"Bouddha" est une notion, un concept, vide d'existence indépendante. Eveillé dépendant de non-eveillé.
"Dieu" est une notion, un concept, vide d'existence indépendante. "Dieu" dépendent de "non-Dieu" (Satan ?).
"Nirvana" est une notion, un concept, vide d'existence indépendante, "Nirvana" dépendant de "non-Nirvana (Samsara ?).
"Paradis est une notion, un concept, vide d'existence indépendante, "Paradis" dépendant de "non-Paradis (Enfer ?).
Dukkha (insatisfaction, souffrance) est une notion, un concept, vide d'existence indépendante, "Dukkha" dépendant de "non-Dukkha" (contentement, satisfaction absolue, cessation de la souffrance, Nirvana ?)
"Salut" est une notion, un concept, vide d'existence indépendante, "Salut" dépendant de "Péché originel". (Point de sacrifice salvateur de Jésus sans péché originel d'Adam et Eve).
Vacuité
Plutôt comme je le dis souvent vacuité de tous les enseignements religieux, interdépendance de tous entre eux et en eux-mêmes (Thay faire remarqué la vacuité des 4 Nobles Vérités et du Noble Sentier Octuple), voie de la non-discrimination, de l'acceptation de la variété, de la différence (apparente) entre toutes les voies spirituelles, rejet du fanatisme, du dogmatisme etc... Aucune des voies spirituelle du monde n'est totalement semblable ni totalement différente de sa voisine, ni totalement dépendante ni totalement indépendante.
Mais en effet la compassion peut en être une motivation ou une dimension, si l'on cesse d'adhérer à une perception discriminante des voies spirituelles, on élimine au moins une source de souffrance en soi et une dimension de la souffrance que l'on peut exercer sur les autres. Agir ainsi n'est ce pas agir en compassion pour soi et les autres ? On peut voir les choses ainsi.
Qui apprécie de détesté quelqu'un parce qu'il est d'une spiritualité en apparence différente de la sienne propre et qui apprécie d'être détesté en raison de sa spiritualité propre ?
Mais en effet la compassion peut en être une motivation ou une dimension, si l'on cesse d'adhérer à une perception discriminante des voies spirituelles, on élimine au moins une source de souffrance en soi et une dimension de la souffrance que l'on peut exercer sur les autres. Agir ainsi n'est ce pas agir en compassion pour soi et les autres ? On peut voir les choses ainsi.
Qui apprécie de détesté quelqu'un parce qu'il est d'une spiritualité en apparence différente de la sienne propre et qui apprécie d'être détesté en raison de sa spiritualité propre ?
apprécier de détester...Compagnon a écrit :Qui apprécie de détester quelqu'un parce qu'il est d'une spiritualité en apparence différente de la sienne propre et qui apprécie d'être détesté en raison de sa spiritualité propre ?
ce ne peut qu'être un leur mental
le corps sait que quand il déteste, il souffre, il n'y que le mental pour réussir à apprécier malgré la souffrance de son propre corps

oui à ce qui est
tout change
tout est maintenant
être tout
amour
tout change
tout est maintenant
être tout
amour
Le mental peut faire des choses stupéfiantes pour s'adapter et faire survivre le tout. Je ne me souviens plus si c'est dans un documentaire ou un livre, mais il y avait le cas d'une homme qui dans sa jeunesse avait souffert d'une très longue et douloureuse maladie très invalidante, d'une convalescence longue, ou des infirmières devaient lui faire sa toilette et lui faire des piqûres douloureuses et pour ne pas devenir fou, il était devenu progressivement masochiste. Son cerveau c'était mis à sécréter des hormones du plaisir quand il ressentait de la douleur ou de l'humilation. Plus tard adulte il s'est mis en couple avec au moins une femme dominatrice sadique et il était très heureux, il se mettait même en scène dans des spectacles ou il s'infligeait de la douleur mais ressentait du plaisir. Le cerveau s'était "recâblé" pour permettre la survie du tout.
