Maintenant, j'ai bien compris, tu veux pas le lâcher, ton pin's, eh bin garde le


L'interprétation de Jules, j'ai rien contre, pourquoi pas.
Baaaahhh... j'avais l'impression que la plante, c'était la pratique bouddhiste.
yves a écrit : ↑03 mai 2017, 09:28est-il possible que se soit tes paroles qui donnent lieu à une critique? mon égo est en jeu sans aucun doute mais je préfèrerai qu'on parle du tiens et qu'on laisse le mien tranquille
c'est bien, au moins tu es prêt à reconnaître que tu jettes un anathème et que tu as déjà en main les pierres pour la lapidationCompagnon a écrit :je la crois assez correcte.
évidement que j'évalue mal tout comme tu m'évalues mal ou tu évalues poutou, ici je ne prétends pas décrire le fond de ton cœur mais les paroles que tu écris sur ce forum, je n'ai que çacontent que tu prennes conscience de la négativité de tes paroles: tu peux constater en toi-même combien il est désagréable de faire cela
que tes paroles soient écrites ou non tu portes cette énergie en toi, elle ressortira tôt ou tard, la seule solution est de te gratter un peu pour que peut-être tu t'en aperçoives, en tous les cas n'ayant pas d'autre moyen je ne peux que "ne pas te laisser tranquille"
donc en jugeant poutou et son manque de compassion tu reconnais ton manque de compassion en toi?Compagnon a écrit : ↑03 mai 2017, 07:15Le Bouddha a conseillé de ne pas porter de jugement sur son prochain, tout comme Jésus cet autre grand sage, ils étaient assez lucides pour savoir qu'autre travers du jugement l'on prêtait en général assez souvent aux autres les défauts que l'on avait soi-même en abondance sans vouloir le reconnaître.
énorme ! comme dans tes réponsestu perçois très bien lorsque mon ego est engagé dans notre dialogue, laisse moi aussi cette qualité (de très bien percevoir le tien)
et si tes paroles avaient été pleine de pondération et de compassion la discution aurait-elle été moins pénible?
nous prononçons tous des paroles qui sème la division même les bouddha
et pour finir en beauté mon réquisitoireun petit extrait de mes lectures matinales de "après l'extase : la lessive":
ps si je m'investi autant dans ma réponse c'est à cause de l'estime que j'ai de ta participation sur ce forumjack kornfield a écrit :affronté la souffrance dans notre famille et dans notre communauté nous soumet à une grande nécessité: rester fidèle à nos plus profonde valeurs tout en demeurant ouverts et vulnérables. tout ce qui est endurcit dans notre cœur nous laisse rigides, effrayés, froids. a travers nos rancœur et nos peurs nous marquons de plus en plus notre territoire et demeurons sur la défensive. mais comment garder notre cœur ouvert sans perdre notre force et notre sens de la justice?
Pour y arriver nous devons permettre à notre cœur de se renforcer d'une autre manière. volontairement nous allons nous tourner vers la souffrance du monde et la laisser susciter notre compassion. dans les douleurs inévitables, les conflits et les trahisons, nous découvrons que nous sommes capable de développer le pouvoir de l'amour. au sein de la difficulté, nous pouvons, de façon répétée, nous arrêter, revenir à notre coeur, nous reconnecter à notre force de compassion et à notre vulnérabilité.il est rare que j'écrive beaucoup ces dernier temps. j'espère que tu trouveras quelques chose de bon à prendre dans mes paroles, je sais déjà combien tu as raison de penser ce que tu penses, comme nous tous
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