Oui cordonniers ou pas cordonniers, telle est la question.
<<metta>>
L'illumination
Il y a aussi le chemin contraire.
Quand Shunryu Susuki vivait dans son monastère au Japon, il trouvait sa vie normale et il trouvait que les visiteurs étaient des gens "spéciaux"
Puis après avoir quitté le monastère et vaqué à ses occupations d'enseignant Zen de par le monde pendant des années, il est retourné dans son monastère dont il a trouvé la vie "extraordinaire".....
Quand Shunryu Susuki vivait dans son monastère au Japon, il trouvait sa vie normale et il trouvait que les visiteurs étaient des gens "spéciaux"
Puis après avoir quitté le monastère et vaqué à ses occupations d'enseignant Zen de par le monde pendant des années, il est retourné dans son monastère dont il a trouvé la vie "extraordinaire".....
Il faut parfois s'éloigner de chez soi pour connaître la préciosité de notre toit.
C'est comme l'égo, on cherche à s'en écarter pour découvrir finalement qu'il est fondateur d'un possible, un peu comme s'il nous avait donner des jambes pour initier le voyage vers la découverte de nos ailes.
C'est comme l'égo, on cherche à s'en écarter pour découvrir finalement qu'il est fondateur d'un possible, un peu comme s'il nous avait donner des jambes pour initier le voyage vers la découverte de nos ailes.
Que devient le monde à notre mort ?
En fait, je crois bien qu'il disparait. Nous l'emportons avec nous.
C'est notre vision du monde qui s'évanouit.
Et si nous n'avons pas réussi à la faire partager, qu'en restera t'il ?
En fait, je crois bien qu'il disparait. Nous l'emportons avec nous.
C'est notre vision du monde qui s'évanouit.
Et si nous n'avons pas réussi à la faire partager, qu'en restera t'il ?
Rien de particulier : il va son train. Sur ce thème, j'aime beaucoup le poème d'adieu de Ryôkanted a écrit :Que devient le monde à notre mort ?
En souvenir je laisse
Les fleurs du printemps
Le coucou de l'été
Les feuilles rouges d'automne.
C'est bien dit, non?
Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
A chaque instant, notre vision du monde s'évanouit, comme brumes, avec notre égo, l'impermanence. Nous mourrons à chaque instant et cette vision avec nous, passe comme un rêve. Et cela dépend de la vision du monde qu'on a... d'où elle émane, de l'égo ou du profond de l'être ?ted a écrit :Que devient le monde à notre mort ?
En fait, je crois bien qu'il disparait. Nous l'emportons avec nous.
C'est notre vision du monde qui s'évanouit.
Et si nous n'avons pas réussi à la faire partager, qu'en restera t'il ?
Si nous ne pouvons pas partager toutes ces petites particules de notre vision, c'est un peu une petite flamme qui s'éteindra mais si au contraire on les a offerte, elle poursuivront leur vie sous diverses formes, toutes leurs transformations, participeront à la vie et au monde qui continuera de tourner sans nous.
Il a été question de chaussures dans les post et C.Trungpa a écrit :
http://books.google.fr/books?id=NSoux9q ... go&f=false
oiseau2julie <<metta>>
<<metta>>
On peut dire qu'on meurt à chaque instant
On peut dire aussi que ce sont des concepts
On peut aussi rien en dire véritablement
Les mots sont des bouquets de fleuuurrr_8
On peut dire qu'on meurt à chaque instant
On peut dire aussi que ce sont des concepts
On peut aussi rien en dire véritablement
Les mots sont des bouquets de fleuuurrr_8
Cinq clefs pour la parole correcte :
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
- dire au bon moment, prononcer en vérité, de façon affectueuse, bénéfique et dans un esprit de bonne volonté."
"Les mots ont le pouvoir de détruire ou de soigner ; lorsqu’ils sont justes et généreux, ils peuvent changer le monde."
Bouddha
<<metta>>
Bouddha
<<metta>>
Flocon a écrit
En souvenir je laisse
Les fleurs du printemps
Le coucou de l'été
Les feuilles rouges d'automne.
Ryokan