit par me faire souffrir.
Donc c'est incroyable à quel point je rencontre des obstacle physiques de manière régulière qui freinent ma pratique et m'empêche d'en profiter pleinement.
J'en suis venu à me dire qu'autrefois, dans une autre vie, j'avais du persécuté des moines, les gêner de manière malveillante dans leur pratique, les torturer qui sait, ou un moine en particulier par exemple, pour ainsi vivre actuellement ce que je vis.
Non que je me sente coupable c'est juste que je trouve cette accumulation d'opposition suspecte.