Apparemment, ya un autre problème : ta belle fille ne traite pas ton fils correctement. Dans ce cas, il a besoin de ton aide. Tu ne peux pas l'abandonner. Même s'il est une victime consentante. Faut que tu restes en embuscade pour voler à sa rescousse en cas de besoin.Circé a écrit : J'assume la souffrance de le voir traité comme une m.... par une femme qui le parasite
Circé in tears......
je vois tout ça d'un œil un peu différent, et je vais poser des questions qui te seront peut-être désagréable mais j'espère qu'elles t'aideront à avancer
néanmoins en relisant je vois que ça s'apparente à un coup de pied aux fesses
donc si tu n'en veux pas: ne lis pas ce qui suis!
la vie te pousse dans une direction ou tu ne veux pas regarder
si tu penses que ton fils est "sans couille" qu'elle n'est qu'"un parasite", tu peux faire tout le silence de façade que tu veux ils le ressentent
j'ai entendu une image qui m'a bien parlé à ce sujet: " dans une discussion nous sommes comme les chiens: "nous nous disons bonjour avec la truffe en façade puis nous allons sentir l'arrière train pour voir si c'est propre ou si ça sent la merde""
apparemment depuis longtemps tu désapprouves ton fils: il choisit d'être avocat puis "la pire femme" n'y a-t-il pas chez ton fils un cri qui ressemble a "accepte moi comme je suis" et/ou "je suis libre de faire mes choix"?
si tu croises un être humain dans la rue, penses-tu que c'est à lui de mener sa vie comme il l'entend, ou doit-il suivre les directives de sa mère? tu as des opinions bien tranché sur ce que devrait être la vie de ton fils mais en quoi cela le regarde-t-il? les autres êtres humains peuvent ne pas voir mais lui doit voir sa mère et par conséquent comprendre combien elle a raison et en toute logique "ordonner" sa vie dans ce que tu définis être le "bon sens"?
tu décris la limite de ton attachement majeure pour ton fils, mais es-tu réellement attaché à lui ou bien plutôt à l'idée de ce qui est bien ou mal et qu'il devrait nécessairement appliquer dans sa vie?
ton fils n'est-il pas obligé en quelques sorte, de prendre un anti-toi dans sa vie pour simplement trouver un équilibre ou il puisse "être lui" entre les 2?
je comprends dans ce que tu décris que tu fais attention à ne pas empiéter mais malheureusement cette façade n'a pas l'air de suffire, et le fond à l'air plus important que la forme
une histoire:
une mère de 2 jeunes enfants 7 et 9 ans à peur d'emmener ses 2 enfants au parc, ils sont tous les 2 très "remuant" et elle craint qu'il finissent par se blesser force de vouloir monter le "plus haut", être le "plus fort" courir le "plus vite". et plus elle y pense plus elle se dit avec raison: une chute peut-être mortelle. centré sur cette idée elle n'emmène plus ses enfants au parc. au bout d'un temps elle se dit qu'elle aimerait pouvoir être détendu pendant que ses enfants jouent malgré le danger réel qu'ils courent, pouvoir discuter avec d'autres parents etc etc grâce à cette idée elle pu ressortir avec ses enfants.
ce que cette histoire raconte c'est que tant qu'elle a été centré sur ce qui lui faisait peur elle n'a pu que s'enfermer et enfermer ses enfants, mais quand elle a compris son désir profond, elle a fixé son esprit dessus et quand la peur revenait, elle pensait "ok j'ai peur, mais ce que je veux ce que mes enfants courent et que je puisse discuter librement"
donc pour transformer cette histoire à ta situation, d'après ce que tu as dis : est ce que tu veux que ton fils se conforme à ta façon de voir le monde, ou est ce que tu veux avoir une relation d'égal avec lui?
il se peut que j'ai mal vu dans tout ce que tu as partagé, dans ce cas ne tient simplement pas compte de ce que je viens de dire
bien à toi

néanmoins en relisant je vois que ça s'apparente à un coup de pied aux fesses

la vie te pousse dans une direction ou tu ne veux pas regarder
si tu penses que ton fils est "sans couille" qu'elle n'est qu'"un parasite", tu peux faire tout le silence de façade que tu veux ils le ressentent
j'ai entendu une image qui m'a bien parlé à ce sujet: " dans une discussion nous sommes comme les chiens: "nous nous disons bonjour avec la truffe en façade puis nous allons sentir l'arrière train pour voir si c'est propre ou si ça sent la merde""
apparemment depuis longtemps tu désapprouves ton fils: il choisit d'être avocat puis "la pire femme" n'y a-t-il pas chez ton fils un cri qui ressemble a "accepte moi comme je suis" et/ou "je suis libre de faire mes choix"?
