Oui, pourquoi ?
NB : "Parce que !", ne sera pas retenu comme réponse valide...
Pourquoi ?
Petite reponse inspiree de l'enseignement de Tchouang tseu :
Questionner pour un humain n'est pas different que de se poser pour un corbeau ou que de ronger un os pour un chien.
Chaque etre exprime spontanement par la sa propre nature.
Pour un chien ou un corbeau, le pourquoi est semblable a ce genre de choses auxquelles on ne prete pas attention.
Bien que l'homme ait la faculte de s'exalter pour lui, il n adressera cependant aucune marque d attention a l' os et ne daignera pas meme jeter un regard sur la branche l'un etant pourtant si convoite par le chien et l'autre si precieuse au regard du corbeau.
Questionner pour un humain n'est pas different que de se poser pour un corbeau ou que de ronger un os pour un chien.
Chaque etre exprime spontanement par la sa propre nature.
Pour un chien ou un corbeau, le pourquoi est semblable a ce genre de choses auxquelles on ne prete pas attention.
Bien que l'homme ait la faculte de s'exalter pour lui, il n adressera cependant aucune marque d attention a l' os et ne daignera pas meme jeter un regard sur la branche l'un etant pourtant si convoite par le chien et l'autre si precieuse au regard du corbeau.
Reconnaître que c'est dans notre nature que de poser la question, n'apporte pas de réponse hélas (il me semble).
Quand le corbeau bat de l'aile, fatigué, va t'on lui expliquer pourquoi il cherche une branche ?
Quand le corbeau bat de l'aile, fatigué, va t'on lui expliquer pourquoi il cherche une branche ?
Dogen parle du koan comme presence. On pourrait parler aussi de la question comme presence.ted a écrit :Reconnaître que c'est dans notre nature que de poser la question, n'apporte pas de réponse hélas (il me semble).
Pas le peine en effet, puisqu'il se realise spontanement et inconsciemment tel un corbeau battant de l'aile et cherchant un lieu pour se reposer.Quand le corbeau bat de l'aile, fatigué, va t'on lui expliquer pourquoi il cherche une branche ?