L'apparence physique
Il convient cependant de ne pas s'identifier à son corps, ainsi quand nous devrons nous en séparer nous ne souffrirons pas, ni quand on dira du mal de lui. Notre corps n'est pas nous mais nous sommes imputés à partir de lui, ainsi qu'à partir de notre esprit. Le corps lui-même est également désigné. En regardant de près on s'aperçoit que le corps est plus une apparence qu'une réalité. Nous vivons dans un monde d'apparence, un peu comme dans un monde de rêve. Au moment de rêver notre réalité est le monde de rêve, et au moment de la vie de veille, notre réalité est ce monde. Ainsi quand nous nous endormons nous quittons le monde de veille pour un autre monde. Et quand nous nous réveillons nous retrouvons notre esprit et notre corps de la veille. De même quand nous mourons, nous entrons dans un nouveau monde, une nouvelle réalité, avec un esprit et un corps différents.
S'indigner, s'irriter, perdre patience, se mettre en colère, oui, dans certains cas ce serait mérité. Mais ce qui serait encore plus mérité, ce serait d'entrer en compassion.
Quelque part, s’habiller, c’est toujours devoir le faire d’une certaine façon.
C’est un peu la même chose que quand on marche et qu’on est obligé de prendre une certaine direction. Et c’est aussi la même chose quand on s’exprime, de sorte que l’opinion, comme l’habit ou la direction qu’on choisit en marchant, sont les conséquences qui découlent inéluctablement de l’abolition du silence, de la nudité et de l’immobilité. C'est à partir de cette abolition que naissent la multitude des choix en quelque sorte, en effet on n'a pas a choisir entre un silence et un autre, mais on doit choisir entre dire une chose ou une autre. De même, on ne choisi pas sa nudité, elle est une. Quant à l'immobilité, elle ne contient pas d'options, seul le mouvement en contient. Morale de l'histoire, si nous voulons que notre vie soit simple : Pratiquons la méditation nus.
C’est un peu la même chose que quand on marche et qu’on est obligé de prendre une certaine direction. Et c’est aussi la même chose quand on s’exprime, de sorte que l’opinion, comme l’habit ou la direction qu’on choisit en marchant, sont les conséquences qui découlent inéluctablement de l’abolition du silence, de la nudité et de l’immobilité. C'est à partir de cette abolition que naissent la multitude des choix en quelque sorte, en effet on n'a pas a choisir entre un silence et un autre, mais on doit choisir entre dire une chose ou une autre. De même, on ne choisi pas sa nudité, elle est une. Quant à l'immobilité, elle ne contient pas d'options, seul le mouvement en contient. Morale de l'histoire, si nous voulons que notre vie soit simple : Pratiquons la méditation nus.
Sinon, tu voulais dire sans doute que ma réflexion m'inviterait à me taire. C'est pas faux
Mais bon, ça viendra je pense, je pourrai alors faire parti du sujet "Soyez heureux...on pense à vous". Je pourrai comme ça prendre connaissance de ce que les gens diront à mon enterrement

Mais bon, ça viendra je pense, je pourrai alors faire parti du sujet "Soyez heureux...on pense à vous". Je pourrai comme ça prendre connaissance de ce que les gens diront à mon enterrement
