Qui a dit :"Tout est pur aux purs" ?
Me rappelle pas... once again...
Tout est pur
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onmyway
à Tongra, mon but n'est pas de refiler mes "connaissances" dans le domaine dzogchen (connaissances-savoirs (théoriques) assez limités pour ma part, surtout que j'ai peu étudié le sujet, qu'il n'est pas "mon sujet favoris même s'il m'interesse) et je connais bien mieux d'autres domaines, et bien loin de la poésie ;))
Mais de donner ma propre interprétation, et pas que théorique ou technique, mais pratique et experimentale: je ne suis pas le seul à dire (et à avoir experimenté) qu'il est en général plus facile de pratiquer d'abord des "tecnhniques" plus "concretes", de recentrage par exemple, de mantras, ou anapanasati par exemples, que de pratiquer aussitot une méditation "sans forme" , et sans effort, comme est le but du Dzogchen; (avant de savoir voler ou naviguer, il faut savoir marcher sur la terre, en tout cas c'est souvent préférable
) Mais je ne pense pas pour autant que ces deux formes de pratiques s'opposent ou sont cloisonnées entre elles, au contraire, le "souffle va où il veut, et pour faire un parallèle et te rejoindre aussi sur la poèsie, il n'y a aucune limites, ni structures, entre samatha, vipassana, mahamudra, etc, tout est libre et interdependant, car toutes ces choses procèdent de l'esprit, et l'esprit n'a pas de limites; Une poesie cloisonnée ou structurée uniquement par le technique, sans le souffle de l'inspiration est une poésie morte, ou n'en est pas, de même pour la méditation, et bien d'autres domaines
Mais de donner ma propre interprétation, et pas que théorique ou technique, mais pratique et experimentale: je ne suis pas le seul à dire (et à avoir experimenté) qu'il est en général plus facile de pratiquer d'abord des "tecnhniques" plus "concretes", de recentrage par exemple, de mantras, ou anapanasati par exemples, que de pratiquer aussitot une méditation "sans forme" , et sans effort, comme est le but du Dzogchen; (avant de savoir voler ou naviguer, il faut savoir marcher sur la terre, en tout cas c'est souvent préférable
) Mais je ne pense pas pour autant que ces deux formes de pratiques s'opposent ou sont cloisonnées entre elles, au contraire, le "souffle va où il veut, et pour faire un parallèle et te rejoindre aussi sur la poèsie, il n'y a aucune limites, ni structures, entre samatha, vipassana, mahamudra, etc, tout est libre et interdependant, car toutes ces choses procèdent de l'esprit, et l'esprit n'a pas de limites; Une poesie cloisonnée ou structurée uniquement par le technique, sans le souffle de l'inspiration est une poésie morte, ou n'en est pas, de même pour la méditation, et bien d'autres domaines 
L'apôtre Paul de Tarse, l'un des fondateurs du christianisme. Mais c'est à prendre dans son contexte, celui d'une discussion sur la nécessité pour la jeune communauté chrétienne de pratiquer la loi juive, qui inclut de nombreux interdits fondés sur l'impureté, ou au contraire de s'en détacher. Paul était partisan de la seconde solution, avec des nuances.freestyle a écrit :Qui a dit :"Tout est pur aux purs" ?
Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
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onmyway
à Tongra, en aikido par exemple, on pratique au début en general les techniques de bases, "abécédaires", les postures, déplacements, respiration, callisthénics (échauffements, assouplissements etc), puis les techniques de bases, (ikkyo, nikyo, sankyo, immobilisations, puis projections, irimi nage, ten chi nage, kaiten nage etc), en general on pousuit par des techniques plus subtiles ou soit disant complexes comme kokyu nage, ou aiki nage, et à la fin on dépasse les techniques "rigides ou formatées" pour entrer dans le monde libre (jiyu waza, ki -non -nagare, flo libre de l'énergie), du takemusi aiki, où la technique de base est "oubliée", dépassée, et l'art martial devient un simple geste naturel, un flot d'énergie en harmonie avec les attaques; Mais déjà dans les techniques basiques comme ikkyo, qu'on apprends aux débutants, aux gamins, le "souffle de l'esprit" et les principes du takemusu aiki est déjà présent; Sils sont bien pratiqués
Morihei ueshiba disait "Ikkyo toute une vie", et il continuait à s'y exercer jusqu'à sa mort;
A des élèves assez jeunes a qui il enseignait depuis des mois les techniques plus simples et basiques, ces élèves lui demandent un jour un truc du genre :"O sensei, on en a assez de faire ces techniques répétitives et basiques, on aimerait savoir le secret final de l'aikido; et Ueshiba leur réponds : " mais le secret de l'aikido, je vous le montre à chaque cours basique devant vous, c'est seulement vous qui ne voyez pas"
Morihei ueshiba disait "Ikkyo toute une vie", et il continuait à s'y exercer jusqu'à sa mort;
A des élèves assez jeunes a qui il enseignait depuis des mois les techniques plus simples et basiques, ces élèves lui demandent un jour un truc du genre :"O sensei, on en a assez de faire ces techniques répétitives et basiques, on aimerait savoir le secret final de l'aikido; et Ueshiba leur réponds : " mais le secret de l'aikido, je vous le montre à chaque cours basique devant vous, c'est seulement vous qui ne voyez pas"
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tongra
Je refais encore une tentative 
Tout ce que tu développes est fort intéressant (les arts martiaux, l'aïki que je pratique depuis fort longtemps, etc.) mais ici - dans la façon dont a été initié ce thread - tout cela ne nous intéresse pas. Il n'est pas question d'apporter des éléments explicatifs ni même de parler d'états transcendants. Je décris juste le panorama
Essaye de différencier ce que peut vouloir dire "parler de" et "parler à partir de" si tu t'ouvres à cette différence tu comprendras que l'on ne peut plus parler des mêmes sujets et surtout de la même façon.
On est fondu dans l'expérience et c'est à partir de cet "endroit" qu'on s'exprime.
Il ne s'agit plus d'alimenter une conversation qui donnerait de quoi penser ou quelque chose à comprendre. Une conversation ou un partage de ce type n'est plus régi par les conventions habituelles. Au contraire il s'agit d'agiter le moins possible les mouvements mentaux et l'intellect, de donner le moins possible à penser l'interlocuteur.
C'est une approche pour demeurer ou prolonger l'Etat. Rien de plus. Après le quotidien peut s'intégrer...
Tout ce que tu développes est fort intéressant (les arts martiaux, l'aïki que je pratique depuis fort longtemps, etc.) mais ici - dans la façon dont a été initié ce thread - tout cela ne nous intéresse pas. Il n'est pas question d'apporter des éléments explicatifs ni même de parler d'états transcendants. Je décris juste le panorama
Essaye de différencier ce que peut vouloir dire "parler de" et "parler à partir de" si tu t'ouvres à cette différence tu comprendras que l'on ne peut plus parler des mêmes sujets et surtout de la même façon.
On est fondu dans l'expérience et c'est à partir de cet "endroit" qu'on s'exprime.
Il ne s'agit plus d'alimenter une conversation qui donnerait de quoi penser ou quelque chose à comprendre. Une conversation ou un partage de ce type n'est plus régi par les conventions habituelles. Au contraire il s'agit d'agiter le moins possible les mouvements mentaux et l'intellect, de donner le moins possible à penser l'interlocuteur.
C'est une approche pour demeurer ou prolonger l'Etat. Rien de plus. Après le quotidien peut s'intégrer...
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onmyway
Le simple fait de répondre à mes messages de cette façon, me prouve que tu es encore "loin" de l'état ou du "but" dont tu parles, et que tu prétends "vivre";
Mais ce n'est pas un jugement de ma part, juste une constatation, et personne n'est parfait, ou tout le monde l'est
Mais c'est bien connu ceux qui "jugent, critiquent" les autres, ou les prennent un peu de haut (orgueuil, arrogance), croyant mieux savoir qu'eux, ont encore du chemin à faire, pour dépasser leur 'égo", et sont paradoxalement souvent les moins avancés !