si tu croises un être humain dans la rue, penses-tu que c'est à lui de mener sa vie comme il l'entend, ou doit-il suivre les directives de sa mère? tu as des opinions bien tranché sur ce que devrait être la vie de ton fils mais en quoi cela le regarde-t-il? les autres êtres humains peuvent ne pas voir mais lui doit voir sa mère et par conséquent comprendre combien elle a raison et en toute logique "ordonner" sa vie dans ce que tu définis être le "bon sens"?
tu décris la limite de ton attachement majeure pour ton fils, mais es-tu réellement attaché à lui ou bien plutôt à l'idée de ce qui est bien ou mal et qu'il devrait nécessairement appliquer dans sa vie?
ton fils n'est-il pas obligé en quelques sorte, de prendre un anti-toi dans sa vie pour simplement trouver un équilibre ou il puisse "être lui" entre les 2?
je comprends dans ce que tu décris que tu fais attention à ne pas empiéter mais malheureusement cette façade n'a pas l'air de suffire, et le fond à l'air plus important que la forme
une histoire:
une mère de 2 jeunes enfants 7 et 9 ans à peur d'emmener ses 2 enfants au parc, ils sont tous les 2 très "remuant" et elle craint qu'il finissent par se blesser force de vouloir monter le "plus haut", être le "plus fort" courir le "plus vite". et plus elle y pense plus elle se dit avec raison: une chute peut-être mortelle. centré sur cette idée elle n'emmène plus ses enfants au parc. au bout d'un temps elle se dit qu'elle aimerait pouvoir être détendu pendant que ses enfants jouent malgré le danger réel qu'ils courent, pouvoir discuter avec d'autres parents etc etc grâce à cette idée elle pu ressortir avec ses enfants.
ce que cette histoire raconte c'est que tant qu'elle a été centré sur ce qui lui faisait peur elle n'a pu que s'enfermer et enfermer ses enfants, mais quand elle a compris son désir profond, elle a fixé son esprit dessus et quand la peur revenait, elle pensait "ok j'ai peur, mais ce que je veux ce que mes enfants courent et que je puisse discuter librement"
donc pour transformer cette histoire à ta situation, d'après ce que tu as dis : est ce que tu veux que ton fils se conforme à ta façon de voir le monde, ou est ce que tu veux avoir une relation d'égal avec lui?
il se peut que j'ai mal vu dans tout ce que tu as partagé, dans ce cas ne tient simplement pas compte de ce que je viens de dire

bien à toi

oui à ce qui est
tout change
tout est maintenant
être tout
amour
tout change
tout est maintenant
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amour
yves a écrit :j
r
si tu penses que ton fils est "sans couille" qu'elle n'est qu'"un parasite", tu peux faire tout le silence de façade que tu veux ils le ressentent
Certainement. Cela dit, comme on se voit 4 ou 5 fois par an, je m'efforce d'être positive et de manifester ma joie d'être avec eux.
apparemment depuis longtemps tu désapprouves ton fils: il choisit d'être avocat puis "la pire femme" n'y a-t-il pas chez ton fils un cri qui ressemble a "accepte moi comme je suis" et/ou "je suis libre de faire mes choix"?
Je ne désapprouve pas mon fils, je l'admire.les choix qu'il a fait ont été libres et je ne les ai jamais contestés j'admets aussi l'idée que l'on se construise " contre" ses parents, c'est ce que j'ai fait.
si tu croises un être humain dans la rue, penses-tu que c'est à lui de mener sa vie comme il l'entend, ou doit-il suivre les directives de sa mère? tu as des opinions bien tranché sur ce que devrait être la vie de ton fils mais en quoi cela le regarde-t-il? les autres êtres humains peuvent ne pas voir mais lui doit voir sa mère et par conséquent comprendre combien elle a raison et en toute logique "ordonner" sa vie dans ce que tu définis être le "bon sens"?
je plaide non coupable sur ce point.je te répète Yves que ni moi ni son père n'avons influencé ses choix.
