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Pourquoi ?

Publié : 03 mars 2014, 21:07
par ted
Oui, pourquoi ?
:roll:

NB : "Parce que !", ne sera pas retenu comme réponse valide... :D

Re: Pourquoi ?

Publié : 03 mars 2014, 22:03
par ted
:lol:

Re: Pourquoi ?

Publié : 04 mars 2014, 08:45
par longchen2
Image

Re: Pourquoi ?

Publié : 04 mars 2014, 09:23
par ted
Je vois que je ne suis pas le seul à me poser la question... :mrgreen:

Re: Pourquoi ?

Publié : 04 mars 2014, 09:25
par ted
C'est quand même la question la plus importante de l'univers ! :shock:

Re: Pourquoi ?

Publié : 04 mars 2014, 10:39
par axiste
pourquoi et "pour qui" ?


Re: Pourquoi ?

Publié : 04 mars 2014, 14:31
par jules
Petite reponse inspiree de l'enseignement de Tchouang tseu :

Questionner pour un humain n'est pas different que de se poser pour un corbeau ou que de ronger un os pour un chien.
Chaque etre exprime spontanement par la sa propre nature.
Pour un chien ou un corbeau, le pourquoi est semblable a ce genre de choses auxquelles on ne prete pas attention.
Bien que l'homme ait la faculte de s'exalter pour lui, il n adressera cependant aucune marque d attention a l' os et ne daignera pas meme jeter un regard sur la branche l'un etant pourtant si convoite par le chien et l'autre si precieuse au regard du corbeau.

Re: Pourquoi ?

Publié : 04 mars 2014, 19:41
par ted
Reconnaître que c'est dans notre nature que de poser la question, n'apporte pas de réponse hélas (il me semble).
Quand le corbeau bat de l'aile, fatigué, va t'on lui expliquer pourquoi il cherche une branche ?

Re: Pourquoi ?

Publié : 04 mars 2014, 20:54
par Jean
Pourquoi?

Because :


Re: Pourquoi ?

Publié : 07 mars 2014, 18:16
par jules
ted a écrit :Reconnaître que c'est dans notre nature que de poser la question, n'apporte pas de réponse hélas (il me semble).
Dogen parle du koan comme presence. On pourrait parler aussi de la question comme presence.
Quand le corbeau bat de l'aile, fatigué, va t'on lui expliquer pourquoi il cherche une branche ?
Pas le peine en effet, puisqu'il se realise spontanement et inconsciemment tel un corbeau battant de l'aile et cherchant un lieu pour se reposer.