Non, ce n'est pas ce que j'ai écrit. C'est ce que tu interprètes parce que tu ne comprends pas ce qu'est la nature de Bouddha. Tu confonds le "Non-né" (qui au passage est la traduction que certains théravadins donnent de "Nibanna") avec une entité universelle et/ou intemporelle. Comme quoi, le manque d'expérience et même d'études du Bouddhisme te fait dire n'importe quoi.Fa a écrit :Regarde ce que tu écris : Si tu reconnais ta "nature de Bouddha", c'est qu'elle pré-existe, et qu'elle a un caractère universel et intemporel, qui échappe
à l'impermanence qui est le fondement du Bouddhisme des origines.
Inutile de recopier des définitions de Wiki ou de je ne sais qui, qui sont fausses de surcroît, pour argumenter. Tu ne sais rien de ce qu'est l'illumination subite, dans le Zen comme dans le Dzogchen.A moins de refuser tout raisonnement logique, le corrélat métaphysique de l'illumination subite propre au Zen, est le Tathagatagarbha encore appelé "nature de Bouddha". La "nature de Bouddha" postule bien l'existence d'une cause permanente, un invariant métaphysique.Le tathāgatagarbha, « matrice » ou « embryon » de bouddha, encore appelé « nature de bouddha » ou « graine d'éveil », est le germe renfermant la nature essentielle, universelle et immortelle présente en tout être sensible, cause et potentiel d’illumination (nirvāṇa). Cette notion, inconnue du bouddhisme originel dit theravāda, fournit une base théorique à l’élargissement de la pratique aux laïcs - une des caractéristiques du mahāyāna - ainsi qu’à certaines pratiques de méditation visant l’illumination subite, comme le zen ou le dzogchen.
Fin de la discussion pour moi. Je ne souhaite pas débattre sur une affaire qui est pour moi entendue mais qui ne l'est manifestement pas pour tout le monde.