Bonjour Circé,
Je crois que la mort nous questionne bien souvent tout le long de notre vie Elle est au cœur de notre pratique et des enseignements du bouddhisme, mais la saisie intellectuelle qu'on en fait n'est pas l'expérience directe. Alors, pour mieux s'en détacher, on peut la contempler comme l'évoque le satipatthana soutra pratiqué dans les monastères thailandais en visualisant la décomposition des agrégats avec précision pour comprendre l'attachement et l'impermanence si cela peut aider à prendre conscience que notre vie est précieuse et donner des raisons supplémentaire pour pratiquer.
Je préfère aussi cultiver les graines de joie, mais après, chacun explore à sa manière les chemins, qu'il peut parcourir pour rendre cette compréhension efficiente.
Chemins parfois bien différents pour autrui de ceux présents dans notre courant de conscience et ne suscitant probablement pas les mêmes ressentis pour chacun.