Première apparition du buffle

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jules
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Eh bien apparemment nous sommes d'accords puisque l'expression "être plus correct" signifie en fait que c'est correct.
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jules
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Bon pour ma part je vais en rester là. :)
Robi

jules a écrit :Eh bien apparemment nous sommes d'accords puisque l'expression "être plus correct" signifie en fait que c'est correct.
C'est mon interprétation de sa réponse, mais de toute façon ce n'est pas la raison de mon intervention. Si je suis intervenu dans ce fil c'est pour appuyer ce que dit Dumè à propos de ta façon en général (habituelle) et de t'exprimer et de ton incompréhension du bouddhisme ("Cette façon habituelle et ambiguë que tu as de tourner les phrases ne sont pas de nature à montrer que tu sais exactement de quoi tu parles" comme il dit).
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jules
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Dumè : Mais dans tous les cas, elle (la réalisation) est bien réelle ; ce n'est pas une vue de l'esprit.
Oui, réaliser qu'il n'y a rien à réaliser, c'est bien réel aussi.
Robi

jules a écrit :Oui, réaliser qu'il n'y a rien à réaliser, c'est bien réel aussi.
Une fois de plus jules, je ne vois pas ce qu'une telle phrase a à faire dans un contexte bouddhiste. Car la réalisation dans le bouddhisme ce n'est pas réaliser qu'il n'y a rien à réaliser, c'est réaliser une sagesse, une vérité qu'a énoncé le Bouddha.
Et ne crois pas t'en sortir en disant que cette sagesse ou cette vérité c'est qu'il n'y a rien a réaliser :lol: (l'interdépendance ce n'est pas rien, ni l'impermanence, ni la vacuité. Auquel on peut ajouter les effets, les fruits de cette réalisation...)
(pour moi ta phrase c'est encore une phrase qui veut faire son effet mais qui reflète une grande incompréhension...)
Dumè Antoni

Jules a écrit :Eh bien apparemment nous sommes d'accords puisque l'expression "être plus correct" signifie en fait que c'est correct.
Encore une fois, tu ne lis pas ce que j'écris. Je te rappelle la fin de mon message du 2 octobre à 8H38 : "je dis que si ta proposition est plus correcte, elle n'en est pas moins fausse." Tu ne peux donc pas affirmer que nous sommes d'accord sur ta formulation.
Dumè : Mais dans tous les cas, elle (la réalisation) est bien réelle ; ce n'est pas une vue de l'esprit.
Oui, réaliser qu'il n'y a rien à réaliser, c'est bien réel aussi.
C'est la réalité d'une non réalisation, la tienne, qui ne peut en aucun cas avoir valeur de réalisation au sens du Zen (ou du Bouddhisme en général, toutes écoles confondues). En d'autres termes et pour le dire simplement : ton discours est celui d'un troll nihiliste qui veut absolument démonter l'affirmation que reconnaissent toutes les écoles bouddhistes sans exception : la réalisation du Non-né, de Nibanna, du Dharmakaya. Qui est une vraie réalisation, au sens d'une Vue et de la Compréhension de sa vraie nature de Bouddha et qui n'a rien à voir avec la tienne, qui n'est pas une réalisation, comme tu l'affirmes d'ailleurs toi-même.
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jules
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Robi : Une fois de plus jules, je ne vois pas ce qu'une telle phrase a à faire dans un contexte bouddhiste. Car la réalisation dans le bouddhisme ce n'est pas réaliser qu'il n'y a rien à réaliser, c'est réaliser une sagesse, une vérité qu'a énoncé le Bouddha.
Quelle vérité, celle dont nous débattons sur Nangpa depuis 35780 messages sans jamais avoir mis le doigt dessus, ou celle qui fait que malgré ces 35780 messages dont bon nombre sont fait de discussions où nous ne sommes souvent pas d'accords les uns avec les autres, le monde ne s'est pas écroulé et continue de tourner quoi qu'on dise ?
Et ne crois pas t'en sortir en disant que cette sagesse ou cette vérité c'est qu'il n'y a rien a réaliser :lol: (l'interdépendance ce n'est pas rien, ni l'impermanence, ni la vacuité)
Ben l'interdépendance, l'impermanence, la vacuité, c'est proprement ce qui t'amène à comprendre qu'il n'y a rien à réaliser, pas même au sujet de l'interdépendance de l'impermanence ou de la vacuité. :lol:
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jules
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Dumè : la réalisation du Non-né, de Nibanna, du Dharmakaya. Qui est une vraie réalisation, au sens d'une Vue et de la Compréhension de sa vraie nature de Bouddha et qui n'a rien à voir avec la tienne, qui n'est pas une réalisation, comme tu l'affirmes d'ailleurs toi-même.
C'est la réalisation qu'il n'y a rien à réaliser, nuance. :)

Comme quand le Bouddha présente la fleur sur le Pic des vautours, cet enseignement est est même au delà du fait de dire qu'il n'y a rien ni pas rien à réaliser.
Robi

jules a écrit :
Robi : Une fois de plus jules, je ne vois pas ce qu'une telle phrase a à faire dans un contexte bouddhiste. Car la réalisation dans le bouddhisme ce n'est pas réaliser qu'il n'y a rien à réaliser, c'est réaliser une sagesse, une vérité qu'a énoncé le Bouddha.
Quelle vérité, celle dont nous débattons sur Nangpa depuis 35780 messages sans jamais avoir mis le doigt dessus, ou celle qui fait que malgré ces 35780 messages dont bon nombre sont fait de discussions où nous ne sommes souvent pas d'accords les uns avec les autres, le monde ne s'est pas écroulé et continue de tourner quoi qu'on dise ?
Quelle vérité? La vérité sur ce qu'est la réalité (selon le bouddhisme). Et si il y a débat c'est parce que des gens comme toi ne comprenne pas cette vérité ou ce qu'est la réalité selon le bouddhisme.
jules a écrit :
Et ne crois pas t'en sortir en disant que cette sagesse ou cette vérité c'est qu'il n'y a rien a réaliser :lol: (l'interdépendance ce n'est pas rien, ni l'impermanence, ni la vacuité)
Ben l'interdépendance, l'impermanence, la vacuité, c'est proprement ce qui t'amène à comprendre qu'il n'y a rien à réaliser, pas même au sujet de l'interdépendance de l'impermanence ou de la vacuité. :lol:
Pas du tout. La réalisation de l'interdépendance, l'impermanence, la vacuité ne mène pas à comprendre qu'il n'y a rien à réaliser. La réalisation de l'interdépendance, l'impermanence, c'est comprendre la réalité (selon le bouddhiste). Cette compréhension n'est pas rien.
Dumè Antoni

Jules a écrit :C'est la réalisation qu'il n'y a rien à réaliser, nuance. :)

Comme quand le Bouddha présente la fleur sur le Pic des vautours, cet enseignement est est même au delà du fait de dire qu'il n'y a rien ni pas rien à réalise
Oui, mais t'as tout faux. Mais bon, n'en parlons plus ; ça ne sert à rien.
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