Il a quitté la maison à 19 ans pour aller vivre à Paris, comme il le souhaitait.Même à propos de sa compagne actuelle ( la 3éme) nous n'avons rien dit.C'est le dernier incident en date qui a provoqué ma réaction de désespoir, je n'en peux plus.
tu décris la limite de ton attachement majeure pour ton fils, mais es-tu réellement attaché à lui ou bien plutôt à l'idée de ce qui est bien ou mal et qu'il devrait nécessairement appliquer dans sa vie?
Il ne s'agit pas de bien ou de mal mais d'attitudes quotidiennes . Quand il rentre du boulot à 21h et qu'il n'y a rien à manger à la maison, ça me fait de la peine pour lui.Quand elle le traite de "trou du cul" devant moi, oui, ça me blesse.Même si c'est vrai que ça ne me regarde pas au fond, que c'est son choix, ça me dérange. Je ne dis rien mais ça me dérange.J'ai dit " sans couilles "parce je trouve bizarre qu'il se laisse traiter comme ça sans réagir.
ton fils n'est-il pas obligé en quelques sorte, de prendre un anti-toi dans sa vie pour simplement trouver un équilibre ou il puisse "être lui" entre les 2?
Oui, j'ai sans doute été une mère trop couveuse. Il dit que je suis une" mère juive".
je comprends dans ce que tu décris que tu fais attention à ne pas empiéter mais malheureusement cette façade n'a pas l'air de suffire, et le fond à l'air plus important que la forme
Tu as raison.
donc pour transformer cette histoire à ta situation, d'après ce que tu as dis : est ce que tu veux que ton fils se conforme à ta façon de voir le monde, ou est ce que tu veux avoir une relation d'égal avec lui?
2ème solution bien sûr, c'est évident.
il se peut que j'ai mal vu dans tout ce que tu as partagé, dans ce cas ne tient simplement pas compte de ce que je viens de dire![]()
bien à toi
Je ne prends pas ce que tu as écrit comme un coup de pied au cul, je t'ai lu et répondu avec beaucoup d'attention et de sincérité.
C'est justement pour échanger que je vous ai fait part de la situation.
@Circé : pose toi, assise, respire, porte ton attention uniquement sur le souffle, rien d'autre, calme ton esprit, prend le temps qu'il faut, cela peut prendre un bon moment, une fois l'esprit calme tu y verras plus clair, peut être alors la solution t'apparaîtra d'elle même, tu sauras quoi faire et comme le faire. Peut être cela surgira t-il comme ça, sans que tu y réfléchisses.
Une fois l'esprit calme on a le discernement nécessaire pour agir comme il faut.
Cela m'arrive parfois, je confirme l'efficacité.
Tant que ton esprit est empêtrée dans des émotions et désirs contradictoires tu ne peux arriver à rien et tu ne peux savoir quoi faire d'efficace.
Une fois l'esprit calme on a le discernement nécessaire pour agir comme il faut.
Cela m'arrive parfois, je confirme l'efficacité.
Tant que ton esprit est empêtrée dans des émotions et désirs contradictoires tu ne peux arriver à rien et tu ne peux savoir quoi faire d'efficace.
merci de ces courageuses réponses ba11
)
ta réaction de désespoirs provient de quoi exactement? de la passivité de ton fils? de celle de sa compagne? de l'acte négatif dont tu as été l'objet? te sens-tu blessé ou es-tu blessé pour ton fils?
j'essaye de comprendre les différentes part qui sont en jeu pour toi dans cette situation, et laquelle est particulièrement blessé au point de vouloir jeter l'éponge
je comprends ce choix, et tant cas faire vaut mieux passer des bon moments ensemble que de se prendre la têteCircé a écrit : Certainement. Cela dit, comme on se voit 4 ou 5 fois par an, je m'efforce d'être positive et de manifester ma joie d'être avec eux.
cette notion de contre signifie-t-elle qu'il ta fait une grande liste de reproche à un moment donner? et si oui as-tu partagé avec lui la souffrance que cela t'a causé?Circé a écrit :Je ne désapprouve pas mon fils, je l'admire.les choix qu'il a fait ont été libres et je ne les ai jamais contestés j'admets aussi l'idée que l'on se construise " contre" ses parents, c'est ce que j'ai fait.
mon but n'est pas de trouver de coupable ou de jeter la faute à l'un des 2, tu es dans une situation de désespoirs et je cherche les portes qui sont cachées (j'ai bien trop peu d'informations pour avoir le moindre début d'un avis sur votre situationCircé a écrit :je plaide non coupable sur ce point.je te répète Yves que ni moi ni son père n'avons influencé ses choix.
