Je vais dire 1) Il se prépare à un combat rituel
Cela ressemble au salut que je faisais quand plus jeune (ado en fait) je faisais des arts martiaux.
Testez vos connaissances bouddhistes !


<<metta>>
L’instant présent 
à Longchen
mon indice-réponse me ferait plutot aller vers le "kin hin", la marche consciente du zen japonais
mon indice-réponse me ferait plutot aller vers le "kin hin", la marche consciente du zen japonais
Alors là je ne sais pas du tout ; j’ai regardé les indications de la quinine et parmi elle (quoique c’est un usage à risque) il y a les crampes musculaires (quoique la proposition 3 ne parle pas de crampes musculaires mais de faire craquer ses articulations "après une séance un peu engourdie"...).
Mais je vais rester sur ma proposition même si c’est une erreur.
<<metta>>
Mais je vais rester sur ma proposition même si c’est une erreur.
<<metta>>
L’instant présent 
Je reconnais qu'il y avait un piège : aucune des 3 réponses proposées n'étaient la bonne.
Il s'agit donc bien d'un moine qui pratique Kin-Hin, une marche méditative lente, silencieuse et saccadée, alternative à la méditation assise.

Il s'agit donc bien d'un moine qui pratique Kin-Hin, une marche méditative lente, silencieuse et saccadée, alternative à la méditation assise.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Kinhinwikipédia a écrit :Kinhin (經行; japonais: kinhin ou kyōgyō, chinois : jingxing) est un terme du Bouddhisme Zen qui désigne la méditation en marchant, qui est pratiquée entre les longues périodes de zazen (méditation assise).
Les pratiquants marchent autour de la pièce, dans le sens horaire, en tenant leurs mains en shashu (叉手) : le poing gauche fermé enserre le pouce, la main droite couvre le poing gauche.
Chaque pas, de la longueur d'un demi-pied, est effectué après une respiration complète, ce qui donne une impression de course de lenteur. Le commencement de kinhin est annoncé par deux coups de cloche (kinhinsho), la fin par un seul coup (chukaisho 抽解鐘 « le carillon à s'en retirer »).
Les termes consistent des Kanjis kin (経 ‘œuvres classiques’) ou kyō (教 ‘enseignements dharmiques’), suivi par hin/gyō (行 ‘marche’). Alors littéralement ça veut dire « marcher selon les œuvres/enseignements ». On peut les traduire aussi comme la « marche méditative » ou la « méditation marchée ».

Dernière modification par ted le 30 avril 2012, 15:04, modifié 1 fois.
- Dharmadhatu
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apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).