Le mental au sens bassement matériel du cerveau a un pouvoir considérable si il est appuyé sur de la discipline et de la volonté sur le long terme. Des individus déterminés arrivent a réussir des choses qui pour la très large majorité des gens relève soit du super-héros soit du surnaturel. On a ainsi vu un jeune homme déterminé à développé sa capacité de calcul mental et qui s'est entraîné pendant des années jusqu'a devenir une calculette vivante. Un autre qui, parce qu'il avait failli mourir d’hypothermie sous la neige enfant décida qu'il voulait pouvoir maîtriser sa température corporelle et pendant des années il s'entraîna jusqu'a être capable de resté dans de l'eau glacé longtemps, presque nu, ou à courir en slip dans un paysage polaire pieds nu pendant longtemps, le tout sans souffrir d'engelure ou de séquelles. Un homme dont le père avait fait une attaque cérébrale le laissant quasi paralysé et incapable de se déplacé et qui connaissait les capacités de plasticité du cerveau, entraîna son père en le laissant au sol, sans l'aider, en le poussant verbalement à essayer encore et toujours à se mouvoir. Cela pris des mois et des mois des heures par jours. Mais tout doucement le cerveau recréa des connexions pour reconstituer dans une autre partie les fonctions laissées que l'on croyait pour toujours perdue, et à la fin le père de l'homme avait retrouvé au moins 80% de sa mobilité.
Des moines bouddhistes observés longtemps à l'Irm/f à force de pratique quotidiennes de méditation restructurent leur cerveau pour accroître leur empathie mais aussi leur capacité morale à enduré le spectacle de la souffrance humaine. Ils développent donc compassion et recule nécessaire pour agir efficacement.
J'avais déjà mentionné le cas d'une femme ayant une double personnalité qui modifiait inconsciemment sa formule sanguine, une de ses personnalités était convaincu d'être malade et la formule sanguine confirmait, l'autre se croyait en bonne santé et la formule sanguine a ce moment là était bonne. En fonction de qui était la personnalité dominante au moment de la prise de sang la formule sanguine changeait !
Une jeune femme éditrice perdit brutalement et définitivement la vue à la suite d'une maladie incurable. Ses amis lui mirent au point un logiciel informatique qui lui lisait les livres qu'elle ne pouvait plus lire et qui reproduisait ce qu'elle dictait verbalement. Très rapidement on a du modifier le programme pour qui lise très vite car la jeune femme ses mis à écouter beaucoup plus vite, en quelque mois elle avait lu bien plus de sa bibliothèque que dans toute sa carrière jusque là !
Le mental au sens bassement matériel du cerveau a un pouvoir considérable si il est appuyé sur de la discipline et de la volonté sur le long terme. Des individus déterminés arrivent a réussir des choses qui pour la très large majorité des gens relève soit du super-héros soit du surnaturel. On a ainsi vu un jeune homme déterminé à développé sa capacité de calcul mental et qui s'est entraîné pendant des années jusqu'a devenir une calculette vivante. Un autre qui, parce qu'il avait failli mourir d’hypothermie sous la neige enfant décida qu'il voulait pouvoir maîtriser sa température corporelle et pendant des années il s'entraîna jusqu'a être capable de resté dans de l'eau glacé longtemps, presque nu, ou à courir en slip dans un paysage polaire pieds nu pendant longtemps, le tout sans souffrir d'engelure ou de séquelles. Un homme dont le père avait fait une attaque cérébrale le laissant quasi paralysé et incapable de se déplacé et qui connaissait les capacités de plasticité du cerveau, entraîna son père en le laissant au sol, sans l'aider, en le poussant verbalement à essayer encore et toujours à se mouvoir. Cela pris des mois et des mois des heures par jours. Mais tout doucement le cerveau recréa des connexions pour reconstituer dans une autre partie les fonctions laissées que l'on croyait pour toujours perdue, et à la fin le père de l'homme avait retrouvé au moins 80% de sa mobilité.
Des moines bouddhistes observés longtemps à l'Irm/f à force de pratique quotidiennes de méditation restructurent leur cerveau pour accroître leur empathie mais aussi leur capacité morale à enduré le spectacle de la souffrance humaine. Ils développent donc compassion et recule nécessaire pour agir efficacement.
J'avais déjà mentionné le cas d'une femme ayant une double personnalité qui modifiait inconsciemment sa formule sanguine, une de ses personnalités était convaincu d'être malade et la formule sanguine confirmait, l'autre se croyait en bonne santé et la formule sanguine a ce moment là était bonne. En fonction de qui était la personnalité dominante au moment de la prise de sang la formule sanguine changeait !
Une jeune femme éditrice perdit brutalement et définitivement la vue à la suite d'une maladie incurable. Ses amis lui mirent au point un logiciel informatique qui lui lisait les livres qu'elle ne pouvait plus lire et qui reproduisait ce qu'elle dictait verbalement. Très rapidement on a du modifier le programme pour qui lise très vite car la jeune femme ses mis à écouter beaucoup plus vite, en quelque mois elle avait lu bien plus de sa bibliothèque que dans toute sa carrière jusque là !