Mais ce n'est pas un jugement de ma part, juste une constatation, et personne n'est parfait, ou tout le monde l'est
Mais c'est bien connu ceux qui "jugent, critiquent" les autres, ou les prennent un peu de haut (orgueuil, arrogance), croyant mieux savoir qu'eux, ont encore du chemin à faire, pour dépasser leur 'égo", et sont paradoxalement souvent les moins avancés !
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onmyway
Hier j'etais à une conférence-rassemblement, de plusieurs personnes, connus ou moins, pour changer de mes virées;
J'y ai croisé sur les allées et stands, Nelson monfort, candeloro, et quelques autres; Les gens s'attroupaient parfois autour d'eux, comme pour aller voir le pape ou "dieu" ; pour ces gens attroupés (ou célèbres), l'impur c'est le "quidam", l'anonyme; le "pur" c'est la célébrité, le riche, celui en costard cravate; Mais celui qui voit les choses telles qu'elles sont, n'y voit qu'une illusion, et pour lui : "tout est pur," ou tout est impur, Tout est sacré, ou rien n'est sacré;
Je quitte, bye
J'y ai croisé sur les allées et stands, Nelson monfort, candeloro, et quelques autres; Les gens s'attroupaient parfois autour d'eux, comme pour aller voir le pape ou "dieu"
; pour ces gens attroupés (ou célèbres), l'impur c'est le "quidam", l'anonyme; le "pur" c'est la célébrité, le riche, celui en costard cravate; Mais celui qui voit les choses telles qu'elles sont, n'y voit qu'une illusion, et pour lui : "tout est pur," ou tout est impur, Tout est sacré, ou rien n'est sacré;Je quitte, bye
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tongra
Non, il n'est pas question d'état ou de but ou de quoi que ce soit à vivre, car ça n'est que conceptuel, seulement s'ouvrir à la possibilité et voir simplement comment ça se déroule.
C'est précisemment le sens de ce que Dharmadhatu signifie avec :
C'est précisemment le sens de ce que Dharmadhatu signifie avec :
Mais ce simple pas, ce petit changement de paradigme est souvent trop demander et ne peut être ne serait-ce qu'envisagé. oiseau2julieDharmadhatu a écrit :eveil_333 Tout retourne à la pureté dès même qu'on prononce le mantra de la vacuité... où la pureté est explicitement exprimée:
Om Svabhava Shuddha Sarva Dharma Svabhava Shuddho Ham.
La pureté se retrouve aussi dans le mot "vajra". D'où le mantra du dharmakaya: Om Shunyata Jñana Vajra etc... et se vit quand on a fini de mourir, où plus rien ne se présente d'autre qu'une infinie simplicité.
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onmyway
Et c'est à chacun de faire ce "changement", et de voir, ou pas
Pour ma part je ne me considère ni érudit, ni "parlant pour des chapelles", je parle en mon nom ou celui de "l'universel" et l'indicible, suivant les moments;
Et c'est sur que je me suis plus entrainé en aiki, et méditation, "dans la nature", en solo ou avec quelques partenaires occasionnels, que dans des dojo ou temples (un an et demi environ en dojo pour l'aikido, et quelques enseignements publics, conseils ou entretiens individuels pour le bouddhisme); mais il y a une chose qu'on apprends pas dans les temples, dojos, monastères, écoles, ou en société en general : la liberté, et à suivre sa vraie nature
Pour ma part je ne me considère ni érudit, ni "parlant pour des chapelles", je parle en mon nom ou celui de "l'universel" et l'indicible, suivant les moments;
Et c'est sur que je me suis plus entrainé en aiki, et méditation, "dans la nature", en solo ou avec quelques partenaires occasionnels, que dans des dojo ou temples (un an et demi environ en dojo pour l'aikido, et quelques enseignements publics, conseils ou entretiens individuels pour le bouddhisme); mais il y a une chose qu'on apprends pas dans les temples, dojos, monastères, écoles, ou en société en general : la liberté, et à suivre sa vraie nature
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Erratum
Qui en dehors de toi même estime juste tes propos au nom de l'universel ou de l'indicible ?onmyway a écrit : je parle en mon nom ou celui de "l'universel" et l'indicible, suivant les moments;
C'est assez orgueilleux de parler au nom de quelqu'un d'autre, d'autant que cet autre est mutliple et impalpable ...