Il a quitté la maison à 19 ans pour aller vivre à Paris, comme il le souhaitait.Même à propos de sa compagne actuelle ( la 3éme) nous n'avons rien dit.C'est le dernier incident en date qui a provoqué ma réaction de désespoir, je n'en peux plus.

ta réaction de désespoirs provient de quoi exactement? de la passivité de ton fils? de celle de sa compagne? de l'acte négatif dont tu as été l'objet? te sens-tu blessé ou es-tu blessé pour ton fils?
j'essaye de comprendre les différentes part qui sont en jeu pour toi dans cette situation, et laquelle est particulièrement blessé au point de vouloir jeter l'éponge
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Compagnon, merci du conseil et de ta gentillesse, ça fait vraiment du bien.
Yves, il y a plusieurs choses, la situation est complexe.
Je crois que la compagne de mon fils est intéressée,il lui permet de vivre une vie d'oisiveté dans un grand confort. je n'ai rien contre les femmes au foyer , je crois que dans un couple chacun contribue comme il le peut; or, elle ne fait rien. Quand je dis rien c'est vraiment rien.Je ne pense pas que ce soit un acte d'amour pour mon fils.
Elle est désagréable, grossière( elle a photographié le cul d'un de mes chiens et me l'a envoyé sur mon téléphone; limite, non?)elle le traite sans égards.Elle cherche à l'éloigner de moi parce qu'elle craint que j'en parle avec Emmanuel et qu'il finisse par réagir; alors me cherche querelle, elle me provoque. je n'ai réagi qu'une fois, le weekend dernier. Je suppose que c'est ça qui m'a valu le piratage.
Alors je ne comprends pas que mon fils tolère ça. Bien sûr on ne cherche pas à imposer son propre mode de vie à ses enfants mais on inculque quand même des valeurs. Le respect de l'autre pour commencer, d'où découle le reste.
Emmanuel ne nous a jamais rien reproché, il est gentil avec nous, on s'entend bien.C'est aussi pour ça que je ne dis rien, je ne veux pas lui faire de peine ou lui faire honte en lui disant que sa femme est nulle.
je crois que mon fils est sous son emprise, je le crois capable de me rejeter hors de sa vie pour elle.Alors oui, ça me fait mal. Très mal.
Mon mari, sans doute plus sage que moi, a lâché prise; moi je n'y arrive pas.

Yves, il y a plusieurs choses, la situation est complexe.
Je crois que la compagne de mon fils est intéressée,il lui permet de vivre une vie d'oisiveté dans un grand confort. je n'ai rien contre les femmes au foyer , je crois que dans un couple chacun contribue comme il le peut; or, elle ne fait rien. Quand je dis rien c'est vraiment rien.Je ne pense pas que ce soit un acte d'amour pour mon fils.
Elle est désagréable, grossière( elle a photographié le cul d'un de mes chiens et me l'a envoyé sur mon téléphone; limite, non?)elle le traite sans égards.Elle cherche à l'éloigner de moi parce qu'elle craint que j'en parle avec Emmanuel et qu'il finisse par réagir; alors me cherche querelle, elle me provoque. je n'ai réagi qu'une fois, le weekend dernier. Je suppose que c'est ça qui m'a valu le piratage.
Alors je ne comprends pas que mon fils tolère ça. Bien sûr on ne cherche pas à imposer son propre mode de vie à ses enfants mais on inculque quand même des valeurs. Le respect de l'autre pour commencer, d'où découle le reste.
Emmanuel ne nous a jamais rien reproché, il est gentil avec nous, on s'entend bien.C'est aussi pour ça que je ne dis rien, je ne veux pas lui faire de peine ou lui faire honte en lui disant que sa femme est nulle.
je crois que mon fils est sous son emprise, je le crois capable de me rejeter hors de sa vie pour elle.Alors oui, ça me fait mal. Très mal.
Mon mari, sans doute plus sage que moi, a lâché prise; moi je n'y arrive pas.
Circé :
1) tu ne peux pas faire le bonheur des gens contre leur grès.
2) chacun est responsable de ses actes, il ne sert à rien de se sentir responsable ou coupable des actes des autres même de nos proches.
