Une condition de la liberté ?
Publié : 01 février 2014, 20:08
J'ai vu un reportage il y'a quelque temps, il s'agissait d'un enfant atteint d'une déficience mentale lourde ayant provoquée de ce fait chez lui, le syndrome d'Asperger.
Sans cesse agité, se donnant des coups de poings à la figure jusqu'à se faire des hématomes, son lit entouré de rembourrages etc.
A la fin, sa mère après de nombreuses difficultés finit par lui trouver un bon organisme.
L'une des dernières images, c'est l'enfant qu'on a saucissonné dans une couverture, ne pouvant plus bouger d'un pouce et que quatre personnes
massent avec dévouement. On voit l'enfant calme et concentré.
J'avais vu un film aussi où un patient d'hôpital attendait impatiemment le soir, qu'on vienne l'attacher à son lit car disait-il, cela me rassure.
Dans le Bouddhisme, on parle de refuges : Bouddha, Dharma, Sangha.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trois_Joyaux
Pensez-vous qu'une telle prise de refuge est de près ou de loin comparable à ces deux exemples ?
Personnellement, pour approcher la question, et parce que bien sûr j'ai une petite idée sur la question, je dirais que les Trois Joyaux sont canalisateurs.
On peut voyager très loin parfois en conscience, et parfois on peut se perdre.
Sachant cela, savoir qu'il y'a toujours un endroit où revenir, c'est semblable je trouve au fil d'argent dont on dit
qu'il est relié au corps physique lorsqu'on pratique le voyage astral.
C'est en quelque sorte ce point d'attache qui permet l'investigation si je puis dire.
Cet enfant dont je parlais qui semble vouloir ne pas oublier son corps en s'infligeant des douleurs, si c'est bien de cela qu'il s'agit, pourrait bien
par là chercher refuge. Sa seul préoccupation est peut-être de se souvenir de lui-même. Lorsqu'il est saucissonné et massé, il peut enfin être exempté de devoir chercher à ne pas s'oublier, alors c'est comme si il pouvait enfin se perdre un peu, voyager. Bien sûr ce n'est qu'une interprétation en fonction de ce que me dit mon empathie.
Pardon si le sujet est peut-être un peu délicat.
Sans cesse agité, se donnant des coups de poings à la figure jusqu'à se faire des hématomes, son lit entouré de rembourrages etc.
A la fin, sa mère après de nombreuses difficultés finit par lui trouver un bon organisme.
L'une des dernières images, c'est l'enfant qu'on a saucissonné dans une couverture, ne pouvant plus bouger d'un pouce et que quatre personnes
massent avec dévouement. On voit l'enfant calme et concentré.
J'avais vu un film aussi où un patient d'hôpital attendait impatiemment le soir, qu'on vienne l'attacher à son lit car disait-il, cela me rassure.
Dans le Bouddhisme, on parle de refuges : Bouddha, Dharma, Sangha.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trois_Joyaux
Pensez-vous qu'une telle prise de refuge est de près ou de loin comparable à ces deux exemples ?
Personnellement, pour approcher la question, et parce que bien sûr j'ai une petite idée sur la question, je dirais que les Trois Joyaux sont canalisateurs.
On peut voyager très loin parfois en conscience, et parfois on peut se perdre.
Sachant cela, savoir qu'il y'a toujours un endroit où revenir, c'est semblable je trouve au fil d'argent dont on dit
qu'il est relié au corps physique lorsqu'on pratique le voyage astral.
C'est en quelque sorte ce point d'attache qui permet l'investigation si je puis dire.
Cet enfant dont je parlais qui semble vouloir ne pas oublier son corps en s'infligeant des douleurs, si c'est bien de cela qu'il s'agit, pourrait bien
par là chercher refuge. Sa seul préoccupation est peut-être de se souvenir de lui-même. Lorsqu'il est saucissonné et massé, il peut enfin être exempté de devoir chercher à ne pas s'oublier, alors c'est comme si il pouvait enfin se perdre un peu, voyager. Bien sûr ce n'est qu'une interprétation en fonction de ce que me dit mon empathie.
Pardon si le sujet est peut-être un peu délicat.