Le premier bouquin sur "le bouddhisme" que je m'etais acheté y a un bail, c'était "la pratique du zen" de deshimaru,
un peu "trop accès" a mon gout sur "la posture zazen" (surtout qu'on peut pas y rester toute la journée ;)), mais j'ai aimé
son approche "brut de decoffrage", le genre de gars qui fait pas dans le détail ni l"hypocrisie; la franchise d'un ikkyu ou d'un milarepa à sa façon surement;
D'ailleurs, il fait a sa façon du free style, vu qu'il emploi des mots "non bouddhistement correct"

en parlant d'être "notre propre dieu, notre propre bouddha", notre nature éternelle cosmique etc;
Bref, loin des "grenouilles de bénitiers" des religions officielles;
Et d'ailleurs dans le zen, même s'il y a une tradition de transmission de maitres à disciple, on y dit aussi, que la vérité ne se trouve que par soi même;
et "Si tu rencontres le bouddha, tues le"
Ce qui pour moi signifie, au delà du concept "freudien" (et très controversé et faux d'apres moi) de "tuer le père",
il s'agit pour moi, de "tuer le concept de maitre, de dieu, ou d'un illusoire bouddha "exterieur", bref tuer la dualité, les obsctacles, hierarchies et les illusions et entités qui s'y trouve (qui proviennent de l'égo), pour réaliser que nous sommes notre propre maitre, que nous somme le bouddha, l"éveil, et que "tout est un", dans le "nirvana cosmique" impersonnel