3) que la situation de ton fils te peine c'est normal, mais te laisser submerger par cette peine ne sert à rien.
4) y pas de quoi, quand je peux rendre service je le fais. Je ne garantis pas que mes conseils soient toujours judicieux mais en tout cas mon intention d'apporter de l'aide à autrui est sincère. Et même si cela peut paraître étonnant voir incroyable, totalement désintéressée.
Quand j'y réfléchis, quand quelqu'un exprime ouvertement une gène, un inconfort, une souffrance, en ma présence, spontanément, sans réfléchir, j'essais de proposer une solution, une réponse, je ne calcul jamais, je ne me dis jamais que je fais cela pour être remercié en retour. Evidemment, une fois que j'ai essayé d'aider, si la personne est reconnaissante, je préfère, je trouve cela plus correct. Autrefois je me sentais un peu vexé quand la personne n'exprimait pas de reconnaissance. Maintenant je me dis qu'après tout elle n'est pas forcément demandé quoi que ce soit. Certaines personnes expriment leurs soucis publiquement mais sans forcément demander de l'aide. Je vois cela parfois avec ma compagne, elle ressent le besoin de dire ses soucis et quand je lui propose de l'aide elle me dit parfois que non, qu'elle ne m'a rien demandé.
Alors maintenant je prend le temps de demander d'abord si elle veut un conseil, et je ne m'exprime que si elle me dit : oui.
En tout cas merci pour ta reconnaissance, même si en toute honnêteté je n'en attendais aucune. Très sincèrement. J'ai répondu spontanément sans calcul. Et je n'attendais rien en retour. C'est bizarre... je me rend compte là en y réfléchissant... que ... non en effet c'était totalement désintéressé. Je n'attendais vraiment pas de "merci" en retour je crois. En tout cas quand j'ai commencé à te répondre.
Cela fait longtemps que je ressens le besoin impérieux de "faire quelque chose" quand quelqu'un a coté de moi exprime une insatisfaction quelconque. C'est un besoin impérieux, la gène de l'autre m'est inconfortable. En tout cas là pour ton cas précisément je n'ai pas réfléchis, pas ressenti de gène particulière, tu as exprimé une souffrance dans la section "demande d'aide" et j'ai répond, naturellement.
Peut être aussi une part de mon ego, c'est pas forcément très malin pour moi de donner plein de conseils vu la quantité astronomiques d'informations qu'il me manque pour conseiller judicieusement. La compassion sans la sagesse peut avoir des effets néfastes redoutable.
L'année dernière j'ai été poussé à démissionné d'un poste car ma responsable m'a trouvé d'une "bienveillance prosélyte" qui agaçait tout le monde et elle m'a dit (sans se rendre compte de la terrible violence de ses propos) que j'étais l’illustration parfait de l'adage qui veut que l'enfer est pavé de bonne intentions. Avec le recule j'estime que cette femme était folle/terriblement en souffrance dans sa tête, pour trouver la bienveillance "excessive" et pénible alors qu'on est directrice d'une école primaire il ne fait vraiment pas aller bien du tout. J'ai beaucoup souffert dans cet affaire. Énormément. D'autant que cette dame m'a dit agir aussi par bienveillance envers moi, considérant que j'étais "trop tendre" et que ses collègues risquaient de me faire souffrir. Elle aussi, sans doute pour se rassurer et pour dormir tranquille, a fait preuve de bienveillance sans sagesse : résultat désastreux. J'essais de ne plus lui en vouloir en me disant qu'elle aura en retour un jour le karma qu'elle à généré dans cette situation. Vu ce que j'ai souffert, et elle savait que son action me blessait, cela la frappera un jour aussi surement en retour. Quand, ou ? Mystère.
L'ego est vicieux, tu vois, on est sur un topic concernant tes problèmes et je me repend sur les miens XD
Sinon autre méthode pour t'aider à y voir plus clair, cesse de te focaliser sur ta souffrance propre, étend ton esprit et pense à toutes les autres mères en ce moment qui dans le monde souffrent aussi comme toi en raison de leur fils que leur cause du tracas. Cela relativisera tes propre problème, te décentrera et peut être t'aidera à y voir plus clair.
