Quand trop, c'est trop...
Oui, prendre les choses unes à unes en comprenant qu'il faut de toute façon employer une certaine quantité incompressible de temps pour exécuter ces actions ; au vu de cette incompressibilité, on peut en quelque sorte s'employer à prendre son temps dans ce temps dédié à accomplir ces actions.
"Hâte-toi lentement".
Au travail, parfois il y a tellement à faire, que j'ai tendance à stresser devant ce trop de chose. Une technique est de faire au jour le jour; je me concentre sur une tâche en particulier selon les priorités, je mets les autres de côté, m'obligeant à ne plus y penser. A chaque jour suffit sa peine, demain est un autre jour, etc.
Si une tâche a pris du retard, eh bien tant pis pour elle et tant mieux pour ma santé; j'aurai ma conscience (professionnelle) pour moi. On n'est pas des boeufs... 


S'indigner, s'irriter, perdre patience, se mettre en colère, oui, dans certains cas ce serait mérité. Mais ce qui serait encore plus mérité, ce serait d'entrer en compassion.
En tout cas ne pas en faire trop ;)
c'est-à-dire ne pas rajouter des problèmes avec notre mental. Dire "je suis fatigué" etc.. au final rajoute du fardeau à notre fardeau ! Et cela crée davantage de souffrances au final...
Je crois que revenir à l'attention est important. Voir ce qui se passe en nous dans telles ou telles situations aussi.
Oser s'arrêter une minute, donc lâcher, et observer peut être un gain énorme d'énergie et de mieux-être !
Noter peut être utile aussi (ça revient un peu au fil du Je moins stressé à la 3ème personne), se dire "fatigue" "stress" ou autres au lieu de "je suis fatigué" "ça me stress"...
En gros l'essentiel, c'est de continuer sa pratique
Encore une chose à faire, mais qui nous aide tellement.
Je ne sais pas si vous avez lu des biographies de maîtres, mais c'est fou de voir tout ce qu'ils pouvaient faire dans une journée, certains avant même d'être éveillé ! La pratique peut nous donner beaucoup d'énergie, de distanciation, de bonne volonté, et de joie à l'ouvrage....
c'est-à-dire ne pas rajouter des problèmes avec notre mental. Dire "je suis fatigué" etc.. au final rajoute du fardeau à notre fardeau ! Et cela crée davantage de souffrances au final...
Je crois que revenir à l'attention est important. Voir ce qui se passe en nous dans telles ou telles situations aussi.
Oser s'arrêter une minute, donc lâcher, et observer peut être un gain énorme d'énergie et de mieux-être !
Noter peut être utile aussi (ça revient un peu au fil du Je moins stressé à la 3ème personne), se dire "fatigue" "stress" ou autres au lieu de "je suis fatigué" "ça me stress"...
En gros l'essentiel, c'est de continuer sa pratique

Je ne sais pas si vous avez lu des biographies de maîtres, mais c'est fou de voir tout ce qu'ils pouvaient faire dans une journée, certains avant même d'être éveillé ! La pratique peut nous donner beaucoup d'énergie, de distanciation, de bonne volonté, et de joie à l'ouvrage....
Quand on ne fait qu'une seule chose à la fois sans se soucier des autres choses à faire, on n'est pas bousculé par le temps.
Si une chose ne peut être faite parce que le temps manque, ce n'est pas l'angoisse de ne pas pouvoir la faire qui nous donnera plus de temps.
Si une chose ne peut être faite parce que le temps manque, ce n'est pas l'angoisse de ne pas pouvoir la faire qui nous donnera plus de temps.