Non, et ce qui me permets de ne pas l'aimer et ce qui te permets de l'aimer, c'est la liberté...Et d'autres se sont écharpés pour moins que cela.Robi a écrit :
Tu n'aimes pas la liberté?
ha bon.(Dieu n'a pas sauvé que les animaux, il a aussi sauvé l'humanité à travers Noé)
Lorsqu'on interroge le monde, c'est je pense parce qu'on cherche à retrouver ce moment où le questionnement prendra fin. Autrement dit on questionne pour trouver la paix du non questionnement.Zopa a écrit :Je n'ai pas compris ta réponse, Jules."Pourquoi ?" est déjà la raison pour laquelle nous devons périr dans les flots.
Tu veux dire ?
Certaines questions sont longues à trouver leur solution ce qui laisse tout le temps de faire et dire n'importe quoi entre temps.
Qu'est ce qu'on a pas fait pour le bien, qu'est-ce qu'on a pas dit au sujet du mal. Les animaux, eux ne disent rien et ils sont efficaces. Les hommes eux dépensent une énergie faramineuse pour subsister, non seulement sur le plan physique où ils bouffent toutes les ressourcent de la terre, mais également sur le plan mental, où tout peut-être problème, où une décision collective et même individuelle, nécessitera un énorme effort et une immense dépense d'énergie et ces deux aspects, physique et mental n'en sont en réalité qu'un seul au niveau de cette dépense. C'est la raison pour laquelle l'homme disparaîtra je pense, car il est trop dépensier : Pendant qu'il s'active à questionner, évaluer, essayer de faire au mieux et le moins mal possible, l'animal, la plante se contentent quant à eux de faire ce qu'il y'a à faire dans une coïncidence idéal entre la nécessité d'agir et l'action elle même.
L'humanité toute entière me semble être une question sans réponse, une question qui coûte trop cher à la terre.
Dieu, la mort, la liberté, le bonheur, la souffrance, le temps...Toutes sont des questions hors de prix.