Est ce que tu as essayé de parler tout simplement à ton fils en tête à tête du fait que la situation te peine ? Je ne parle même pas du possible acte de vol de sa compagne mais simplement que tu souffres de le voir dans cette situation de couple ou tu trouves qu'il se fait avoir ? Lui dire tout simplement : tu es mon fils, je t'aime, je souffre de cette situation, je trouve que l'on abuse de toi, et cela me peine.
Dire les choses simplement, lui parler avec ton coeur, tu as essayé ? Voir comment il réagit ?
1) tu ne peux pas faire le bonheur des gens contre leur grès.
2) chacun est responsable de ses actes, il ne sert à rien de se sentir responsable ou coupable des actes des autres même de nos proches.
3) que la situation de ton fils te peine c'est normal, mais te laisser submerger par cette peine ne sert à rien.
4) y pas de quoi, quand je peux rendre service je le fais. Je ne garantis pas que mes conseils soient toujours judicieux mais en tout cas mon intention d'apporter de l'aide à autrui est sincère. Et même si cela peut paraître étonnant voir incroyable, totalement désintéressée.
Quand j'y réfléchis, quand quelqu'un exprime ouvertement une gène, un inconfort, une souffrance, en ma présence, spontanément, sans réfléchir, j'essais de proposer une solution, une réponse, je ne calcul jamais, je ne me dis jamais que je fais cela pour être remercié en retour. Evidemment, une fois que j'ai essayé d'aider, si la personne est reconnaissante, je préfère, je trouve cela plus correct. Autrefois je me sentais un peu vexé quand la personne n'exprimait pas de reconnaissance. Maintenant je me dis qu'après tout elle n'est pas forcément demandé quoi que ce soit. Certaines personnes expriment leurs soucis publiquement mais sans forcément demander de l'aide. Je vois cela parfois avec ma compagne, elle ressent le besoin de dire ses soucis et quand je lui propose de l'aide elle me dit parfois que non, qu'elle ne m'a rien demandé.
Alors maintenant je prend le temps de demander d'abord si elle veut un conseil, et je ne m'exprime que si elle me dit : oui.
En tout cas merci pour ta reconnaissance, même si en toute honnêteté je n'en attendais aucune. Très sincèrement. J'ai répondu spontanément sans calcul. Et je n'attendais rien en retour. C'est bizarre... je me rend compte là en y réfléchissant... que ... non en effet c'était totalement désintéressé. Je n'attendais vraiment pas de "merci" en retour je crois. En tout cas quand j'ai commencé à te répondre.
Cela fait longtemps que je ressens le besoin impérieux de "faire quelque chose" quand quelqu'un a coté de moi exprime une insatisfaction quelconque. C'est un besoin impérieux, la gène de l'autre m'est inconfortable. En tout cas là pour ton cas précisément je n'ai pas réfléchis, pas ressenti de gène particulière, tu as exprimé une souffrance dans la section "demande d'aide" et j'ai répond, naturellement.
Peut être aussi une part de mon ego, c'est pas forcément très malin pour moi de donner plein de conseils vu la quantité astronomiques d'informations qu'il me manque pour conseiller judicieusement. La compassion sans la sagesse peut avoir des effets néfastes redoutable.
L'année dernière j'ai été poussé à démissionné d'un poste car ma responsable m'a trouvé d'une "bienveillance prosélyte" qui agaçait tout le monde et elle m'a dit (sans se rendre compte de la terrible violence de ses propos) que j'étais l’illustration parfait de l'adage qui veut que l'enfer est pavé de bonne intentions. Avec le recule j'estime que cette femme était folle/terriblement en souffrance dans sa tête, pour trouver la bienveillance "excessive" et pénible alors qu'on est directrice d'une école primaire il ne fait vraiment pas aller bien du tout. J'ai beaucoup souffert dans cet affaire. Énormément. D'autant que cette dame m'a dit agir aussi par bienveillance envers moi, considérant que j'étais "trop tendre" et que ses collègues risquaient de me faire souffrir. Elle aussi, sans doute pour se rassurer et pour dormir tranquille, a fait preuve de bienveillance sans sagesse : résultat désastreux. J'essais de ne plus lui en vouloir en me disant qu'elle aura en retour un jour le karma qu'elle à généré dans cette situation. Vu ce que j'ai souffert, et elle savait que son action me blessait, cela la frappera un jour aussi surement en retour. Quand, ou ? Mystère.
L'ego est vicieux, tu vois, on est sur un topic concernant tes problèmes et je me repend sur les miens XD
Sinon autre méthode pour t'aider à y voir plus clair, cesse de te focaliser sur ta souffrance propre, étend ton esprit et pense à toutes les autres mères en ce moment qui dans le monde souffrent aussi comme toi en raison de leur fils que leur cause du tracas. Cela relativisera tes propre problème, te décentrera et peut être t'aidera à y voir plus clair.
Est ce que tu as essayé de parler tout simplement à ton fils en tête à tête du fait que la situation te peine ? Je ne parle même pas du possible acte de vol de sa compagne mais simplement que tu souffres de le voir dans cette situation de couple ou tu trouves qu'il se fait avoir ? Lui dire tout simplement : tu es mon fils, je t'aime, je souffre de cette situation, je trouve que l'on abuse de toi, et cela me peine.
Dire les choses simplement, lui parler avec ton coeur, tu as essayé ? Voir comment il réagit ?
il y a plein de possibilité, peut- être ton fils a-t-il besoin de sentir que quelqu'un dépend de lui, qu'il est vital dans la vie d'un être, ou bien peut-être qu'il accepte se manque d'égard car il pense que c'est une carapace car elle ne veut pas de pitié.Circé a écrit : Je crois que la compagne de mon fils est intéressée,il lui permet de vivre une vie d'oisiveté dans un grand confort. je n'ai rien contre les femmes au foyer , je crois que dans un couple chacun contribue comme il le peut; or, elle ne fait rien. Quand je dis rien c'est vraiment rien.Je ne pense pas que ce soit un acte d'amour pour mon fils.
Elle est désagréable, grossière( elle a photographié le cul d'un de mes chiens et me l'a envoyé sur mon téléphone; limite, non?)elle le traite sans égards.Elle cherche à l'éloigner de moi parce qu'elle craint que j'en parle avec Emmanuel et qu'il finisse par réagir; alors me cherche querelle, elle me provoque. je n'ai réagi qu'une fois, le weekend dernier. Je suppose que c'est ça qui m'a valu le piratage.
de son coté à elle; peut-être a-t-elle peur de ne pas être aimé et teste en permanence la solidité du lien, ou bien elle croit qu'elle est quelqu'un de "pas bien" et elle tient à ce qu'on ne croit pas qu'elle se fait des illusions sur elle-même
il y a tellement de possibilité... le quotidien est tellement profond, en 4/5 visites par an il n'est pas possible de cerner une relation et même si tu as raison sur la situation eux de doivent pas la voir comme cela et il y trouve leur compte d'une façon ou d'une autre
es-tu sur qu'il voit l'action de sa compagne comme un manque de respect envers toi?Circé a écrit :Alors je ne comprends pas que mon fils tolère ça. Bien sûr on ne cherche pas à imposer son propre mode de vie à ses enfants mais on inculque quand même des valeurs. Le respect de l'autre pour commencer, d'où découle le reste.
es-tu sur que cela lui fera de la peine?Circé a écrit :Emmanuel ne nous a jamais rien reproché, il est gentil avec nous, on s'entend bien.C'est aussi pour ça que je ne dis rien, je ne veux pas lui faire de peine ou lui faire honte en lui disant que sa femme est nulle.
qu'as-tu peur qui se brise entre ton fils et toi? si ton fils a besoin de cette brisure peux-tu l'endurer? la part de toi qui se nourrit au travers de la relation avec ton fils ne peut-elle trouver sa nourriture ailleurs?Circé a écrit :je crois que mon fils est sous son emprise, je le crois capable de me rejeter hors de sa vie pour elle.Alors oui, ça me fait mal. Très mal.
bien à toi love3
oui à ce qui est
tout change
tout est maintenant
être tout
amour
tout change
tout est maintenant
être tout
amour
Compagnon:
Je réagis à tes propos sur la gentillesse.Eh oui! elle est souvent mal perçue. Certains ne croient pas que la gentillesse puisse être désintéressée, sans doute n'en sont-ils pas capables eux mêmes. D'autres la vivent comme une ingérence, une intrusion dans leur domaine privé.Enfin il y a ceux dont l'ego est si fort qu'ils perçoivent la gentillesse comme une agression"je suis capable de me débrouiller sans tes conseils".
Je ne suis dans aucun de ces cas. J'en profite pour dire à ceux qui m'ont répondu à quel point j'ai apprécié, le point positif pour moi dans cette histoire c'est de pouvoir compter sur le forum,pouvoir m'exprimer librement et recevoir une aide désintéressée.Merki!!!
Yves:
Beaucoup de choses vraies dans tes réponses. Ma belle-fille a en effet une image d'elle même totalement dévalorisée; par une sorte d'effet pervers, on dirait qu'elle " en rajoute", comme pour prouver sa réelle nullité.J'en suis consciente, je l'ai valorisée chaque fois que c'était possible, sans grand résultat. Je la crois aussi profondément dépressive.Sa prise de poids, le fait qu'elle dorme toute la journée quand Emmanuel n'est pas là, son refus de sortir de l'appartement, ses crises de rage , l'inactivité...J'ai suggéré ce diagnostic, sans être entendue.
Vous devez vous dire que je manque de compassion, que je tire sur une ambulance, que c'est une pauvre fille.Ben oui. Cela fait 8 ans que la tire à bout de bras, 8 ans de patience, de gentillesse, d'encouragements, de présence...et je me prends une poignée de haine en pleine gueule, ce piratage destiné à m'em......... , calcul froid et délibéré pour me nuire.Cela dépasse ce que je peux accepter. j'ai totalement craqué.
Je reviendrai sur ce sujet quand la situation aura évolué; je ne veux pas trop emboliser le forum avec mes soucis persos.
Merci encore . love2
Je réagis à tes propos sur la gentillesse.Eh oui! elle est souvent mal perçue. Certains ne croient pas que la gentillesse puisse être désintéressée, sans doute n'en sont-ils pas capables eux mêmes. D'autres la vivent comme une ingérence, une intrusion dans leur domaine privé.Enfin il y a ceux dont l'ego est si fort qu'ils perçoivent la gentillesse comme une agression"je suis capable de me débrouiller sans tes conseils".
Je ne suis dans aucun de ces cas. J'en profite pour dire à ceux qui m'ont répondu à quel point j'ai apprécié, le point positif pour moi dans cette histoire c'est de pouvoir compter sur le forum,pouvoir m'exprimer librement et recevoir une aide désintéressée.Merki!!!
Yves:
Beaucoup de choses vraies dans tes réponses. Ma belle-fille a en effet une image d'elle même totalement dévalorisée; par une sorte d'effet pervers, on dirait qu'elle " en rajoute", comme pour prouver sa réelle nullité.J'en suis consciente, je l'ai valorisée chaque fois que c'était possible, sans grand résultat. Je la crois aussi profondément dépressive.Sa prise de poids, le fait qu'elle dorme toute la journée quand Emmanuel n'est pas là, son refus de sortir de l'appartement, ses crises de rage , l'inactivité...J'ai suggéré ce diagnostic, sans être entendue.
Vous devez vous dire que je manque de compassion, que je tire sur une ambulance, que c'est une pauvre fille.Ben oui. Cela fait 8 ans que la tire à bout de bras, 8 ans de patience, de gentillesse, d'encouragements, de présence...et je me prends une poignée de haine en pleine gueule, ce piratage destiné à m'em......... , calcul froid et délibéré pour me nuire.Cela dépasse ce que je peux accepter. j'ai totalement craqué.
Je reviendrai sur ce sujet quand la situation aura évolué; je ne veux pas trop emboliser le forum avec mes soucis persos.
Merci encore . love2
Tu ne manques pas de compassion je ne crois pas... Tu as atteint une limite plutôt...Circé a écrit : ↑02 avril 2017, 12:26Vous devez vous dire que je manque de compassion, que je tire sur une ambulance, que c'est une pauvre fille.Ben oui. Cela fait 8 ans que la tire à bout de bras, 8 ans de patience, de gentillesse, d'encouragements, de présence...et je me prends une poignée de haine en pleine gueule, ce piratage destiné à m'em......... , calcul froid et délibéré pour me nuire.Cela dépasse ce que je peux accepter. j'ai totalement craqué.
J'en parlais ici, dans ce sujet : http://forum-nangpa.com/viewtopic.php?f=61&t=9447
Mais il est clair que si ta belle fille est en surpoids, dépressive, qui ne veut même plus sortir de chez elle, ça change tout. Son acte me semble plus proche de celui de l'animal blessé, la patte dans un piège à loup, qui tente de mordre ceux qui s'approchent.
De plus, ils n'ont pas d'enfants ? Ca la ronge peut-être...
